L'homopixelius remercie les commentateurs et décideurs de la maison Oniris de l’avoir accepté pour une sortie au grand jour.
Actuellement hors la toile pour s’exercer à m’accorder le verbe, je prends le clavier de bon gré à sa place afin de remercier les commentateurs qui ont eu la gentillesse de me faire part de leurs appréciations.

Dimou regrette de rouler en twingo ^^ (faut pas, elle est mignonne cette voiture...et pas trop gourmande) mais à qui je souhaite une dépixellisation hors la toile de ses amies poétesses. C’est vrai qu’internet nous rapproche et pourtant la distance est réellement grande. « Un poème tendre et une agréable touche féminine. » En voici des mots agréables.

Lebarde désolé que le langage du numérique ringardise le beau parler de Ronsard. Tant que vous, nous tous, soutiendrons la belle langue française n’ayons pas trop d’inquiétude. « délicatement ironique », oui c’est bien ça et je suis ravie que vous en ayez saisi le piquant ^^.

Papipoète sourit des smileys destinés à séduire mais apprécie le langage de mes vers en trouvant ce sonnet tout mignon. Il est vrai que savoir conjuguer le verbe est une arme fatale de séduction ^^. Comment ça « aucune faute technique » ? Il y en a plein pourtant ^^

Donaldo a reconnu d’emblée mon écriture, mon style (rhoo ! ça j’aime bien, qu’on me trouve du style ! Redis le me le ^^) De la prise de la Bastille du 18ème à la dissolution du gouvernement du 21ème, il y a de quoi jouer avec le langage qui chevauche les époques.

Ornicar s’est amusé de la requête de la coquette énamourée taquine en appréciant la maîtrise d’écriture. Entre nous, elle se moque un peu de lui, plus adroit avec le guidon de sa moto qu’avec celui de la plume. Qu’en est-il de sa verve hors la toile ? Peut-être l’occasion d’un nouveau sonnet qui racontera la rencontre ^^

Provencao entrée, à travers ce poème, dans le monde de l’intention qui se forge dans l’imaginaire des échanges virtuels. Quant à espérer qu’il en découle un futur bonheur, la marge me semble bien large tant ce genre de rencontre n’offre aucun lendemain. Mais le rêve n’engage à rien.

Boutet remarque les ennéasyllabes, pas simples il est vrai mais la forme courte du sonnet et le thème plutôt léger demandaient un peu de complication et de travail pour satisfaire à mes propres exigences. Si c’est trop simple, je m’ennuie et donc risque d’ennuyer mes lecteurs. Ah ! Si Ronsard voyait nos modes d’expression et de communication …

Ramana apprécie le rythme 3/6 au lent balancé et espère que je pose la toile pour déjeuner en attendant que monsieur pose le verbe sur l’herbe après avoir coupé le moteur de sa moto ^^

Myndie aime le mélange de styles langage fleuri et phrases à l’ancienne (mais oui je parle comme ça tous les jours, (faut me croire hein!) sauf devant mère-grand qui n’aime pas que je fasse ma bouche « en cul de poule », c’est c’qu’elle dit ^^

Damy aime la musique, surtout celle de Verlaine... que ne me nomme-je Hélène pour satisfaire à la rime ? (soupir). Vous avez raison concernant l’humour et la poésie, ils sont la vraie vie. Le reste n’est que chimère. Quant à une rencontre charnelle avec mon homopixelius… tss tsss… motus et bouche cousue petit curieux ^^

Salima veut tout savoir et aime comprendre « ces choses là » « hors la toile accordez-moi le verbe ». Hihihi c’est quoi ce « verbe » à accorder ? Vous me taquinez car je pense que vous avez compris. En cas contraire, je vous convie à mon estive au pied du troisième dolmen, après le grand menhir à gauche de la pointe de Pen-Hir, afin que je vous délivre quelques explications en dégustant un kouign Amann et un verre de cidre.


Encore merci à vous tous et toutes ainsi qu’aux nombreux lecteurs, vous qui donnez vie à chacun de mes poèmes.
Que seraient-ils sans vous que de pauvres vers oubliés au fond d’un fichier ?

Je vous souhaite de belles inspirations (ravie de constater que la relève est assurée en ce qui concerne le classique) et de bonnes respirations sous le ciel d’été.