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« Librement consenti » un grand merci.
Maître Onirien
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Bonjour à tous et merci aux petites mains qui, derrière le rideau de la scène onirienne, travaillent en silence pour permettre à nos textes de vivre au grand jour.
À mes lecteurs, et commentateurs, j’adresse mes plus chaleureux remerciements.


Papipoète
« je ne sais qui parle... est-ce une créature charnelle ou bien une faille dans un rocher, ancré sur le sable de la plage ? » L’on dit que l’auteur doit laisser la part de mystère que le lecteur est libre d’interpréter...je vous laisse a vos rêveries, cher Papipoète, dont je sais qu’elles seront nimbées de magie :)
Merci encore.

Moktar
Ayant eu le plaisir d’échanger avec vous quelques avis concernant le deuxième quatrain, je n’y reviendrai pas ici mais je retiens également « Ce poème a bien des qualités. La sensualité qui s’en dégage est superbement rendue, en termes choisis. Les images et métaphores sont séduisantes. Je pense que les avis des oniriens permettront à l’auteur(e) d’apporter les retouches qui peaufineront l’ensemble. » Et vous avez raison Moktar car l’avis des Oniriens m’a toujours été précieux.
Merci beaucoup.

Miguel
« Cette lente montée en puissance me rappelle une publicité Perrier d'il y a une trentaine d'années : une bouteille, caressée d'une main experte, passait du petit au grand format avant que le bouchon ne saute et ne libère l'effervescence du contenu. Je retrouve ici cet humour sensuel. « 
J’ai failli m’étrangler de rire Miguel, on peut dire que vous avez le sens de l’humour,...et de l’observation ^^
Merci à vous :).

Bipol
»une scène aussi belle que tempétueuse tout y est pour éveiller en moi des souvenirs ensoleillés
je ne parlerai de la forme car je ne connais rien au classique mais je ressens la beauté dans vos mots «
 
Point n’est besoin de connaître les règles d’un texte classique, l’essentiel est d’en ressentir la poésie et vos mots me disent que vous avez été sensible aux images évoquées. J’en suis doublement ravie.
Merci Bipol.

Corto
»Dès la seconde strophe "Une vague torpeur m’enivre sans raison" l'auteur nous entraîne dans les fantasmes et les "frissons délicats" de son personnage. Un seul mot me parait usité de façon très surprenante: "lunaison" dont la place ici semble dictée par la nécessité d'une rime. On finit par s'en accommoder pour jouer le jeu de l'accueil du temps nocturne. »
Que dire...oui, ce mot évoquait le pouvoir de la pleine lune de façon cyclique sur les marées, je le trouvais assez bien approprié au thème du récit, et, c’est vrai aussi, il m’offrait une rime adéquate ^^
Merci Corto.

Anje
«Le choix d'un titre n'est pas chose simple. Celui-ci me paraît de moins bonne inspiration que les mots qui le suivent. « 
Ouf ! Avec un titre mieux inspiré les mots le suivant auraient peut-être semblé trop fades :)
«Il n'y a peut-être que jouissif qui semble être passé à travers le tamis. J'aurais bien entendu un r de plus dans ce vers pour venir ronronner avec frémissement. Comme réjoui par exemple. Mais ce n'est que l'avis d'un étudiant « 
Et un excellent avis ! « L’écho réjoui » plutôt que « L’écho jouissif »... »d’un long frémissement », bon, mais n’y perd-t-on pas un peu de l’idée « orgasmique » du vers finalisant la scène ? C’est à réfléchir. Savez-vous, Anje, qu’un jour l’étudiant peut dépasser le professeur ? Oui oui, c’est certain :)
Merci à vous.

Stephane
« Le titre "Librement consenti" est déjà un poème en soi et nous promet de bien belles choses. Je m'attendais à un poème érotique et sensuel et au final, c'est ce que j'y vois, le tout savamment orchestré par un champ lexical du plus bel effet. «
 Je suis heureuse que tu ne sois pas déçu de cette publication. Je t’avouerais que je craignais quelques voix offusquées mais il n’en est rien, bien au contraire et cela m’encourage dans ma quête poétique.
Merci Stephane.

Hananké
« Quelques bricoles : 3 de dans le premier quatrain pour chipoter un peu. »
J’y travaille Hananké, j’y travaille ^^
« Les métaphores marines nous conduisent subrepticement du début à la fin de ce sonnet. Belle écriture poétique où tout est suggestionné... »
Bel emploi du verbe suggestionner...Oui les métaphores marines sont relativement appropriées à ce genre de récit, et puis, mes pays d’adoption qu’ils soient Bretons ou Basques m’inspirent quelques images mouvementées :)
Merci Hananké.

