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La Roche en Ardenne
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Bonjour à toutes et à tous,

Je remercie tout particulièrement le Comité Editorial pour cette publication et plus encore Marimay pour sa vigilance quant à une ponctuation fautive vite corrigée par ses soins.

Également, pour leurs commentaires élaborés en Espace Lecture, je remercie très sincèrement papipoète et Proseuse dont la lecture m’a quelque peu rassuré sur la facture de ce poème que j’ai voulu sincère et dénué de pose.

Tout y est vrai et visiblement le message est passé !

Je dois avouer un certain étonnement - teinté de plaisir - sur le très bon accueil que m’ont réservé des plumes poétiques elles-mêmes rompues à l’exercice ! Merci à toutes et à tous pour vos lectures pertinentes. J’ai vraiment éprouvé une joie sincère à lire des critiques élaborées. Je voulais une écriture simple et sincère, la teneur des commentaires me laisse à penser que j’ai probablement atteint ce but.

Merci encore !

À :

papipoete : pour avoir été le premier héraut passionné de cette déambulation pastorale un grand Merci !

Proseuse : je vous ai envoyé en MP la traduction de l’exergue de Virgile que je reprends ici pour qui voudra :

« Ici des sources fraîches ; ici de moelleuses prairies, Lycoris ; ici un bocage ; ici, près de toi, c’est l’âge qui me consumerait. »

Cette traduction du texte latin original est de M. E. de Saint-Denis aux Editions des Belles Lettres.

egfrild : Merci d’avoir noté la simplicité de l’écriture. Vous avez raison sur le côté précieux de [Ô miroirs d’eau] qui ne se voulait pas tel lorsque je l’ai posé sur le papier mais ce qui compte est bien le ressenti du lecteur. J’en prends acte ! Je pense qu’à ce moment j’ai voulu surtout exprimer de manière un peu solennelle l’amour sans mélange pour ces lieux de l’enfance, quelque chose de presque indicible !

Michel64 : merci pour cette muraille dont vous relevez la beauté. C’est ici encore une image vraie de ces roches où des sources inépuisables ruissellent avec cette charmante rumeur inaudible à qui ne sait pas tendre l’oreille. Merci vraiment de cette lecture !
Pour les passages à la ligne, un aveu : cette poésie n’a pas été écrite au sens commun du terme, elle a été jetée sur le papier en quelques minutes et me paraissait retranscrire si parfaitement la vérité des sentiments que je n’ai voulu la retoucher à aucun prix ( la seule retouche interviendra sur la proposition de Marimay à propos d’une virgule manquante après le remous sableux d’un goujon )
Le fait que ce texte ait pu jaillir comme une injonction brutale ne veut pas dire qu’il n’y ait pas d’inspiration antérieure ayant contribué à sa facture, bien entendu.

Deux sources (encore des sources, décidément…) sont à l’origine de ce poème :

D’une part, le souvenir émerveillé d’un lieu qu’à soixante années de distance rien n’a pu amoindrir et que les vers inégalés de Virgile ont réveillé en moi ;

d’autre part, un texte publié ici-même par Silvieta évoquant son enfance à travers le souvenir d’un conte inachevé, je veux parler du Château de sable.

Après un temps de maturation…voilà ce que cela a donné…sans retouche aucune !

TheDreamer : Merci d’avoir relevé la simplicité de cette écriture, c’est pour moi essentiel de faire simple et d’éviter les tournures alambiquées. Fraîcheur innocente est bien vu : à soixante années de distance c’est bien avec les yeux d’un enfant de sept ans que j’ai « revu » ces paysages.

Antinoos : Merci de confirmer la clarté du propos. Il m’est essentiel de ne rien gâcher avec des travestissements grossiers qui nuisent à la compréhension. Merci vraiment !

PIZZICATO : Merci de saluer les Muses par leur nom et d’en souligner la beauté des images. Merci !

Personne : Merci pour la limpidité des vers, je constate au fil des commentaires que cette simplicité est évoquée par beaucoup de lecteurs ce qui est une vraie satisfaction d’être ainsi reconnu comme lisible si j’ose dire !

