Bonjour,

Au risque de lasser par une présence excessive, j'ouvre ce fil pour expliquer, si certains d'entre vous se posaient la question, pourquoi le forum annonçant la sortie de mon premier recueil de nouvelles a disparu.

Tout simplement parce, ayant dans un moment d'égarement écrit en toutes lettres le nom du dit recueil (les endorphines...) dans ce forum d'annonce, j'ai eu la désagréable surprise, hier soir, de constater que Google avait déjà enregistré l'info, renvoyant sur Oniris en troisième ou quatrième réponse sur recherche du titre.

OK, c'était prévisible, mais ça m'a échappé. Et ça ne me plaisait pas trop. Si j'ai la chance d'avoir des lecteurs qui ne me connaissent pas par ailleurs (soit d'ici soit irl), j'aimerais préserver un tout petit peu de mystère, et éviter qu'une autoroute ne mène droit sur mes textes accessibles ici, qui n'ont pas encore forcément leur forme définitive (Oniris, ce merveilleux laboratoire <3 <3 <3).

Je remercie infiniment les orgas, qui ont eu la gentillesse d'accéder à ma requête de couper l'herbe sous un des innombrables pieds de Google (son nom est légion, car ils sont plusieurs) en supprimant le forum problématique.

Pour ceux qui ont raté le début, je vais essayer de m'accrocher un peu plus que la dernière fois pour poster l'image de la couverture, ce qui fournira le nom du dit recueil ainsi que celui de son auteur (moi, donc ) et de son éditeur (que ses pas soient bénis jusqu'à la septième génération) d'une manière totalement transparente pour Big Brother Google.

Voilà. La vie est à la fois beaucoup plus simple, et beaucoup plus compliquée, avec les nouveaux moyens de communication. Bisous à tous.

Pas trouvé, décidément, comment on incruste une image dans un post.
Mais le titre de mon recueil et autres détails afférents peuvent être trouvés là.

Je vous laisse, je vais googliser toute la nuit pour vérifier que, ce coup-ci, Google ne pourra pas remonter la chaîne...

Le livre de Cailloucq est vraiment épatant.
C'est-à-dire qu’il m’a épatée…
Bien sûr, j’ai préféré certaines nouvelles à d’autres, comme toujours quand je lis un recueil. Ici, pour les unes, j’ai été prise par l’intrigue et/ou le suspense (« NPK », « Pas de course », …), d’autres m’ont semblé des interludes déstabilisants – une sorte de repos inquiet après avoir palpité et avant de palpiter à nouveau (« Un enterrement de plus avec ma mère », « I talk to much »...). Certains textes sont impeccables, dont « Passage du Nord-Ouest ». Pour d’autres, j’émettrais peut-être l’une ou l’autre réserve, un flash back moins bien réussi ou bien une chute trop attendue, mais tels que je les trouve supérieurs à bien des écrits d’auteurs de best-sellers.
Certaines histoires m’ont donné la très plaisante impression d’être devenue subitement plus intelligente parce que des choses très techniques et pointues sont imbriquées de façon simple dans l’intrigue. On sent quelqu’un qui a fait de sacrées études et qui maîtrise son sujet. Qui a voyagé aussi sans doute, plusieurs nouvelles sont dépaysantes à souhait…
L’une d’elles, entre autres, qui à elle seule vaut le détour. J’avais débuté ma lecture par celle-là, à cause de son titre, « Caresse de chien ». Il y a des soirs où l’on a envie d’un moment de tendresse… Eh bien, pour la tendresse, j’allais pouvoir repasser !!! Par contre, chapeau l’artiste ! Il y a tout là dedans : l’écriture choc, le dépaysement, le suspense, puis la chute inattendue et horrifique pour qui a un tant soit peu d’imagination.
Quoi qu’il en soit, de nouvelle en nouvelle, l’écriture, elle, reste égale à elle-même : jeune, percutante, entraînante et je n’ai même pas regretté que le vocabulaire m’échappe quelquefois (ce n’est pas ma génération). Il est des comédiens dont on dit qu’ils pourraient faire un tabac en déclamant le bottin téléphonique, Cailloucq pourrait, elle, écrire n’importe quoi, elle a une écriture qui ferait tout passer. Heureusement ici, ce qu’elle fait passer, ce sont des histoires palpitantes ou bien ironiques, ou simplement inquiétantes. Pour moi, elle a désenchanté les lectures que je fais depuis lors. Vivement un autre recueil !

Merci, Bidis... Si j'étais encre perméable à la modestie, j'en rougirais...
Tu ne voudrais pas écrire ça à Nelly Kapriélian ?!
Bises bises bises

Heu... Nelly Kapriélian. Quiksèksa ?

LA critique littéraire des Inrocks, qui aussi cause au Masque et à la Plume.
Tant pis.
(snrflmouche)

Mon libraire l'a reçu !
Je vais le chercher aujourd'hui...

Pourquoi tant pis ? Sûr que je vais lui envoyer mon commentaire. Hier dans la nuit, j'étais trop fatiguée pour aller voir sur le Net qui était Nelly Kaprélian, excuse-moi.
Je me disais justement qu'il faudrait que tu voies quoi faire du côté des médias. Mais je connais tellement peu ce monde là, je ne savais pas comment dire ça.
Maintenant, j'aime bien ce que je suis en train de lire ("La passion des femmes") mais vrai de vrai, pendant deux ou trois jours après la lecture de ton bouquin, tout me tombait des mains. Besoin d'une écriture un peu secouante... Cela m'arrive rarement un truc comme ça...

(Oh ben, ça fait plaisir de retomber sur ce post de Bidis...)

Juste au cas où un(e) onirien(ne) ait envie de passer faire un coucou :
je suis en dédicace le jeudi 26 mars à la librairie l'Oeil Ecoute, 77 Bd du Montparnasse, Paris 6e, à partir de 18h (la librairie ferme à 23h, ça laisse un peu le temps de bavarder).
Voilà voilà.

More on http://www.paulemike.com/

Et si quelqu'un sait comment intégrer une image à un post, qu'il n'hésite surtout pas à me contacter...

Caillouq, félicitations pour tout ça !!! Je suis allée voir sur ce dernier lien, et j'ai repéré que la dédicace du 17 avril se déroulera à Ganges (Hérault) !!!... j'habite tout à côté, peut-être une occasion non seulement de me procurer le livre, mais surtout de rencontrer une Onirienne, héhé, qui sait ?
Longue vie littéraire à vous (clin d’œil à votre 4e de couv)