Salut à toutes et à tousse..


HHHAAÂÂ.. TCHOUM !!


Amusant, mais pas autant que ce petit jeu, qui est loin d'être aussi vilain que l'intitulé le laisse à penser.


Pour changer des quatrains de libres, voici une petite variante :

L'Onirienne ou l'Onirien devra composer un quatrain en se servant du dernier vers du précédent comme premier du sien.

Avec les croisées on est tranquilles pour ce qui est du renouvellement.


Bien, si quelqu'un est chaud, je lance le jeu :

Sais-tu que l’air de son coeur
D’un ton de ciel, mélodieux,
Résonne en moi m’élève et mieux,
J’atterris même ô ma soeur.

J’atterris même ô ma soeur
Si tu savais les couleuvres
Qu'a bu mon crétin de coeur;
Des dahuts aux basses oeuvres

Des dahuts aux basses œuvres,
de leurs étrons odorants,
je n’ai jamais eu les preuves
ni témoignages flagrants.

ni témoignages flagrants
ni révélations troublantes
diront que je t’aime autant
que ta toute première amante

Que ta toute première amante
La gueuse avale son dentier
Car en tant que plus belle mante
Je vais te manger tout entier

Je vais te manger tout entier
n’abandonnant à la gamelle
du chien, que l’ombre d’un quartier
de toi, qu’une pensée formelle.

"De toi, qu'une pensée formelle
Jaillisse, et nous seront fixés,
vieux sapajou au nu véniel."
Et le singe n'a point bronché.

Et le singe n'a point bronché
Car sa cage est bien trop petite
Il doit toujours rester penché
Vie de singe, tu es maudite

Vie de singe, tu es maudite
En grimaçant de toits en toi.
Qui donc peut croire qu'on médite,
À crapahuter sur tous les choix

Correction :

Vie de singe, tu es maudite,
En grimaçant de toi en toits.
Qui peut croire que l'on médite,
Crapahutant sur tous les choix.