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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Concernant Balance ton porc, l’idée n’est pas de balancer tous les hommes, mais bien de s’en prendre à ceux qui ont des attitudes inacceptables.

J'espère que vous aviez compris que j'avais compris.
Même si je ne suis pas visé par cette formule, je me sens sali par celle-ci.
Cette formule est violente et je ne pense pas que l'on règle la violence par la violence. Elle ne fait qu'ajouter de la violence à la violence.
Je ne comprends même pas que cette formule soit si largement acceptée.

il ne reste que les lois, la justice, tout ce qui est froid

Comme une autopsie ?

Contribution du : 19/12/2021 14:06
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Hersen, je ne peux pas changer tes impressions. Et ce n'est pas la première fois que nous avons ce genre d'échanges sur mes textes. Cette impression pour moi de ne pas être comprise dans ce que j'exprime. Différence de sensibilité ou de vision du monde sans doute.


Citation :

hersen a écrit :
Tu es convaincue que l'homme n'est pas violent par nature.


En fait, j'entends ce que tu dis sur toutes la palette en question et cela ne remet pas en question ce que j'en dis.
Mais tu ne suis pas mon analyse. Si comme le dit Françoise Lhéritier, célèbre anthropologue française l'être humain est le seul mammifère qui peut tuer sa compagne. Cela pose effectivement question sur l'influence de la culture sur ce type de violence. Si c'est culturel, on peut agir. Par l'éducation, par l'évolution de la société sur le regard porté sur la femme etc ...

Citation :
Pour tenter non pas de vaincre ce problème de violence conjugale, car je pense que c'est impossible, mais en tout cas pour la freiner, il ne reste que les lois, la justice, tout ce qui est froid. La chaleur de l'être s'engloutit dans le monde qu'il construit.


Ah bon ? L'homme violent ne peut pas évoluer ? C'est une vision bien défaitiste de l'humain que je ne partage pas.

On voit où le seul rôle de la justice nous a mené jusqu'à maintenant.
La violence envers les femmes ne diminuent pas malgré le rôle de la justice. Les récidives sont nombreuses, à moins d'enfermer ces hommes à vie en quoi la justice est agissante ?
Nombre de violences conjugales qui se transforment en féminicide etc ..

Contribution du : 19/12/2021 14:48
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Bandini,Citation :


Même si je ne suis pas visé par cette formule, je me sens sali par celle-ci.
Cette formule est violente et je ne pense pas que l'on règle la violence par la violence. Elle ne fait qu'ajouter de la violence à la violence.
Je ne comprends même pas que cette formule soit si largement acceptée.



Je m'étonne toujours de cette réaction de la part des hommes qui ne sont pas concernés. C'est effectivement violent comme expression, et en même temps ces hommes ne sont-ils pas des porcs ? Appeler un chat un chat.
Est ce qu'au fond les hommes qui ne sont pas concernés et qui se sentent salis comme vous le dites se sentent tellement solidaires de la communauté masculine pour en souffrir ?

Contribution du : 19/12/2021 14:57
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Citation :

Bandini a écrit :
Concernant Balance ton porc, l’idée n’est pas de balancer tous les hommes, mais bien de s’en prendre à ceux qui ont des attitudes inacceptables.

J'espère que vous aviez compris que j'avais compris.
Même si je ne suis pas visé par cette formule, je me sens sali par celle-ci.
Cette formule est violente et je ne pense pas que l'on règle la violence par la violence. Elle ne fait qu'ajouter de la violence à la violence.
Je ne comprends même pas que cette formule soit si largement acceptée.

il ne reste que les lois, la justice, tout ce qui est froid

Comme une autopsie ?


Je comprends tout à fait Bandini et à travers lui tous les hommes qui savent traiter les femmes avec galanterie sans que ces dernières se sentent outragées ... Je ne comprends pas non plus cette violence. Si hommes et femmes ne savent pas se côtoyer sans admettre leurs différences comment vouloir prêcher la tolérance et tout ce qui va avec ...

Contribution du : 19/12/2021 15:40
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Tiramisu,

Citation :

Est ce qu'au fond les hommes qui ne sont pas concernés et qui se sentent salis comme vous le dites se sentent tellement solidaires de la communauté masculine pour en souffrir ?


Je passerai vous répondre plus complètement ce soir car je n’en ai pas le temps dans l’immédiat.

