Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34
De Ici et là
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Primé concours
Post(s): 24936
Hors Ligne
Bonjour à tous,

Un grand merci à toute l'équipe du Comité d’Édition qui a permis à mon texte de figurer sur le catalogue d'Oniris.
Mes sincères remerciements également aux nombreux lecteurs et commentateurs qui m'ont fait l'honneur de s'arrêter sur l'histoire de la pauvre Jeanne pour y déposer leurs impressions, respectueuses et respectables.

Arielle,
Vous m'avez fait l'honneur de votre commentaire en espace lecture. Vos suggestions d'insister moins lourdement dans le troisième sizain sur la fragilité de Jeanne et la cruauté du maître m'interpellent favorablement. Je comprends ce que vous voulez dire. Vous avez bien aimé l'histoire de cette pauvre fille et cela m'encourage pour de futurs récits poétisés, réels ou fictifs.
Merci Arielle.

Socque,
Permettez-moi de vous retourner en écho, pour le plaisir, ces vers de William Blake que vous adorez, oh ! comme je vous comprends !
Every night and every morn
Some to misery are born
Every morn and every night
Some are born to sweet delight.

Some are born to sweet delight
Some are born to endeless night.

Vous avez apprécié l'écho des premier et dernier sizain, ce n'était pas gagné d'avance mais je m'y suis risquée, je prends vos mots comme un bel encouragement de votre part.
J'ai répondu à l'une de vos interrogations par mp le jour de la parution, je n'y reviens donc pas puisque tout vous paraissait clair.
Je reçois votre commentaire et votre appréciation avec plaisir, pour je vous dirai donc tout simplement :
Merci Socque.

Robot,
Vous avez bien raison d'évoquer ce prince charmeur qui n'a rien de charmant ; un prédateur du genre qui sévit encore de nos jours et dans tous les milieux. Vous dites avoir eu du mal à vous situer dans le temps du récit, je vais re-visiter les détails qui vous ont donné quelques difficultés. Comme je l'ai confirmé dans un commentaire précédent, les répétitions sont absolument volontaires, sans recherche particulière de figure de style ; le château dort encore/le château dort, à l'aube...tout et tous dorment, sauf Jeanne. Je ne l'ai pas écrit par facilité mais pour appuyer le fait que Jeanne, qui se couche après tout le monde, se lève avant tout le monde, pour elle des nuits très courtes et des journées très longues. J'apprécie votre regard et vos remarques pertinentes dont je tiendrai compte lors d'une éventuelle reprise de ce poème. Pour votre commentaire et cette notation qui me touchent, merci Robot.

Alexandre,
Non non non, vous ne saurez rien de la localisation du Mirasol de mon récit ! Même pas sous la torture:)
Mais votre évocation de la confluence du Midou et de la Douze, donnant naissance à la Midouze me donne une idée de sujet pour la conception et la naissance d'un nouvel écrit. Les trois rivières, un bien joli nom...
Vous avez eu quelques difficultés à entrer dans cette histoire mais c'est un peu normal ; l'atmosphère qui se dégage de ces lieux chargés d'histoires et d'ombres est pesante pour le visiteur. Vous n'avez pas reculé et j'en suis heureuse car votre commentaire me dit que vous avez apprécié autant le fond que la forme. Je sais que vous êtes sincère dans vos appréciations et je suis très touchée de votre passage et de vos mots... sur mes mots. Votre haute notation me touche vraiment beaucoup.
Merci Alexandre


Lulu,
Je comprends votre peine à entrer dans ce texte relativement dense comme l'a souligné un autre commentateur. Mais vous avez, malgré cette première strophe, pénétré plus avant dans ce poème et je vous en suis reconnaissante. Vous soulignez un vers en particulier « Chaque hier a fané les printemps de beauté ». Je vous en remercie vivement. Vous dites que le récit prend son envol comme si j'avais trouvé un certain élan qui aurait été plus difficile au départ...Sincèrement, je ne sais pas, le départ ne me semble pas avoir été trop difficile, mais votre regard m’intéresse. Vous avez raison lorsque vous évoquez les douleurs de bien d'autres Jeanne, malheureusement.
Merci à vous Lulu pour votre lectures et vos appréciations ainsi que pour votre agréable notation.

Hananke,
Vos yeux me rendent en miroir un bien agréable commentaire sur ce qu'ils ont lu de mon poème.
Que vous ayez apprécié la forme et l'histoire de ce texte me ravit. Je vous confirme que les enchaînements vocables sont voulus, de même que les échos. Vous mettez en avant quelques détails qui vous ont plu particulièrement tel « le présent conjugue l'imparfait », des mots qui se sont imposés d'eux-même et que j'ai laissé comme ils sont venus. Vous le savez, je suis une passionnée des formes dites classiques et de certaines formes fixes. J'ai joué de la plume récemment avec une « sextine » aux règles relativement complexes mais passionnantes. Peut-être la présenterai-je un jour prochain sur Oniris.
Votre généreuse notation me va droit au cœur.
Merci Hananke.