Robot
«Ce récit métaphorique inspiré par le bord de mer raconté avec une pudeur retenue laisse cependant un sentiment de sensualité  « 
Vos mots me disent ce que je souhaitais concernant la pudeur et la sensualité de mon écrit. Ce n’était pas facile mais votre regard suffit à me rassurer.
« Mon seul bémol serait pour ces elfes et sylphides qui me paraissent un peu rapportés, leur présence n'étant pas absolument nécessaire au récit, si ce n'est pour la rime de sylphides avec avides. «  Là, c’est mon âme de rêveuse au pays des korrigans qui se dénonce (^-^)
Merci Robot. 

Pouet
« Outre le style "mutin" caractéristique, on retrouve des termes chers à l'auteure, me semble-t-il, comme "mascaret" ou "incarnat" par exemple...
Bien aimé la "vague" torpeur... Joli rappel.
Un autre plus aussi pour: "Déclot ma chrysalide" puis "Dans l’écho jouissif" «
 
Nos écritures sont aux antipodes l’une de l’autre mais au fond, ce qui les relie, c’est bien la poésie, même si elle n’existe pas:)) Vous avez remarqué mes mots « fétiches », il en existe d’autres qui me collent au clavier, et je les aime bien, c’est vrai :)
Merci Pouet.

Lebarde
»Quelle impudeur dans ces aveux évocateurs du plaisir féminin, quelle délicatesse dans le propos, quelle poésie dans l’expression, le choix des mots, la grâce des vers, la subtilité des images. »
Et que puis-je dire après ce bouquet d’appréciations ? Heu...rien...si : un grand merci Lebarde (^-^)
«Un petit regret: le titre que je trouve « un peu à l’écart ». »
Impudeur et délicatesse...voilà qui est bien résumé, et me convient parfaitement. Vos mots sont un bouquet d’appréciations à eux seuls :) Concernant le titre, d’autres l’ont dit, mais je préfère que ce soit dans ce sens plutôt que l’inverse :) Auriez-vous un titre à me suggérer ? J’avoue que c’est toujours un choix difficile.
Merci Lebarde.

Dream
»Il faut lire entre les mots et entre les images –même si je ne m’explique pas tout à fait le titre "librement consenti" – de ce très beau sonnet que l’auteure déclame dans toute sa superbe, en tirant les ficelles du désir et où l’on sent déjà poindre "les délices de Capoue". «  Le titre exprime la chute du mur des tabous, et de l’hypocrisie .
Comme je l’ai écrit précédemment, ce ne fut pas un choix facile à faire. Votre lecture « entre les mots et entre les images » vous a guidé dans le déroulé des quelques métaphores. Je dis ouf car je conçois que cela puisse être compliqué pour la compréhension d’un texte mais, pudeur et respect du lecteur oblige.
Merci Dream.

Herline
« Je ne sais si j'ai raison ou pas, mais je vois dans l’entrelacement des divers éléments naturels, des métaphores...comme si tout cela faisait l'amour en fait... « 
Et vous avez raison Herline, ici c’est l’élément humain qui s’entrelace aux éléments naturels, d’une certaine façon...
« Pour moi c'est un petit bijou, un de plus à votre actif... « 
Et pour moi un joli compliment (^-^)
Merci Herline.

Emilia
 »Le fameux sonnet annoncé a fini par paraître en termes imagés d’un talent coutumier pour lequel la « gent masculine » manque de qualificatifs pour lui rendre hommage…, votre « nouveau chef-d’œuvre de classicisme », « vos vers enchanteurs », où « délicatesse » et « délice » se partagent les faveurs, de même que « la superbe sensualité » d’un « style mutin » pour une écriture qui laisse « sous le charme » le lecteur admiratif… ; que pourrais-je ajouter, en tant que modeste représentante de la « gent féminine », à part me joindre aux applaudissements ! « 
Un commentaire tellement souriant que je me suis permise de le copier dans son intégralité ^-^
Merci Emilia.

hersen
«Et si cela avait été nécessaire, le titre insiste : il n'y a que dans le libre consentement que se développe l'évanescence du plaisir, son intensité, sa durabilité émotionnelle. »
Ah ! Une adepte de mon titre ! Je suis contente que tu le comprennes dans l’idée que j’ai voulu transmettre.
« C'est un très beau poème, j'aime la revendication quand elle est évocation si jolie. »
Bon, je peux donc préparer d’autres affiches pour ce genre de revendication (^-^)
Merci hersen.

myndie
»Eh bien!
N'avais-je point raison quand je subodorais
Que de vers polissons tu nous abreuverais?
En ces temps de disette, c'est le corps qui exulte;
Lors, vive le plaisir de ces forces...occultes!

