Merci à tous les commentateurs de ce poème. Toutes mes excuses à ceux qui en ont éprouvé une sorte de gêne, ce n'était pas le but.

Tout d'abord je dois dire que j'ai une fâcheuse tendance à m'impliquer dans mes poèmes : je dis JE alors que cela ne me concerne pas du tout : c'est comme une pièce de théâtre dans laquelle je jouerais un rôle. Je rentre dans le sujet, je deviens le personnage du poème, mais le point final posé, c'est comme le rideau retombé sur le devant de la scène. Je redevient tout autre.
Ce n'est donc pas MOI que vous jugez, mais un sonnet plus ou moins bien ficelé qui vous a ému (ou indigné).

Cette mise au point faite, j'ai apprécié les éloges (merci Alexandre, Kie, Brabant, Marite) autant que les réserves dues au caractère particulier de ce poème. Il est des sujets plus anodins c'est vrai, mais pourquoi ne pourrait-on aborder, en poésie, toutes les circonstances de la vie ? C'est ce que j'ai tenté de faire ici, pardon à ceux que j'ai pu choquer.

Merci à vous tous.