Bonjour,

Un grand merci au CE pour avoir accepté ce texte et aux commentateurs.

Dans quel cerveau malade un tel texte a-t-il pu naître ?
Bien entendu, il est à prendre au second degré, même s'il se frotte effrontément au blasphème. C'est un jet très spontané suivant la construction et les contraintes de la ballade.
Il faut le voir comme une plongée rapide dans le cabinet de curiosités d'un médium ou spirite.

@Lebarde
Merci pour votre commentaire.
Pour l'amateur érudit de la poésie classique et adepte de la forme claire que je crois que vous êtes, je comprends que ce texte n'ai pas plu. Peut-être qu'un prochain texte plus conventionnel et orthodoxe vous conviendra davantage ?

@Provencao
Merci pour votre commentaire profond, plus profond que le texte lui-même, il faut l'avouer.

@Boutet
Merci pour votre commentaire, sur lequel je vous rejoins : la marche catastrophique du monde pourrait bien nous faire penser que "[Les] démons chevauchent la Terre".

@Cyrill
Merci pour votre commentaire bien ajusté. Oui, à l'origine de ce texte, c'est bien un jeu. C'est une évocation médiévale avec un zeste de transgression.

@Ramana
Merci pour votre commentaire érudit et pour des références que je ne soupçonnais même pas.
Comme quoi la profondeur est souvent plus présente chez le lecteur que chez l'auteur.

@papipoete
Merci pour votre commentaire. Un texte difficile à comprendre ? Oh rien de bien signifiant dans tout cela, une simple évocation façon messe noire célébrée en chambre close et menée au galop.
Quant à l'expression "nul n'est perdu sauf EN Satan", elle est le pendant malicieux et blasphématoire de "être sauvé EN Christ" que l'on retrouve souvent chez les chrétiens évangéliques ( cf. par exemple : https://www.leministerebiblique.com/comment-dieu-vous-a-sauve-en-christ/ )
Cette dernière citation est pour l'exemple, elle n'est pas à visée prosélyte, on n'en doutera pas en relisant le texte. ;)

@Myndie
Merci pour votre commentaire. Vous avez compris ce texte comme je souhaitais le faire passer, sans plus de profondeur qu'une évocation rapide et fugace.

@A2L9
Merci pour votre commentaire. Eh oui, le "frères humains" est un clin d'œil à Villon. Et c'est un vieil ami : http://www.oniris.be/poesie/lapsus-la-bal-l-ade-des-pendus-3933.html