Ok, Cristale, c'est pour le fun. Mes pauvres vers ne se hisseraient pas bien haut s'ils osaient se mesurer à la finesse de tes alexandrins. A nouveau, voilà que tu nous emportes de ta plume légère, généreusement érotique mais délestée de toute vulgarité. «
Ne sois pas si modeste Myndie, il suffit de poser les yeux sur tes pages pour reconnaître la finesse de ta plume. Je suis ravie que mon texte te plaise : érotique sans vulgarité. C’est bien ce que j’avais intimé à ma plume :)
« J'ai trouvé géniale l'incise au 2ème vers (4/8) qui, freinant abruptement le rythme des alexandrins, m'a immédiatement évoqué le mouvement de la vague qui se cambre et déferle, puis se fracasse au sol avant de reprendre son rythme...
Alors c'est ça la fameuse "vague scélérate": un "flux et reflux outrageant"?^^ « 

Tu as tout et bien compris...et bien dis, je n’ai donc rien à ajouter, si, un grand merci :)
Merci Myndie.

Donaldo75
« Ah, le classique ! C’est quand même sacrément compliqué de réussir un poème dans ce genre sans ressembler à un exercice de style, non ? »
Oui ^^ ! C’est très juste Donaldo,
«je me suis dit que ça pouvait couler de source avec beaucoup de travail, de la ténacité, une excellente maîtrise du vocabulaire et bien entendu des années de pratique. » Pour tout te dire, c’est la sphère onirienne qui m’a poussée vers une meilleure maîtrise. Chaque publication, des autres ou de moi-même, est source d’apprentissage, ensuite, ce n’est que du plaisir et quand on prend plaisir à ce que l’on fait, ça le rend plus joli.
Merci Donaldo.

Michel64
« Déjà la musique seule des vers suffirait à ce que je mette "beaucoup plus".
Pour le texte je suis comblé aussi tant cette métaphore sensuelle est bien écrite.
Seul le "ressac... de l'horizon" m'a un peu fait tiquer. «

Imagine yeux ouverts, yeux mi-clos, yeux ouverts, yeux fermés  face à l’horizon...l’effet ressac du regard vers l’horizon toujours changeant sur l’océan, essaie de l’imaginer...
« ce sonnet magnifique que je m'en vais relire encore à haute voix. « 
Mamamia ! As-tu pensé à tes voisins !
Merci Michel.

SaintEmoi
« Je vois au-delà de la métaphore, ce concret si essentiel qui fait nos sensations. Alors s'agit-il d'un rêve, d'un désir fantasmé, d'un plaisir solitaire ou partagé ? Avec délicatesse l'auteur nous donnent les signes que nous voulons bien y voir. « 
Comme c’est bien dit...la liberté d’interprétation est propre à chaque lecteur, c’est ce petit espace de magie qui s’échappe des volets mi-clos du texte de l’auteur.
«J'y vois pour ma part cette forme de liberté que nous ne pouvons avoir que seul, même si la pudeur magnifique des mots est un voile qui cache avec grâce l'intimité des gestes. »
Quel plaisir d’être si bien lue ^-^ 
Merci SaintEmoi.

Queribus
«Un sonnet parfait (d'aucuns chipoteront pour une virgule ou un mot mal choisi) avec des rimes croisées dans les deux quatrains et un côté un peu abstrait (j'allais dire mallarméen mais ça fait un peu pédant) »
Allons Cher poète, accorde moi ce défaut de pédanterie et laisse-moi déguster l’idée de ce côté abstrait un peu mallarméen que tu attribues à mon écrit :)) 
Virgules et mots mal choisis n’ont qu’à bien se tenir, c’est entendu.
Merci Queribus.


Encore un grand merci à vous tous et toutes.
..et pardonnez mes fautes d'inattention s’il en est.


Cristale

Contribution du : 10/04/2020 21:02
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Re : « Librement consenti » un grand merci.
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Bonjour Cristale,

Il faut du temps, beaucoup d'eau sous les ponts avant que le prophète ne rattrape la maîtresse. Et, en poésie surtout, rien ne sert de courir.

Réjouir et jouir n'ont effectivement pas tout à fait le cri. Vous poussez ma réflexion plus loin. Comme je suis levé tôt, je m'en vais de ce pas demander son avis à la lune.

Grand bravo. Non pas trop, je ne veux pas réveiller les voisins quand-même. Ils croiraient qu'il est vingt heures et que j'honore le personnel soignant.

