Merci aux membres du CE d’avoir permis la diffusion de ces vers.
Merci aux lecteurs et particulièrement aux commentateurs.
En effet Papipoete, le mot manquant (un) a été remis à sa place, une faute d’étourderie et je remercie les correcteurs qui ont rectifié.
Framato, je suis un peu étonné, votre note ne correspond pas vraiment à vos commentaires ! Quant au mot discriminatoire, je pensais qu’il « collait » à la situation alors qu’un autre « nounours » prenait sa place ! L’inversion sert la rime évidemment mais j’estime que ce n’est pas un défaut poétique.
Alexandre, comme dab tu as cette petite touche qui revalorise un texte « au jardin comme à table » convient mieux.
Troupi, cette idée de poème m’est venue en retrouvant le petit ours brun de notre fille dans un carton, une peluche qui, pendant des années était sa préférée.
Pizzicato, c’est vrai qu’il y a pire que la mise au placard pour un « nounours », j’en ai vu un dans une décharge sauvage.
François, il existe tout de même un parallèle entre une peluche et un garçon, concernant notre fille, c’est un évidence.
Robot, c’est vrai que beaucoup d’autres objets qui ont suscité un intérêt particulier sont mis au « placard » et pire encore, je pense à ma première voiture, un 4 CV qui a terminé dans un « casse-auto ».
Marie-Ange, nous avons décidé de ne pas remettre en exergue le petit ours alors que d’autres peluches qui n’ont pas eu du tout le même succès sont encore visibles. (Elles sont présentables)
Vincent

Merci MissNecko,
Comme je l'explique dans le message précédent, "quelques" garçons ont subi le même sort que le petit ours brun de la part de notre fille...
Bon week-end

Merci Donaldo,
Triste destin pour une peluche qui, pendant plusieurs années était indispensable...D'autant plus triste que le petit ours n'a pas retrouvé d'autre maitresse!
Bonne journée