Je remercie le CE, d’avoir inclus ce texte dans son catalogue et je remercie bien sur tous les lecteurs qui s’y sont arrêté, et particulièrement Anje qui a relevé un hiatus, Gemini qui a pensé (furtivement) à Victor Hugo en début de lecture, Izabouille généreuse dans son commentaire, Miguel qui m’a appris un mot « amphigourique » dont je ne soupçonnait même pas l’existence, Absolue qui sans apprécier le texte salue le travail accompli, Pizzicato que je n’ai pas malheureusement pas réussi à intéressé, Cristale pour ses encouragements et qui a vu du potentiel dans ce texte, LilianneR qui a également vu du potentiel et de l’éloquence dans certains quatrains, Papipoète qui malgré sa non note a apprécier si pas le texte le travail et a qui je dirai que je vogue plus dans le sillon du fils bohème que dans celui du poète érudit, et merci à Wancyr que j’ai embêté malgré moi mais qui malgré son aversion pour le classique a ressenti des émotions, troubles certes mais émotion quand même
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A tous donc un grand merci, et soyez assurés que j’ai apprécié tous les commentaires que j’estime francs et constructifs.