Wall-E,
Vous m'offrez une superbe analyse de votre lecture ! Vous avez accordé beaucoup de votre temps à lire et détailler tous les jeux de sens, les dualités, les oppositions, les répétitions, les échos etc... C'est un réel plaisir pour l'auteure que je suis de voir ainsi son texte lu et commenté avec autant d'attention et de minutie. Vous avez souligné nombre de détails : «accroche/arrache », « le château dort encore » « le château dort, à l'aube » ainsi que des vers aux échos qui se complètent et d'autres qui s'opposent. Je ne citerai pas tout ce que vous avez eu l'obligeance de noter dans votre commentaire mais sachez que j'apprécie grandement votre regard sur ce poème. De même, vous m'attribuez la notation maximum et j'en suis sincèrement touchée.
Merci Wall-E.

Archibald,
« Un poème précieux, dans tous les sens du terme » écris-tu. Ce à quoi je réponds « un commentaire qui m'est précieux » dans le sens où tu as parfaitement analysé le thème de l'histoire, ainsi que la forme choisie des sizains en miroir. Précieux également dans le sens où tu as apprécié l'ensemble du poème. Le précédent t'avait laissé sur ta faim dis-tu, alors, que celui-ci te comble ne peut que me réjouir. Quant à la haute notation que tu attribues à mon texte, de savoir que c'est ta première appréciation « passionnément » me va droit au cœur d'autant plus que tu soulignes que cet adverbe cadre mal avec ton caractère. Peut-être que les formules A-B-C-D-E-F avec des signes positifs, neutre, négatifs te seraient plus confortables. Mais c'est un autre sujet.
Tu me mets la barre très haute, j'essaierai d'en être digne.
Merci Archibald.

Pizzicato,
Merci d'avoir relevé deux vers qui évoquent le drame final qui a coûté la vie à Jeanne.
Votre appréciation concernant l'écriture que vous estimez sans préciosité, que je comprends dans le sens que vous donnez à ce mot, me conforte dans ma quête d'une poésie moins « dentelles et fragrances », quoi que...le naturel souvent revient souvent au galop :) Votre haute notation est un bel encouragement !
Merci Pizzicato.

Vincendix,
Votre engouement pour mon texte me réjouit agréablement. Vous avez raison de souligner que ce genre de drame existe encore de nos jours, malheureusement, même si les seigneurs portent d'autres « titres ». Votre appréciation concernant le travail sur les sizains m'encourage à poursuivre mon apprentissage sur « les formes », quand je dit travail je devrais plutôt dire « passion ». Pour moi, fond et forme doivent former un couple en parfaite osmose. Mais ce n'est pas toujours facile et la réussite est aléatoire. Votre notation hautement généreuse me touche beaucoup.
Merci Vincendix.

Leni,
C'est avec plaisir que je vois que vous avez apprécié cette triste histoire et mettez en avant le quatrain « où l'éternel présent conjugue l'imparfait ».
Le côté sombre et dramatique ne vous a pas rebuté bien que trop de détails vous semblent un peu trop appuyés. J'en tiens compte, sans doute ma plume est-elle un peu trop bavarde:)
Un commentaire et une notation qui me comblent sincèrement.
Merci Leni.

Papipoète,
Vous savez si bien parler à Jeanne, avec douceur, avec tendresse. La victime est l'accusée et c'est elle qui doit cacher  « sa faute » vous l'exprimez avec une sensibilité toute à votre honneur. Non, ce genre d'histoire n'est pas seulement du passé, d'autres Jeanne d'aujourd'hui subissent de tels outrages, de telles agressions. Votre regard posé sur la contrainte technique que je me suis imposée me conforte dans mon choix mais en même temps la forme s'est imposée au fil des mots, je ne le regrette pas. Votre commentaire et votre notation très élevée m'encouragent encore un peu plus.
Merci Papipoète.

MissNeko,
­Vous avez pris de votre temps pour accorder une deuxième lecture à cette histoire et vous en avez apprécié les répétitions, volontaires comme vous l'avez compris. Ce prince charmeur, j'aurai pu le nommer autrement mais le contexte du poème ne me permettait pas un écart de langage alors que ce triste sir mériterait bien d'autres noms moins sympathiques. Vous évoquez l'avant-dernière strophe où justement j'ai essayé de faire passer la violence de la situation mais avec un discours poli et retenu. Vous avez aimé l'opposition prince charmant/prince charmeur, j'en suis ravie car c'était l'idée que je souhaitais faire passer lors de l'écriture.
Merci MissNeko.

Widjet,
Je comprends que de par leur densité les sizains en miroir puisse sembler copieux à la lecture. Je les utilise assez souvent car je les trouve plus adaptés que les quatrains pour des textes relatant des histoires vécues. Vous avez parfaitement appréhendé ce poème et votre regard sur la technique me touche car j'écris le plus souvent en vers réguliers sur des formes dites classiques que j'adapte selon le thème choisi. Que celui-ci vous inspire pour en lire d'autres me fait grand plaisir et m'encourage à moi-même venir lire « d'autres formes ».
Merci Widjet.

