Pensez naïvisme Artistes Oniriens non d'un boulon !! Mais vrai, vous le faites tous exprès.

Je reviens demain satelliser ce fil de 1 milliard de couleurs.

Je vous kiffe. Je ne tourne pas bourrique je suis fier de moi.

À demz

Citation :

Aïe

Citation :

Je ne suis pas certain que ce soit des conseils ni qu'ils soient à suivre. Des suggestions tout au plus, et il faudrait que j'aille vérifier dans mes propres écrits que je n'aie pas écrit des "dicendi" à rallonge.
Je ne suis d'ailleurs pas un grand utilisateur de dialogues, je prendrai donc toute suggestion qui viendraient sur ce fil : couleurs, relief, scrolling, encre sympathique...

Embellie, je crois que c'est exactement ce qu'il faut pour les dialogues

Muchas gracias, Charivari !

Voilà bien une nouvelle parole jetée à qui veut la croire que je ne tiendrai pas. La lumière n'est pas allumée là haut !! Le naïvisme est capricieux et ne rend pas monts et merveilles à chaque fois de toute façon. Le quoi-qu'il-en-crée ne me ressemble pas. Tchuss

- Pas question. Au fait, tu comptes cramer nos impôts sur les internets ce soir ?

- Sé’ pô hihihi ^^ j’ai une heure à tuer alors… ^^

- Une heure ?

- Et quoi ?

- Celine sera rentrée. Bois-les-Puanteurs est un petit monde…

- Mmmhf… Celine…

- Économe et pleine de sollicitude.

- Oui mais je trouve que tu manques de pèche en ce moment :(

- Tu vas voir si je manque de pèche, moralisatrice… Et j’en garderai même pour Celine…


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Bonjour Zorino, j’ai tenté un truc avec vos dialogues, un ménage à trois, j'ai pas trop bien compris les dialogues car votre personnage doit "rentrer" et pourtant il est assis sur son canap ? bref, je pense que le dynamisme du dialogue parlé, pour que tout à fait il soit insufflé, doit éviter les manières.

Par exemple, pas besoin des ”disait-il d’un air sec” : le ton, la concision de la phrase, et un point final ferme et décidé nous le montrent l’air ”sec”

On doit tenir compte de la personnalité, du contexte oui, mais aussi de l’âge, du ton général de la pièce, rester sur la même vibration tout du long, on pose un univers et on le fait vivre.

Je suis un amateur qui n’aura lu aucun traité d’aucune sorte sur la bonne manière d’écrire mais voilà un début d’explication naïviste.

Sujet intéressant et finalement vaste, aussi bien sur le fond que la forme, la ponctuation associée... Personnellement, je suis choqué par l'inclusion dans la partie entre guillemets, de parties hors dialogue:

«Je suis venu, dit-il avec emphase, afin de régler cette problématique.».

ou

«Je suis venu...» dit-il avec emphase «...afin de régler cette problématique.».

La seconde formulation est le cas normal dans certaines langues, m'a-t-on dit, mais je n'en sais pas plus.

Quand aux points à mettre avant et / ou après les guillemets, je n'ai jamais trouvé de possibilité satisfaisante. Je ne sais d'ailleurs s'il existe une règle grammaticale là-dessus.

Bonjour Ferrandeix,

La première option est correcte également mais si on décide de l'employer, il est d'usage de mettre en italique la partie citation, exemple :

« Je suis venu, dit-il avec emphase, afin de régler cette problématique. ».

Le plus simple étant d'adapter la phrase :

« Je suis venu afin de régler cette problématique » dit-il avec emphase.

Ce qui permet aussi de régler le problème esthétique du double point final .».

Oui, mais si la réponse est plus longue, il n'est moins idoine d'indiquer à la fin l'incise.

«Je suis venu afin de régler cette problématique. Ne croyez pas que je me survalorise. J'ai l'intention de servir la communauté. Le différent menace notre survie précaire.» dit-il avec emphase.

Et s'il y en a une demi-page, cela devient difficilement concevable. C'est la raison pour laquelle, l'incise à l'intérieur du dialogue s'est développée dans de nombreux cas. Et la difficulté est accrue quand il y a un changement de ton à l'intérieur du dialogue.

«Ne me provoquez pas dit-il avec humeur, néanmoins, je veux bien tempérer mes propos.»

Tout à fait d'accord.

Néanmoins je pense que c'est à l'auteur de s'adapter, de scinder son propos pour éviter la lourdeur du cas évoqué. Par exemple :

Il s'exprimait avec emphase : « Je suis venu afin de régler cette problématique. Ne croyez pas que je me survalorise. J'ai l'intention de servir la communauté. Le différent menace notre survie précaire. »

Il fit un pas vers la fenêtre sans quitter son interlocuteur des yeux et poursuivit avec humeur :
« Ne me provoquez pas, néanmoins, je veux bien tempérer mes propos ».

Cela rend la scène plus vivante qu'un long monologue.

Maintenant, à chacun son style.