Bonjour à toutes et à tous,

Je tiens à remercier, avec un peu de retard je l’avoue, les membres du comité éditorial ainsi que les lecteurs en évaluation, pour avoir permis la publication de ce poème.

Je remercie également les commentateurs qui ont eu la gentillesse de me laisser quelques mots sur leur perception de ce poème. Je vais essayer, quand c’est possible, d’apporter des réponses à vos questions.

@Lucilius : les êtres de pierre sont les bâtiments. Les gens d’en bas sont les habitants de la Terre ; ce n’est pas parce que Pierrot est descendu de la Lune qu’ils ont forcément changé de nature.
@Brume : oui, j’ai voulu cette fin violente, un peu comme dans l’œuvre « Le Pierrot lunaire » du compositeur autrichien Arnold Schoenberg.
@Proseuse : j’enverrai des ondes magnétiques à Pierrot.
@mina : Pierrot 2.0, je n’y avais pas pensé.
@Curwwod : merci.
@Silvieta : le lâcher d’écran ce sont nos smartphones, ce qui explique le feu magnétique (les ondes déversées par ces appareils).
@Ludi : on a probablement lu des versions différentes de la comptine.
@PIZZICATO : oui, le théâtre électrique est bien réel, depuis l’invention de la télévision.
@Recanatese : j’ai pensé au bohémien du fait d’une vieille chanson de pop composée par Freddie Mercury.
@jabbar : merci.
@papipoete : chacun invente sa fin, en fonction de son interprétation. Je trouve que c’est ce qui rend la poésie si intéressante.
@Bel13ver : j’aime cette interprétation de ma poésie parce que, en effet, c’est comme ça que je conçois l’écriture.
@egfrild : j’aime bien faire court sur ce genre de thème.
@Vincendix : oui, je crois aussi qu’avoir la tête dans les nuages et les pieds sur terre, ce serait un bon compromis. Je pense que c’est la raison, pour la plupart d’entre-nous, de notre passage sur ce site, de nos longues sessions d’écriture.

Merci encore,

Donaldo