Je voulais seulement pour l’instant vous remercier car je ne pouvais pas savoir, au moment de décider d’entrer dans cette discussion, quel était le degré de sérénité exact que j’avais atteint sur ce sujet, et parce que je me doutais bien qu'à un moment ou un autre, j'aurais à faire face à ce genre de choses. Il y a quelques années encore, j’aurais pu avoir deux réactions opposées :

1. Vous écrire une réponse cinglante ;
2. Me déconnecter immédiatement et partir pleurer dans un coin.

Je suis heureux de constater qu’aujourd’hui, je ne ferai rien de tout ça.

Vous écrivez régulièrement. Je suppose que vous prenez le temps de réfléchir à la signification des mots que vous utilisez. Avez-vous réfléchi à la signification du mot « communauté » ?

Contribution du : 19/12/2021 15:47
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Bandini, je crois qu'il vaut mieux arrêter là le débat qui est hors sujet par rapport à mon texte. Et surtout je sens que l'émotion est trop forte de votre côté pour que celui ci reste serein. J'avoue ne pas avoir envie d'aller sur ce terrain là.

Contribution du : 19/12/2021 16:08
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Merci Marite pour votre passage. Mais j'arrête le débat sur ce sujet qui au fond est hors sujet par rapport à mon texte et sur lequel il est difficile d'échanger de manière apaisée, encore plus difficilement par écrit et dans un forum.

Contribution du : 19/12/2021 16:12
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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OK Tiramitsu et bonne fin de journée !

Contribution du : 19/12/2021 16:59
_________________
J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini.
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Re : Merci pour un poing sait tout !
Visiteur 
Citation :

Bandini, je crois qu'il vaut mieux arrêter là le débat qui est hors sujet par rapport à mon texte. Et surtout je sens que l'émotion est trop forte de votre côté pour que celui ci reste serein. J'avoue ne pas avoir envie d'aller sur ce terrain là.


Tiramisu,

Vous ne pouvez pas proposer un texte à la publication, ouvrir un fil de discussion à son propos et faire volte-face en décidant unilatéralement de le clore. En tous cas, pas de cette façon.
Si votre émotion à vous devait rendre ce débat impossible, vous pourriez le signaler et je respecterais alors bien évidemment cette émotion, mais s’il vous plait, ne supposez ni n’affirmez rien de la mienne que vous ne connaissez pas. En l’occurrence, vous vous trompez. Si ce débat doit cesser, ne mettez pas cela sur mon compte et prenez vos propres responsabilités ! Quant à la sérénité du débat, je ne vois pas ce qui peut vous laisser supposer son absence. Ceux qui se sont exprimés jusqu’à présent, y compris vous et moi, l’ont fait sereinement et très poliment. Pourquoi voulez-vous que cela change ? Il y a sur ce site un service de modération qui interviendrait le cas échéant.


1975

J’ai six ans. J’en aurai sept en décembre. Nous habitons au onzième étage d’une tour de logements sociaux. Chaque étage est constitué d’un palier donnant accès à six appartements. Les murs ne sont pas très épais et nous entendons parfois les voisins. Heureusement, ils ne sont pas très bruyants, sauf le voisin d’à côté qui se met souvent à chanter, mais ça, c’est rigolo. Dans l’un de ces six appartements, maman et moi regardons Ring-Parade. C’est une émission qui passe des chansons. Nous disposons d’un poste de télévision noir et blanc usagé offert par une gentille dame qui a voulu améliorer notre ordinaire. Guy Lux lance une nouvelle chanson : J’ai encore rêvé d’elle. Je ne comprends pas tout ce qu’elle raconte, mais je crois comprendre qu’un homme et une femme se rapprochent maladroitement et qu’une belle et longue vie d’amour s’offre à eux. Maman aime bien ce genre d’histoires. La semaine passée, pour inaugurer notre poste de télévision, nous avons regardé Sissi Impératrice. Maman adore ça. Elle a toujours adoré les belles histoires de princes charmants. Nous n’avons plus revu mon père depuis plusieurs jours.
La chanson n’est pas finie, mais la porte d’entrée s’ouvre. Mon père déboule dans l’appartement, complètement saoul. Il nous demande comment nous pouvons écouter ce genre de bêtises. Il arrache le cordon de la télévision, laquelle tombe au sol, et se précipite sur maman, toujours allongée dans le canapé. Maman crie, mais ses cris sont étouffés. Elle ne peut plus respirer. Sur son visage, il y a un coussin et sur ce coussin, mon père est assis. Maman ne peut pas se dégager. On ne l’entend presque plus, alors c’est moi qui crie. Je pleure et je hurle de toutes mes forces. Deux minutes, trois minutes, dix minutes, je ne sais plus. Quelqu’un va venir. Personne ne vient. Quelqu’un va toquer à la porte. Personne ne toque à la porte. Quelqu’un va appeler la police. La police ne vient pas. Je ne sais pas si c’est à cause de mes hurlements que mon père se relève soudainement. Maman n’est pas morte.
Le lendemain matin, la laitière sonne à la porte. Maman et moi allons lui ouvrir. Elle apporte régulièrement une bouteille de lait que maman lui paie. C’est pour moi, le lait. Le voisin chanteur aussi lui prend du lait. Sa porte s’ouvre et il dit gentiment bonjour à la laitière, à maman, et me demande à moi comme à chaque fois : comment ça va, mon petit Pierrot ? Je lui réponds que ça va, mais je retourne directement dans l’appartement. Je préfère écouter cette chanson qui passe à la radio et que j’adore. Un jour ou l’autre, il faudra qu’il y ait la guerre. On le sait bien. On n’aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire. On dit « c’est le destin ». Tant pis pour le Sud. C’était pourtant bien. On aurait pu vivre plus d’un million d’années, et toujours en été.


