Merci au CE et aux correcteurs.
Merci aux lecteurs et commentateurs.

Lorsque j’ai envoyé ce texte, je dois avouer que j’appréhendais de savoir comment il serait reçu car, par rapport à d’autres poèmes que j’ai présenté, sa mise en forme a été difficile et compliquée, notamment pour lui donner un rythme par la ponctuation et les respirations. Je voulais que ce soit un texte à dire, voire même à jouer.

Je suis partie d’une petite fantaisie que j’avais rédigée il y a quelques années comme un amusement.
C’est un récit qui m’a demandé beaucoup d’efforts et jusqu’au bout je l’ai travaillé encore et encore. J’avais du mal à estimer s’il était bien équilibré entre une vision poétique que je souhaitais introduire, un peu d’humour, mais aussi une certaine cohérence sous l’apparence d’un monologue déjanté.

Vos commentaires me rassurent.

Plusieurs commentaires relève une logique et je suis heureux que cela apparaisse. Notamment, le lien sur les clovisses avec le vase de Soissons n’est pas du au hasard. J’ai tenté au long de ce texte de rebondir sur les mots, celui-ci entraînant celui-là tout en gardant le fil décousu de l’histoire.

L’histoire d’un poète enivré par le rosé mais aussi par les mots.

Voilà le commentaire que je peux apporter pour vous remercier tous et toutes, à la fois de vos avis et de vos appréciations.

Izabouille, Lucilius, Brume, Castelmore, Léopold-Partisan, Miguel, Pouet, Annick, Pizzicato, Luz, Papipoète, Cristale, BlaseStLuc, jfmoods, Leni, Hersen, Donaldo, myndie, Emilia.

Retrouver le texte ici.
www.oniris.be/poesie/robot-logiques-decousues-d-echos-enivres-9165.html

Merci Wan pour ta visite.

Je veux aussi remercier Jfmoods pour le dialogue de Audiard qu'il a signalé dans son com.

Luz fait référence à Boris Vian et Pizzicato à Boby Lapointe. Deux auteurs dont j'aime écouter les textes chantés. Des virtuoses du non-sens.

Comme quoi le travail finit toujours par payer.
Il parait que le génie est fait d'un pour cent d'inspiration et de quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration ; c'est sans doute exagéré, mais il y a du vrai...

Et n'oublions pas, dans quinze jours :

Beaujolais nouveau
il parle longtemps au chien
devant le bistrot

(C'est un haïku rigolo...)