Bonjour à toutes et tous,

J’adresse un grand merci et mes félicitations aux Organisateurs, à notre Webmestre Nico, à tous les Membres du C.E. qui ont travaillé dans l’ombre pour assurer le bon déroulement du concours n° 38 "Le souffle du vent". C’est toujours avec un grand plaisir que je participe aux concours d’ Oniris, que j’attends avec impatience, et cette fois encore me voici comblée par les votes et appréciations dont chacun m’a fait l’honneur d’autant plus que la concurrence était de belle qualité. L'honneur également de me retrouver sur le podium en compagnie d'auteurs de talent, les poètes Boutet et Lebarde.

Merci aux lecteurs ainsi qu'à tous les commentateurs :

Papipoète entend, entre cymbales et hautbois, le vent du port qui se fait timide quand celui du large explose sur les brisants.

Lebarde applaudit les vents indomptables et précise que le spectacle devient grandiose et la nature sublimée « entre terres et cieux ».

Myndie plonge dans l'émerveillement et dit que ce concert annoncé est bien là, dans les sonorités, les images, qui nous « montrent » de manière très explicite la fougue et la violence.

Ornicar trouve le poème très bien fait mais au final un peu trop sage et lisse, et est resté confortablement assis, au chaud, à l'abri, derrière la vitre.

Donaldo a senti la maîtrise et entendu la tonalité de ce souffle épique.

Cyrill c’est laissé mené en « ballade » avec une belle musicalité d’ensemble.

Vincent a vu et entendu un superbe tableau musical, avec toutes les qualités que réclament la poésie.

Provencao a aimé cet étonnement au cœur de l'essence, celle des sens, des voluptés et de l'âme.

Robot évoque un poème en plusieurs tableaux d'une qualité poétique indéniable.

RaMor, toujours frustré, attend inlassablement une surprise.

Boutet malgré quelques longueurs dues à l’abondance d’adjectifs trouve l’ensemble riche, évocateur et très immersif.

Bodelere précise que la structure avec le refrain fonctionne magnifiquement pour ancrer l'idée centrale du sublime ressenti face aux éléments.

Lapsus dit que la forme choisie est contraignante et difficile, mais le contrat ou pari est bel et bien rempli et le texte est d'une grande fluidité.


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Voilà, c’est avec une infinie gratitude que je vous remercie chaleureusement tous et toutes et, comme je le dis souvent, que seraient mes poèmes sans vous qui leur offrez la lumière, sinon de pauvres vers dormant au fond d’un tiroir.

Avec un petit cadeau mignon pour les fêtes de fin d’année 

Du vent dans les voiles

Avec le petit Nicolas terrorisé par le vent, un jour de 2008 nous sortîmes Elsa et moi, notre héros au milieu... nous tenant par la main et de chanter à tue tête
" j'aime le vent, j'aime le vent ! "
Désormais guéri, il put lorsque les feuilles des arbres s'ébrouaient, frétiller de joie !
Cette chanson " Du vent dans les voiles " aurait pu s'entonner sous notre toit, mais par ici le vent n'est que fort rarement mauvais.
Qui n'a jamais fredonné un air, sifflé une ritournelle dont l'acteur principal, était le vent ?
" vive le vent, vive le vent d'hiver... "
Encore bravo à notre Grande Dame d'Oniris !