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Les deux sont surement gratifiant chacun à leur manière, mais admettez que écrire est à la base un loisir, un plaisir, une chose que vous faîtes parce que vous l'aimez donc que publier est plus une consécration qu'autre chose. Un accomplissement devrais je dire. Et que de recevoir des commentaires est encore plus gratifiant parce que très utile.

Citation :

Et je persiste à penser qu'il serait encore plus correct de la laisser. . Ainsi nous aurions loisir de la lire quant il nous chante et non avec cette "vague menace" d'une suppression prochaine. Un peu un procédé de camelot ne trouvez-vous pas ? (avec tout le respect que j'ai pour les camelots bien entendu)

Bonjour Jeanmarcel,

Je suis pour ma part très attachée à la liberté de pouvoir retirer ses textes librement du site. Je suis auteur, mes textes m’appartiennent, et j’aime savoir que j’ai la liberté de les laisser sur Oniris comme de les retirer sans avoir à me justifier.

Ceci dit, ils y sont toujours. Sans doute parce qu’ils sont bien au chaud, en dehors de mon ordinateur parfois capricieux. Aussi parce que je me dis que si quelqu’un veut me connaitre autrement qu’à travers mes (rares) interventions en forum, il peut me lire. Je suis responsable de la centrale, mais par accident : je me suis d’abord inscrite pour lire et être lue.

Les réactions suite à votre information ne m’étonnent pas, je les comprends : moi aussi, quand j’ai lu votre post, je l’ai lu comme celui de quelqu’un qui se « sert » d’un site sans jouer le jeu de la réciprocité. Cependant, c’est faux, vous intervenez en forum, vous commentez d’autres textes. Donc, pour résumer ma pensée, Oniris est une communauté, fragile et solide à la fois. Votre post a pu paraitre désinvolte, et a donc engendré des réactions de membres attachés au site, que ces membres soient au CE ou pas. Pour ma part, je ne l’avais pas compris comme une annonce de départ mais comme la simple annonce du retrait de votre texte, parce que certains des aspects du site (les classements) ne vous conviennent pas.

Je ne vais pas lancer une discussion stérile sur vos intentions de départ ou pas, simplement souligner que votre message a pu être pris différemment de ce que vous souhaitiez indiquer. Nous n’opposons pas les auteurs aux lecteurs, loin de là, puisque nous sommes pratiquement tous des auteurs. Justement, c’est l’échange qui fait l’intérêt du site.

Bonne continuation sur Oniris, au plaisir de lire vos textes et vos commentaires.

Non MonsieurF , aucun chantage de ma part. Je ne vois pas pourquoi je ferais "chanter" les lecteurs de ce site ? Le camelot vend de la camelote , moi je publie sur des sites ou l'on peut télécharger mes oeuvres gratuitement donc vous vous trompez sur mon compte.

Merci à Perle-Hingaud pour cette mise au point très explicite.

Jean Marcel est libre de faire ce que bon lui semble, à mon humble avis, néanmoins, à peine arrivé sur ce site je constate une foule d’auteurs ayant déserté les lieux. Est-ce dû au hasard si tant de personnes n’apprécient pas Oniris ?
En toute sincérité, je ne le pense pas. Le fonctionnement est bien trop lourd, bien trop froid. Je crois qu’en voulant faire mieux, on obtient moins.
En fouineur que je suis, je crois comprendre l’originalité d’Oniris. Ayant lu la description du système d’évaluation, de nombreuses fautes d’orthographe m’ont surpris. Oniris me semble tout simplement un joujou d’informaticiens chevronnés qui ont mis au point un logiciel d’évaluation et de classification, qui finalement va à l’encontre du but recherché.
Je vois d’autres sites beaucoup plus simples ou quelques administrateurs aident les auteurs sans un tel processus, pour un résultat qui n’a rien à envier à Oniris.

Malgré sa modération Oniris ne respecte pas les gens. Au contraire, les coups de griffe échangés à cause de lui sont si visibles. Il est si facile de démolir quelqu’un au travers de son écrit pour affirmer une personnalité qui fait défaut, le principe d’Oniris favorise cela. IL suffit de litre quelques commentaires d’une même personne sur plusieurs sujets pour comprendre son humeur du jour.

Ancien administrateur de coopérative professionnelle, je sais par expérience que le fichage public n’a jamais aidé qui que ce soit.
On m’avait parlé d’Oniris, j’y suis entré pour voir les coulisses: on est jeune, on s’amuse. Espérons qu’avec l’âge Oniris évoluera.

