Avec un peu de retard, je viens présenter mes sincères remerciements au CE qui a accepté de publier mon cri d’amertume, « Je vois demain pleurer », ainsi qu’aux commentateurs qui ont bien voulu laissr une trace de leur ressenti sous mon écrit.
Je tiens à souligner ici que j’accorde un grand intérêt aux remarques et suggestions qui m’ont été adressées.

Si certains (Robot, Alexandre, DaemonDesanges) n’ont pas apprécié le pessimisme du poème, d’autres (Hananke, senglar, wancyrs, chene), par contre, ont compris et ressenti la déception et le manque d’espoir que j’ai voulu communiquer dans mon écrit. Il est vrai que les débuts de toutes les révolutions précédentes sont similaires - sinon pires- à ce qui se passe maintenant dans les pays du Printemps arabe, mais comment espérer quand on voit tout ce cirque ( je reprends le terme qui sied bien à la situation, employé par sengar) monté pour que ça échoue : tous les acteurs, internes comme d’ailleurs, s’en mêlent en habiles acrobates, en féroces dompteurs, en ridicules clowns. Et c’est le peuple qui paye la facture, comme toujours. Et comme l’a si bien dit sengar, il n’y a des antagonismes, des idéologies qui ne défendent que leurs intérêts.
Encore une fois merci à vous tous.
Brisemarine