Ludi : si je vous disais ce que ce belvédère à vu…ce ne serait pas comme chez Hérédia ( Cette verrière a vu dames et hauts barons etc.) peut-être un jour… si vous me donnez des indications sur vos coins à champignons….

silvieta : Comme vous pourriez le lire plus haut en lisant ce que j’écris à Michel64, c’est votre Château de sable qui est une des sources de mon inspiration pour évoquer ainsi mon enfance. Que dire de mieux ? Soyez-en remerciée ici !

jfmoods : Merci pour cette présentation juste et mesurée du poème. Le moins que l’on puisse dire est que vous avez une lecture qui tout en ne négligeant aucun détail ne se perd pas dans l’accessoire ; vous allez au plus juste et c’est vraiment un régal de se sentir lu et compris.
Puisque vous évoquez - je pense que vous êtes le seul d’ailleurs - la silhouette au manteau noir qui évoque précisément la mort prochaine ou à tout le moins ma vieillesse commençante, je veux vous donner la source de cette évocation tirée d’ un poème de Paul van Ostaijen dont le titre est De oude man ( Le vieil homme ).
Je ne sais pas si vous êtes néerlandophone mais si cela vous intéresse, je peux vous envoyer ce poème sur lequel j’ai travaillé avec mon professeur de littérature néerlandaise à la Sorbonne et dont j’ai proposé une traduction. Faites-le moi savoir en MP je ne voudrais pas trop alourdir ce fil en le publiant ici.
Merci encore à vous !

Raoul : merci d’avoir relevé le pouvoir d’évocation de ce texte. Il a été écrit si rapidement et sans aucune affèterie que je suis bien aise de lire sous votre plume ces compliments. En ce qui concerne l’azur je dois avouer que rien ne m’a paru plus juste au moment ou j’écrivais ce mot. Figurez-vous qu’après l’avoir écrit je me suis dit, n’est-ce pas un peu outré ? Et puis je me suis rappelé que les armoiries de La Roche elles-mêmes comportent ce qui s’appelle en héraldique un lambel ou lambrequin d’azur et je me suis dit que ce serait amusant d’avoir mis ainsi sans le vouloir vraiment un indice un peu curieux (Lapsus mémoriel?). Notez cependant que le ciel de mon enfance est toujours bleu dans mes souvenirs !

MissNeko : merci pour votre beau commentaire ! J’avoue que je n’ai pas vraiment fait attention à la répétition que vous soulignez ( eau et temps ) mais je ne suis pas autrement étonné car dans mes écrits ( tous mes écrits pas seulement ici ) je me rends compte d’une certaine propension à la répétition ! Comme je l’ai précisé plus haut, ce poème a été écrit en quelques minutes sans retouches ce qui explique ceci sans d’ailleurs l’excuser ,vous avez raison !
Merci encore !

Contribution du : 03/04/2017 10:13
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Re : La Roche en Ardenne
Visiteur 
À :

Recanatese

Merci pour votre appréciation élogieuse sur cette évocation de souvenirs d'enfance. De manière assez étrange, tout comme vous, j'en viens à relire le poème - non pour m'en étonner, ce serait un comble - mais pour le relire à la lumière des commentaires qui me sont adressés. C'est une sensation très étrange je dois bien l'avouer

Curwwod

Que ce texte ait pu vous parler alors que selon vos propres dires ce n'est pas votre tasse de thé m'enchante et je vous remercie d'avoir su passer la barrière de vos préventions contre ce genre pour y apprécier néanmoins la sincérité de l'écriture.

Merci encore !

Contribution du : 03/04/2017 11:46
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Re : La Roche en Ardenne
Visiteur 
À :

Chene :

Merci pour ce beau commentaire sur mes aménités paysagères et les ripisylves ( je ne connaissais pas ce terme )

Contribution du : 04/04/2017 08:05
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Re : La Roche en Ardenne
Visiteur 
À :

Cristale

Chère Cristale, je tiens à vous remercier tout spécialement pour ce gentil commentaire et je vous ai envoyé un MP pour ne pas alourdir inutilement ce fil de remerciements.


Contribution du : 05/04/2017 09:32
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