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T'as vraiment rien compris, t'es arrivé avec tes préjugés et tu t'y accroches comme une moule à son rocher.

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C'est une façon malhonnête d'argumenter une critique de fond par une question de forme. L'orthographe, c'est trop souvent la monnaie du mépris.

Tu veux prouver ça, Gigi, en prétendant avoir trouver une "faute" sur une annonce onirienne :

Citation :

Ah, je pensais que tu étais en train de le faire également et que ce n'est pas oniris mais la liberté d'expression qui le permettait.




Citation :

Sur le net, ce sont plus souvent les "auteurs" qui sont les clients que les "lecteurs", j'ai l'impression. Oniris à des ambitions Don Quichotesque sur ce point : faire une place aux lecteurs.

Ça veut dire ne pas prendre les lecteurs pour des buses, ne pas prendre les auteurs pour des idiots également.

C'est pas aux "lecteurs" de consoler les "auteurs" d'être des tanches, c'est aux auteurs de divertir, d'intéresser, de surprendre, ou autres émotions, qui peuvent tout à fait s'exprimer avec des mots cordiaux et mesurés, même quand ces émotions ne sont pas aux rendez-vous.



Citation :

Les évaluations permettent aux textes publiés il y a longtemps ou plus récents, et ayant eu la chance de plaire aux lecteurs d'avoir l'occasion d'en trouver d'autres. Les auteurs sont identifiés par leurs pseudos, sans lien public avec leur identité.

Bref, ton opinion est un préjugé, et tes références ou ton age n'y changent rien.

Bon, il faut reconnaître au crédit de Gigi qu'il n'a pas tous les éléments en main quand il ironise sur le nombre d'auteurs ayant déserté Oniris. En particulier, un élément d'importance, dont d'ailleurs personne ne dispose in extenso: le nombre d'auteur partis QUI REVIENNENT !
Pour moins, c'est bien un signe qu'Oniris offre quelque chose qu'on ne retrouve pas ailleurs.

Souhaitons à Gigi de trouver ce qu'il cherche sur la toile, à savoir (si j'ai bien compris) un site de publication sans sélection, éventuellement avec des commentaires, mais surtout: sans notes (pardon, évaluations) et sans possibilité de classification.

A mon avis, sélection, notes et autres classifications font partie des ingrédients qui aident à trouver les textes qu'on apprécie vraiment parmi les centaines proposés par Oniris, et les dizaines de milliers qu'on peut trouver sur le net. La chance et les spams aux amis ne font pas tout. Quand on ne dispose pas d'un temps infini, mieux vaut éviter le site des rêves de Gigi.

Pour en revenir à l'annonce du retrait futur de la nouvelle de jeanmarcel, je trouve également regrettable cette position de principe. Une telle annonce donne forcément moins envie de commenter - sauf si on est totalement et absolument altruiste, ce qui statistiquement n'est pas la norme.

Bonjour Caillouq

Qu'on évalue moyennement mes écrits ne m'offense nullement, c'est ma propre opinion, je l'ai dite dans ma présentation. Par contre, je crois que le système d'évaluation en étant plus discret serait plus efficace. Pourquoi ne pas évaluer comme on édite? Cela fonctionne très bien ailleurs lors de concours, aucun membre ne voit la notation d'un autre.
Le commentaire suffit à comprendre l'appréciation du lecteur, non ?

On s'égare du sujet, Gigi, qui ne parle à l'origine que d'une annonce de Jean-Marcel concernant son texte.

Il existe déjà plein de sujets pour débattre de l'intérêt des évaluations / notations, ou encore des formes qu'on pourrait leur donner (ou qu'elles ont déjà eues par le passé).

Vous êtes nouveau, sachez néanmoins qu'Oniris a plus de cinq ans. A l'échelle d'Internet, c'est un âge respectable, et ces années d'existence ont vu passer de nombreuses évolutions, notamment par rapport à ces systèmes de classification / évaluation.

Sachez également qu'aucun système ne peut convenir à tout le monde, et que si on modifiait le système actuel, nous aurions demain plusieurs personnes qui viendraient couiner en affirmer que c'était mieux avant.

Le système actuel semble convenir à la majorité, et quand on adresse plusieurs milliers d'utilisateurs, il devient forcément compliqué de satisfaire tout le monde.

Bref, je vous invite à poursuivre cette discussion ailleurs. Ici, Jeanmarcel voulait simplement prévenir les lecteurs que Mandrin serait bientôt supprimé.