Merci à black-box, à socque pour son sens du devoir sans se départir de la sincérité. Merci à Robot pour sa comparaison avec Voltaire.

Senglar, vous êtes un visionnaire et je le savais déjà mais de quel chouïa parlez-vous ? Je vous cite : « Je reste abasourdi devant le travail fourni. Impressionnant ! D'autant plus que se lancer dans ces eaux et ces sables-là n'est pas gagné d'avance. »

Il s'agit d'un ancien texte que j'ai simplifié dernièrement pour les Oniriennes et les Oniriens. Je suis très en avance sur mon temps et mes textes seront compris tard, cependant de mon vivant, je m'en trouve persuadé ; et je sais bien que c'est difficile à entendre. Même mes commentaires sont parfois mieux que les textes que je commente.

Je suis moi aussi mutationniste et c'est pourquoi j'ai voulu me moquer du Chevalier Lamarck qui disait que le cou des girafes s'était allongé pour pouvoir atteindre des feuilles haut placées, ce que ne confirme pas l'observation éthologique puisqu'elles s'assoient souvent sur les coudes ou tend-t-ent le cou-p vers le bas pour se nourrir de fougères ou assimilés. Pareil pour les baleines qui auraient été des ours aventureux nageant dans la mer la bouche ouverte en attendant de se métamorphoser en baleine. Mais il fallait Lamarck et sa théorie farfelue pour que Darwin devienne Darwin.

Il est évident qu'Oniris seul peut se permettre de publier ce genre de textes, car je ne suis pas séduisant, je suis le Séducteur. Et Oniris sera récompensé quand mon génie sera reconnu et que des lecteurs piqués dans leur curiosité consulte ce site que j'apprécie tant et que j'aime d'une amitié profonde.

La Camélopardalogie concerne la phyllogénèse et l'étude de l'alimentation des girafes, étymologiquement ; je veux dire en utilisant le mot scientifique en latin, cette langue véhiculaire encore vivante dans la bouche de la zoologie et de la botanique. Mais est-ce que vous avez rigolé en lisant ce texte ?



Black-box, donnez une deuxième chance à ce texte, vous comprendrez mieux ce que j'ai voulu dire. C'est vrai, mon exigence est grande et je mets le lecteur même coriace dans de beaux draps. Mais c'est cette exigence qui est le cœur de la qualité. Mon texte n'est pas un chef d'œuvre, il est plus-que-parfait, ce qui est la pire des modalités de l'imperfection ; il est dur de se retourner, il est dur de se mettre à la portée de plus petit que soi. Je ne parle absolument pas ici d'intelligence mais d'importance que vous accordez à la littérature, y compris celle d'Oniris souvent bafouée par les commentatrices et les commentateurs.

Bon, je vais aller dormir, il est 22 heures.

Citation :

Pas assez, je crois...

Citation :

Léonard ?

Citation :

Ah ? Non, pas Léonard : Pascal (Balise, heu, Blaise)


Citation :

Ça tombe mal, je suis malentendant partiel. Ceci dit j'ai rarement entendu un message écrit...

Citation :

J'ai comme un doute, ma foi...

Citation :

Pour une fois, je suis d'accord avec vous (sauf en ce qui concerne l'amitié : je conceptualise mal être ami d'un site ou avoir un site comme ami...

Citation :

Attention à la concordance des temps, il ne faudrait pas que vous nous induisassiez en erreur

Citation :

Encore un torticoli ?

Citation :

Même les girafes plient les genoux (j'aurai au moins appris ça)

Il est 19h56, je souffre d'une crise de fou rire...

Et moi donc ! Je parle du fou rire parce que les smileys il sont aux abonnés absents...

Bon je vais me tordre le cou avant de me tordre de rire parce que la girafe... pas encore lue ! Mais ma foi quelle pub !

Bon, content de constater que je n'étais pas le seul à tiquer.