1997

J’ai vingt-huit ans. J’en aurai vingt-neuf en décembre. Ana et moi sommes mariés depuis deux ans, mais nous sommes partis pour plus d’un million d’années toujours en été depuis déjà neuf ans. Nous serons bientôt trois. C’est un garçon qui pousse dans le ventre d’Ana. Depuis quelques semaines, une famille de trois personnes a emménagé deux étages plus haut. Il y a le père, la mère et le fils. Les murs ne sont pas très épais et ils sont très bruyants. Le père, surtout, et puis de la vaisselle et d’autres choses qui se fracassent sur les murs ou sur le sol. Je demande à mes voisins de palier s’ils savent ce qui se passe là-haut. Ils sont gentils, mes voisins de palier. Ils nous ont accueilli avec une bouteille de vin lorsque nous avons emménagé et nous ont même récemment offert un ours en peluche pour le petit à venir. C’est sans doute pour ça qu’ils sont discrets et qu’ils me disent que ça ne les regarde pas.
Quelques jours plus tard, c’est à nouveau la fête deux étages plus haut. Cette fois, ça a l’air beaucoup plus sérieux. La mère crie au-secours. Je crie dans la cage d’escalier. Deux étages plus haut, une porte s’ouvre et un type gueule : « T’as qu’à monter, mon gars, que je t’explose ta gueule ! ». Ma lâcheté l’emporte. J’appelle la police, laquelle arrive assez rapidement. Ca gueule encore un peu lorsqu’elle sonne à la porte. La mère engueule les flics, leur demande de quoi ils se mêlent. Les flics lui demandent si tout va bien. Elle leur répond que oui et les flics s’en vont.
Le lendemain, il fait beau. J’ai décidé de laver la voiture dans la rue. Une main se pose sur mon épaule. Je me retourne et devant moi, il y a un type qui doit avoir quelques années seulement de plus que moi, mais surtout une trentaine de kilogs de plus et tout en muscles. Je ne suis pas très costaud.
- C’est toi qui appelles les flics ?
J’ai la trouille. J’ai les jambes qui flageolent. Je ne sais pas comment on se bat, je n’ai jamais fait ça. De toute façon, je n’ai aucune chance face à ce molosse. Je suppose qu’on ne peut pas se défendre sans frapper soi-même et je ne veux pas frapper. Ma mère m’a toujours dit qu’un jour, je finirais bien par le faire comme mon père. Mais il faut que je réfléchisse, et vite. Je lui propose de s’asseoir sur le petit muret qui se trouve devant l’immeuble. Il veut bien. Pour l’instant, il veut bien.
- Oui, c’est moi qui ai appelé les flics. Toi, je m’en fous. Ta femme, je m’en fous. C’est à ton gosse que je pense. Il y a vingt-deux ans, mon père était à deux doigts de tuer ma mère. J’ai crié, j’ai hurlé et j’ai prié pour que quelque vienne frapper à la porte ou que quelqu’un appelle les flics, mais personne n’est jamais venu, ni des voisins ni des flics. Et depuis vingt-deux ans, je rêve à ce même beau jour, celui où je débarque chez mon père, devenu vieux et abandonné de tous. Je lui envoie des poings dans la gueule. Il tombe au sol, pleure et me supplie d’arrêter, mais c’est encore plus facile comme ça et je lui file des coups de pompes dans le bide jusqu’à ce que le sang coule. Pour moi, il est trop tard. Pour ton fils, peut-être pas. J’ai rien de plus à dire.
Le type s’est relevé, est rentré chez lui et moi, j’ai recommencé à laver ma voiture. On n’est pas devenus copains, mais je n’ai plus entendu gueuler deux étages plus haut.