Francis,
Vous avez franchi sans à-priori et sans crainte le seuil de ce lieu chargé du passé, une musique accompagnant vos pas. Croyez que les âmes errantes de Mirasol se trouvèrent apaisées de votre agréable et chaleureuse présence . Quant à moi, je suis ravie de votre généreuse appréciation.
Merci Francis.

Lucille,
Pour votre lecture et votre délicate appréciation je vous remercie sincèrement, vous qui avez beaucoup aimé mes vers en tourbillons ainsi que la dualité « sombritude » et lumière,
Merci Lucille.



Encore merci à vous tous

Cristale

Contribution du : 15/12/2016 09:28
_________________
"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “
Jean-Pierre Siméon
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Visiteur 
Bonsoir Cristale,

Je me permets de saluer une nouvelle fois cette performance technique et poétique.

Mille bravos !

Wall-E

Contribution du : 15/12/2016 20:24
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34
De Ici et là
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Primé concours
Post(s): 24936
Hors Ligne
Bonsoir Wall-E
et merci encore à vous !

Au plaisir de nouveaux partages.

Cristale

Contribution du : 18/12/2016 20:27
_________________
"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “
Jean-Pierre Siméon
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34
De Ici et là
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Primé concours
Post(s): 24936
Hors Ligne
Bonsoir Thierry Cabot,

Un grand merci pour votre lecture et votre appréciation sur mon poème.

Au plaisir de vous lire.
Cristale

Contribution du : 18/12/2016 20:30
_________________
"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “
Jean-Pierre Siméon
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34
De Ici et là
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Primé concours
Post(s): 24936
Hors Ligne
Bonjour LuckingNow,

Pourquoi le mot à la rime est-il répété à l'hémistiche du second alexandrin ?
La rime batelée est déconseillés dans un texte en alexandrins, ainsi que l'écho de la rime à l'hémistiche suivant : je le sais bien. Ce n'est pas le cas ici où le mot entier est redondant à l'hémistiche, ainsi que le mot "accroche" répété à l'intérieur de deux vers successifs. Ceci se reproduit, pas tout à fait à l'identique, dans la dernière strophe écrite en reflet, le dernier vers de la première est repris au premier vers de la dernière strophe et ainsi de suite avec un arrangement spécifique à l'évolution de la situation de l' "héroïne" mais toujours avec cette répétition du mot "ordinaire" sauf que là, "accroché" évolue vers " s'arracher".

“La constance d'une habitude est d'ordinaire en rapport avec son absurdité.”
Marcel Proust "La prisonnière"

Au premier "jet", tout le poème était composé de mots ou groupes de mots de chaque deuxième hémistiche au premier hémistiche du vers suivant... Je l'ai gardé dans l'un de mes tiroirs et j'ai opté pour une forme allégée, telle que vous l'avez lue et appréciée, ce dont je vous remercie vivement. Mais vous l'aurez sans doute remarqué... je prends parfois quelques "libertés de contraintes"

Quant au prince charmeur, le châtelain, pas vraiment laid, plutôt beau garçon, disons qu'il a commencé par user de son charme avant d'abuser de la jeune femme prise au piège de ce que l'on appelle aujourd'hui un pervers narcissique et manipulateur mental.

Vous me faites faire un exercice difficile car il m'est plus compliqué d'expliquer les pourquoi-comment de mes textes que d'écrire ceux-ci.

Un grand merci pour votre commentaire étayé ainsi que pour votre haute notation.

Je vous souhaite la bienvenue sur Oniris
ainsi que de joyeuses fêtes de Noël et de fin d'année.

Au plaisir de vous lire.
Cristale

Contribution du : 24/12/2016 14:20
_________________
"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “
Jean-Pierre Siméon
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Merci de votre présence dans "L'ombre de Mirasol"
Visiteur 
Il ne doit jamais être nécessaire d'expliquer les raisons pour lesquelles....
Le sens n'admet la possibilité du doute.
Peut-être est-ce du fait que vous écrivez plus pour vous-même que pour le lecteur. Ce qui serait dommage, au vu de votre maîtrise de cette discipline qu'est la Poésie.
Ma remarque sur la rime d'un vers qui se retrouve en fin du premier hémistiche du vers suivant est une interdiction absolue. Votre talent, vous autorise peut-être quelques licences, mais vous devez dans ce cas déclasser ce texte en néo-classique (le terme contemporain est une erreur employé comme forme).
Mon compagnon, aurait cité Boileau, afin de vous persuader.
Enfin, le texte est superbe, et jusqu'ici, je n'ai trouvé d'équivalence de maîtrise du vers. Donc, ne soyez pas contrariée car mes commentaires.
Bonnes fêtes de fin d'année.
Quant à me lire, j'ai proposé un sonnet hier. Ensuite je posterai des textes qui m'appartiennent, désormais, mais qui ne sont pas de ma plume.
Nadine N.

Contribution du : 24/12/2016 14:51
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023