Un remerciement un peu tardif (mille excuses) pour « Cabotinage contrarié » que j’adresse d’abord au CE pour avoir accepté sa publication, aux lecteurs qui sont passés par là et bien sûr, aux commentateurs, qui ont pris la plume et le temps d’écrire leurs impressions et de faire part de leurs remarques qui me touchent.

Merci à vous, Cristale, Ornicar, papipoete, Provencao, Damy, BlazeSaintLuc, Mokhtar, Stuart, Donaldo pour vos appréciations encourageantes et vos commentaires toujours utiles et bienveillants qui me vont droit au cœur.

« Cabots », qui ne l’est pas, même un petit peu... » Vieux » pour ceux qui ne le sont pas encore, je souhaite qu’ils le deviennent le plus tard possible, « contrariés » trop souvent avouons-le !
Vous avez tous noté dans ce poème en « demi-teinte » et « sans prétention », une autodérision sur un ton ironique, « une jérémiade convenue » pour certains, d’un auteur en manque d’inspiration et de reconnaissance qui a seulement à cœur, parfois maladroitement, de respecter les codes du classique.

Merci à tous et à une prochaine fois sur un autre sujet moins larmoyant.

Bonjour Lebarde,

C'est bien aussi de respecter les codes du classique sans débords ni circonvolutions. Le poète a parlé et c'est sa voix "sans prétention" que j'ai entendue.
Même que j'en ai ressenti un peu de chagrin, comme quoi l'émotion est passée dans ces vers.

Merci pour ce sympathique retour et au plaisir de lire votre prochain opus.

Cristale