Je dis note je sous entend tout ce qui englobe l'éval... des fois je pense vraiemnt que ma pensée est claire, mais j'en suis qu'au 2è café...

Ton explication ouvre d'autres perspectives de lecture Isfranco, c'est sur. Mais ce qui ne colle pas dans ton texte c'est cette recherche du "déstructuré-structuré". Je pense, mais je peux me tromper, que ta volonté de montrer cette maladie très déstructuré ou déstructurante est un peu forcée, presuqe artificielle. Comme si tu voulais imposer (au sens montrer à tout prix) au lecteur ce que c'est mais sans le dire.

Ton forum m'intérressse parce que justement parfois on est mal compris et on, se retrouve contraint de dévoiler...

Je suis assez d'accord avec Estelle sur ce coup-là.

Personnellement, j'ai trouvé ce texte suffisamment parlant de lui-même, sans avoir eu besoin des explications pour déduire le contexte approximatif : la maladie dégénérative aux conséquences inéluctables, la douleur au quotidien, et le courage mâtiné de joie qui parvient à tenir en respect, pour quelque temps encore, la terrible conclusion. L'admiration et une certaine tendresse de l'auteur aussi.

En fait, le seul élément qui peut manquer à la lecture du poème, c'est de savoir qu'il s'agit d'une personne que tu connais personnellement. Mais je ne pense pas que cet élément apporte quoi que ce soit de plus au contexte. Tout au plus risque-t-il de le fausser, car on risque de tomber dans un excès de compassion qui, s'il n'est pas induit par le texte lui-même, n'a rien à faire dans le regard qu'on y pose.

Je pense donc que si ce texte n'a pas touché certaines personnes, ce n'est pas par manque d'information, car tout y est contenu ou à peu près.

Je ne suis pas d'accord avec le "contraint", mais pour le reste oui... entre l'intention et la perception il y a de la marge...

Je vois un autre défaut du texte, et celui-ci va intéresser Estelle, je crois :

j'ai voulu que la lecture puisse avoir un sens universel et un sens particulier, et je pense que ce qui ne marche pas c'est que le lecteur entre soit dans l'un, soit dans l'autre, mais que l'esprit fonctionne difficilement dans le passage de l'un à l'autre...

Et ça aussi me perturbe un peu, je ne l'avais pas réellement perçu. L'esprit fait soit l'un, soit l'autre, mais pas les deux en même temps...

Sans le contexte, le sens de lecture va globalement vers le sens général, avec le contexte, il va globalement vers le particulier, et l'auteur peut influencer en donnant ou pas le contexte, mais je ne vois pas comment travailler le va et vient de l'un à l'autre...

Après la question de la structure "déstructurée" je ne sais pas... je vais creuser sous cet angle aussi.



Tu as sans doute raison, Tinuviel, mais ce n'est pas ce qui ressort des commentaires, alors je me suis posé la question...

Mais la manière dont Estelle pense que c'est un coup de pub déguisé, ça me pose aussi question...

Je ne crois pas que je reviendrai parler de mes textes en forum...

Euh, Is, je suis désolée de te contredire mais moi avec le contexte, connaissant de plus la personne en question, je n'ai pas vu le particulier, mais le général parce que ton texte s'adresse au général ou sous-tend le général par l'impératif neutre...

non?

(j'ai pas parlé de coup de pub, tu vas pas te mettre à dénaturer mes paroles Is, je pense pas avoir mentionné de coup de pub nulel part!)

L'impératif, c'est aussi une façon de transcrire ce qu'une personne peut se dire à elle même, du moins ici c'est comme ça que je l'utilisais...


Citation :

Mauvaise interprétation de cette phrase, alors !

Donc, en général...

Voilà... aucune notion de particulier ici, une personne qui s'auto réconforte, en général, sans aucune particularisation, dans le texte en tout cas...


Oui surement une mauvaise interprétation (je posais un questionnement au lecteur pas à l'auteur), et pusi ce serait bien que tu postes pas plusieurs fois à la suite, stp Is, je vais devoir balayer derrière j'aime pas ça...

sauf que tu peux aussi le lire autrement... cet impératif, et là c'est la façon dont le lecteur va le lire qui en fera un sens général ou particulier...

oui Is mais je ne l'ai pas fait et c'est pas uniquement de ma faute...

Zut, on peut discuter ou c'est fermé cette conversation mincre!

Is tu vas finir par penser que bloque dessus, mais la forme, la mise en page, guide le lecteur, et justement l'impératif renforce ce guidage. C'est le souci de ton texte: même si tu ne veux pas qu'on, tu fais de façon à ce qu'on....Paradoxal? pas tant que ça, on a tous nos habitudes, même si on veut s'en défaire.