Message à l’attention de la modération : ceci n’est pas une publication détournée. Je viens d’écrire ces lignes. Nous sommes sur un site littéraire et c’est littérairement que je m’exprime, même si tous les faits sont parfaitement authentiques.


Tiramisu, je respecte votre texte et, bien sûr, je vous respecte, vous. Il montre une chose et j’ai bien compris que l’exercice consistait à se glisser dans la peau d’un homme violent avec sa compagne. Je respecte bien sûr aussi l’avis de Hersen au sujet de l’Etat de Droit, que je partage d’ailleurs. Je regrette simplement que toutes ces choses arrivent bien tard. Surtout, je pense qu’il convient de poser ce débat dans la réalité et non dans un contexte fantasmé. Nous savons bien que nos services publics, indépendamment de leur bonne volonté, font ce qu’ils peuvent avec les moyens qui leur sont donnés. Une amie très chère et de longue date travaille au Parquet de sa région, dans la section consacrée à l’enfance, et m’a consulté récemment pour me soumettre un cas. Elle n’en peut plus. Elle aime son travail, souhaite s’impliquer pleinement dans la résolution de chaque cas, mais n’en peut plus de l’exercer dans ces conditions, la menant à traiter de nombreux cas par jour, dont de nombreux cas dramatiques et il lui est impossible de faire son travail. Elle ne dispose parfois que de quelques minutes quand il lui faudrait des semaines. Parfois ou souvent, lorsque les dossiers s’accumulent, ils ne peuvent être traités que très sommairement ou par la pose de devoirs qu’enquête qui ne seront parfois exécutés que des semaines ou des mois plus tard avant que le processus ne se poursuive, lorsqu’il se poursuit. Pendant ce temps, des familles explosent, des gens meurent, des enfants voient leur vie gâchée à jamais, et mon amie se sent coupable de son impuissance.

Comme vous pouvez le constater, je vous rejoins totalement dans la conviction que notre société doit être secouée pour que chaque histoire ne se termine pas dans une salle d’audience, dans un stage des cogneurs anonymes ou par une ligne à la rubrique nécrologie. Par ailleurs, je n’appartiens à aucune communauté, qu’elle soit fondée sur un sexe, un genre ou toute autre chose.


Si vous ne pouvez poursuivre, dites-le moi et nous cesserons, mais ne mettez pas ça sur mon dos !

Contribution du : 19/12/2021 22:46
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Re : Merci pour un poing sait tout !
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Ne vous inquiétez pas pour moi, Bandini, je suis quelqu’un qui sait prendre ses responsabilités, et je les prends en vous répondant.
Pourquoi ai-je proposé d’arrêter notre échange sur balance-ton-porc ? Pour deux raisons :
-1-car j’ai trouvé que votre réponse au post 15 me semblait disproportionnée par rapport à ma remarque sur balance-ton-porc, je connais suffisamment les échanges sur ce sujet pour savoir que si une charge émotionnelle s'y rajoute cela peut tourner au vinaigre. Et je n’en avais pas envie, là est ma responsabilité pleine et entière, refuser un débat houleux.
-2-et oui, sur mon fil de discussion, je peux décider d’arrêter le débat, si je considère qu’il n’est plus en lien avec mon texte, ce qui est le cas, balance-ton-porc concerne les violences sexuelles et non pas les violences conjugales, et débattre sur son intitulé est encore plus éloigné de mon texte, nous étions hors sujet.

Je ne mets rien sur votre dos comme vous le dites, je le mets sur mon ressenti vous concernant. Je vous sens souvent à vif. Voilà, vous connaissez le fond de ma pensée.

Vos dernières remarques m’intéressent. Je pense que par les écrits on peut tenter de faire évoluer les mentalités, vos écrits par exemple, en racontant votre histoire, les fictions sont riches aussi car même si elles sont inventées, elles peuvent émouvoir et sensibiliser les consciences.

Contribution du : 20/12/2021 08:45
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