Que votre inspiration ne se confine pas.
Anje

Contribution du : 11/04/2020 05:45
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Sur des pensers nouveaux, faisons des vers antiques. (A. Chénier).
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Re : « Librement consenti » un grand merci.
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Bonjour Anje,

Et bien, vous êtes matinal ! Dame Lune a-t-elle apporté une réponse à votre questionnement céleste ?

Concernant l'eau sous les ponts, tout dépend de la vitesse de son écoulement et donc du degré de la pente qui l'entraîne. De plus, si la maîtresse est essoufflée et qu'elle s'arrête sur le pont pour flâner, il est à craindre que le disciple ne sèche le cours et la dépasse :)

Merci Anje pour ce sympathique retour.

Confinez-vous bien

Cristale

Contribution du : 11/04/2020 18:11
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Re : « Librement consenti » un grand merci.
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À Curwwod

« Ce poème remarquablement réussi montre un aspect esthétisant qui n'est pas sans rappeler certaines oeuvres cinématographiques. Je ne sais pas pourquoi je vois JC Brialy dans le rôle du partenaire masculin. »

Une interprétation qui me plaît bien...j’essaie d’imaginer JC Brialy dans les scènes de ce poème :)

« je vois le titre comme un malicieux pied de nez à la pudibonderie moralisatrice qui comme un mascaret a déferlé depuis quelques années sur les relations hommes/femmes ou pourquoi pas femme/femme. Si certaines réactions sont légitimes vis à vis du viol ou de l'agression sexuelle, l'excès de pudibonderie est aussi un fléau castrateur. J'adore. »

Et je suis entièrement d’accord ! Voilà des paroles qui résonnent bien dans mon esprit et ma vision des choses.
Moi, c’est votre commentaire que j’adore :)

Merci Curwwod.


À Hiraeth

« Quand j'ai lu pour la première fois le poème il y a quelques jours, je m'étais dit "bof, c'est bien mais ce n'est pas la Cristale que je préfère" et m'étais abstenu de commenter. »

Je m’en doutais un peu :)

« j'ai aimé cette deuxième lecture. J'étais plus réceptif au ton érotique, et, comme très rarement dans ce genre de poésie, "je m'y suis cru". Une expérience synesthétique autour du son et de la lettre "a" qui irradient le poème, blancs de lumière et d'une plénitude douce comme le sable. Mon impression est compliquée à exprimer et pas scientifique du tout, mais je m'en fiche. »

Comme l’on dit « il ne faut pas toujours se fier aux apparences » et je reconnais qu’il faut toujours écorcher un peu mes écrits pour en extraire quelques couleurs, le hasard n’a pas vraiment sa place.
Je comprends votre impression et c’est bien là où je souhaitais « vous » (et les lecteurs) emmener.
Vous avez vu en première lecture le vernis du tableau mais c’est en revenant et prenant de la distance que vous avez découvert le paysage réel de la toile. Que celui-ci vous ait plu, que vous ayez réussi à vous approprier le mouvement de la scène, ainsi que l’ambiance phonique et visuelle en « a », voyelle dite « éclatante », comme vous le dites joliment : «blancs de lumière et d'une plénitude douce comme le sable »,   qui accompagnent les images et le propos, m’est une grande satisfaction.
Ma réponse n’est pas scientifique non plus mais je m’en fiche aussi:) l’essentiel est de se comprendre.

"Comme quoi c'est important les secondes lectures." écrivez-vous et vous avez entièrement raison.

Merci Hiraeth.

Contribution du : 12/04/2020 12:34
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Re : « Librement consenti » un grand merci.
Maître Onirien
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De quelque part entre ciel et terre
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Je ne suis pas faussement modeste, Cristale, si Oniris était une école de danse, tu ferais partie de mes maîtres de ballet. Il y en a plusieurs ici.
Et un qui n'y est plus mais que je n'oublie pas, ça commence par un L

Tiens, des zeu de Pâques pour toi

Contribution du : 12/04/2020 17:41
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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Re : « Librement consenti » un grand merci.
Maître Onirien
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@ Myo
"Sur le fond : un crescendo sensuel sous les traits d'une nature sauvage dont la force nous envahit peu à peu. Des images d'abord troubles qui se font de plus en plus explicites pour atteindre l'ivresse des sens.
Un ressenti puissant.
Sur le fond : je suis aussi un peu perturbée par les " brises, avides" ainsi que par la jonction du 3e et 4e vers ( ..horizon où... )
Pour le reste, du beau travail."


Bonjour Myo, oui j'utilise les "enjambements" qui prolongent le propos d'un vers, cela évite la rupture et concoure à la fluidité de l'ensemble.
Merci pour votre appréciation.
À bientôt de vous lire.
Cristale

Contribution du : 01/05/2020 12:20
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