Merci aux correcteurs d'Oniris pour leur excellent travail de "mise aux normes". "Mea maxima culpa" pour le travail infligé.
Remerciements aux lectrices et lecteurs qui ont bien voulu accorder quelques instants à ce texte.
Éclaircissements : Pour entrer dans l'ambiance, il nous faut imaginer la fin des années soixante, une région ultra traditionaliste, une atmosphère bourgeoise campagnarde, une famille catholique pratiquante et une voix "off", masculine, genre "Noiret", sur des images noir & blanc. Vous y êtes.
Le "style" paraît affecté, un peu précieux, un poil emphatique. Parfait. C'est le but recherché. Nous nageons dans l'aristocratie provinciale, imbue d'une certaine manière de s'exprimer et de vivre différemment du commun.
L'enfant s'appelait : Antoine-François-Marie de G...rry de B......ard, fils de châtelain. Il avait 11 ans, était déjà sérieux et solennel comme un notaire. Il n'est pas devenu prêtre.
Je connais particulièrement bien le site décrit dans la nouvelle. (Pour ceux ou celles qui voudraient s'en imprégner, voir le document-téléréalité diffusé par M6 : Le Pensionnat.).
"Le temps est venu" est ce moment de bascule C'est une journée qui marque une vie, effaçant une enfance, une adolescence et établissant des relations toute particulières avec les autres et leur monde. Amen.