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1 Utilisateur(s) anonymes
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Onirien Confirmé
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26/03 10:02:05 Groupe :
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Je remercie chaleureusement tous les bénévoles qui ont donné de leur temps pour me lire et finalement accepter mon texte. Ce n’était pas gagné du tout vu sa haute teneur en égocentrisme. Je remercie également les lecteurs qui s’y sont risqués, avec un(e) bis(e) pour ceux qui sont allés jusqu’à commenter, en positif ou en négatif.
Damy : merci vraiment d’avoir vu et ressenti tout cela (c’est marrant, on pense la même chose de « résilience »). Le style de la forme, c’est juste coller au plus près du vécu. Vous avez mis le doigt sur une chose que je n’avais vu que de façon fugace : la dictature. Mais oui mais c’est bien sûr… David : « ça manque d’objet », sur ce point, j’ai envie de défendre mon texte en disant qu’il apparaît assez vite qu’il y a comme un « défaut », dans les deux sens du mot : absence et tare (surprésence). Par ailleurs, je comprends que vous puissiez être énervé par ma « mort/vie » quand ceux qui meurent autour de nous meurent pour de vrai et n’en reviennent pas, eux. J’ai voulu témoigner en quelques lignes d’un moment qui a duré quelques heures et pendant lequel j’avais la certitude d’avoir les deux pieds dans la mort, autant que dans la vie. L’instant psychotique n’est pas toujours correct, j’en suis désolé et je vous remercie d’avoir réagi. Salima : c’est drôle, tu parles d’élocution et pas d’écriture et ça me contente absolument : de tous mes textes (hors chansons), c’est le seul dont j’aie fait un enregistrement parlé. Merci pour tous tes adjectifs ! Perle-Hingaud : votre commentaire est si personnel que j’en suis profondément touché. J’aime votre idée d’une toile peinte par Van Gogh (qui ne serait pas fier ?). Et donc vous « re-connaissez » ? Vraiment ? Merci, Perle. Cyril : encore un lecteur qui connaît l’endroit ! J’avais une chemise jaune. Ce que me reproche David, c’est que je me dise vivant et mort à la fois. Et c’est bien le problème de ce moment psychotique : «[…] l’existence dans cet instant crucial où elle se termine, cueilli sur le vif et dilaté » ; « […] spécifique de l’imminence ou la proximité de la mort » : Je ne veux pas développer sur des pages mais non, ce que vit ce psychotique, ce n’est pas l’imminence de la mort. Il est certain d’être dedans. J’apprécie « tout est plié » qui donne envie de faire de la poésie. « la rue et la rivière comme allégorie de l’existence », je ne l’aurais jamais aussi bien dit. Merci Cyrill pour vos arguments et le temps que vous y avez passé.
Contribution du : Hier 23:32:37
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