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ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Maître Onirien
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Un texte qui passe la sélection et arrive en lecture sur le site, c’est toujours pour moi un moment d’émotion et d’impatience.
Merci à vous tous qui permettez ce plaisir renouvelé : les commentateurs de l’EL, les membres du CE et les correcteurs.
Chacun de vos commentaires m’intéresse car j’aime aussi ce dialogue qui à partir du texte, de mes intentions d’auteur et de la façon dont ce texte est reçu par vous.
Ici, ce que j’ai voulu montrer ne fait peut être pas une histoire, mais voilà, je tenais à faire passer que dans un parcours banal et triste quelque chose peut soudain s’éclairer. Une sorte d’épiphanie brève et qui reste ouverte.
Pour certains, j’y suis arrivé, et pour d’autres non.

Robot : Merci de votre élogieuse appréciation, d’avoir aimé l’écriture et relevé le paragraphe qui commence par « quand on » Ce paragraphe est le tremplin qui permet à Armand de suivre son impulsion qui le conduit à éprouver ce sentiment un peu confus qui le déborde et dont on ne sait ce pas qu’il va faire.

Tadiou : Vous me faites plaisir en relevant les petites indications extérieures qui permettent d’appréhender l’échec vécu par Armand et Claire. Vous m’encouragez à laisser ma plume explorer une autre dimension. Je suis restée au bord, c’est vrai, j’en avais bien conscience !

Socque : Comment ai-je pu laisser passer cet anachronisme ! C’est gros comme une maison ! En fait, je n’avais pas donné de nom au feuilleton télé dans ma première version et lorsque j’ai fait lire le texte, on m’a conseillé de le nommer, pour un effet de réel ! J’ai complètement oublié le billet de dix francs qui était un autre effet de réel (un couple plutôt dans années 80).
Vous avez été déçue par l’histoire, et tout juste rattrapée à la fin. Et ce n’est pas la première fois que mon texte vous déçoit. Mais je ne désespère pas de vous emmener peut-être, puisque vous êtes une fidèle lectrice de l’EL, dans mon univers en demi-teinte, sans véritable intrigue.

Vendularge : merci de votre passage et de votre appréciation qui me comble car mes intentions d’auteur ont exactement rencontré ici votre goût de lectrice, merci aussi de votre clin d’œil amical à propos de la chute !

Bidis : Merci de votre lecture. Vous relevez le caractère un peu angoissant de la fin, ce qui me fait très plaisir car je l’ai voulu ambigüe. Pour vos observations sur les expressions qui vous ont arrêtées, ok pour la première. Pour la seconde, Armand regarde sans vraiment voir « en direct » l’écran sur lequel se déroule la scène du couple sur le canapé blanc . Peut-être n’est-ce pas tout à fait clair ? Je vais y revenir.

Dupark : Merci !! d’abord parce qu’un Passionnément , je n’en ai pas souvent ! Et merci aussi de vous approprier l’histoire car c’est exactement ce que je cherche avec mes petites chroniques suspendues. Si vous allez plus loin, c’est que j’ai pu vous faire aimer mes personnages avec leurs failles que vous n’avez aucune peine à imaginer.
« Pas de bling bling, pas de gonflette dans l’écriture, c’est la vie que vous nous montrez, c’est juste la vie » Alors là ! Du baume au cœur ! En contrepoint du joli compliment que me fait Grange (mon écriture inexistante) vers qui je vais revenir nommément un peu plus bas !

Ludi : Merci ! Merci pour votre humour décapant et pour la saveur de votre commentaire si bien écrit, comme toujours. Le signe de votre intérêt pour ce texte est la verve qu’il éveille en vous, nous pourrions tenter quelque chose à 4 mains, pour que vous muscliez un peu mes histoires qui n’en sont pas et mes personnages ordinaires qui ne veulent pas déranger le monde !

PierrickBatello : Merci de votre lecture et de votre commentaire. Rassurez-vous, je ne vous trouve pas dur, et même, je comprends le point de vue qui est le vôtre, mais je ne le partage pas !
« A un moment, l’auteur doit prendre un parti pris, nous imposer son point de vue, sinon je trouve que cela reste dans la généralité qui ne touche pas »
Nous y sommes au cœur du débat ! Par quoi le lecteur est-il touché ? Par des personnages hors du commun, très typés, une histoire forte qui le surprend mêlant suspens et coups de théâtre ? Ou alors par des situations banales du quotidien, qui éveillent en lui des échos, des souvenirs, des analogies, des pensées qui vont élargir sa compréhension de lui-même ? Tous les lecteurs sont de ce monde et c’est aussi ce qui est amusant lorsqu’on découvre les commentaires au pied de son texte.
Il n’y a pas d’incompatibilité entre ces deux genres ! Parfois, ils peuvent se mélanger, et là, pour moi, c’est du grand art.
J’aime avant tout donner vie aux obscurs, ou alors offrir au lecteur quelque chose qui ressemble à sa vie.
Mais je respecte et j’apprécie aussi ceux qui m’emmènent avec talent et imagination du côté de la distraction au sens noble du terme.

Grange : je vous cite « je pense que le sujet, bien que ténu, est intéressant en soi. Malheureusement, l’écriture inexistante n’arrive pas à soutenir le propos. »
Bon, Grange, vous n’aimez pas mon écriture, vous me l’aviez déjà fait savoir avec « Disparition ». Et vous n’êtes sûrement pas le seul ! Si vous voulez me faire progressez vers votre idéal d’écriture, donnez moi quelques pistes bien concrètes : qu’est-ce qui ne va pas pour vous dans ma façon d’écrire ?
Je vous cite encore « En l’état je ne vais pas émettre de jugement péremptoire, ni accorder d’appréciation qui ne saurait être que très injuste pour ce texte un peu négligé » heureusement car que serait un jugement péremptoire sous votre plume ? Vous me faites penser à un instit qui n’arrive pas, même à la retraite, à se défaire de son stylo rouge.
Enfin, vous relevez l’anachronisme des situations ( méa culpa) et vous avez un diagnostic personnel : texte ancien repris à la hâte dont l’auteur a négligé de remettre les évènements au goût du jour. Il me semble que vous avez une petite obsession qui consiste à traquer le recyclage des textes ! J’espère que vous êtes allé sur Google vérifier si j’avais une première version de cette histoire publiée sur un autre site ?

Pouet : Merci Pouet de votre lecture de votre appréciation et sachez que je suis juste contente de vous émouvoir

Plumette

Contribution du : 27/03/2017 13:59
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Visiteur 
Merci Plumette,

Vous avez deviné que j’aime écrire en m’amusant.
Ce matin je déguste encore davantage votre texte. Vous savez pourquoi ? J’avais oublié de vous parler de Saint-Romain, la ville du couple, à vous qui avez un peu escamoté son nom. J’ai soudain flippé pour de bon en pensant que c’était la ville de La Demeure du Chaos. Ne me dites pas que vous n’y aviez pas pensé vous-même ? Ce serait terrible… Armand-Claire-Noémie-La demeure du chaos... Trop fort.
Armand dans la nuit, qui porte Noémie vers la Demeure du Chaos, puis saisi d’un espoir fou, traverse le trottoir vers la maison des Mickeys… :) (chut... ce sera notre secret).

Ludi
Mickey du chaos

Contribution du : 27/03/2017 14:48
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Visiteur 
@plumette

Je ne suis pas enseignant et je n'ai ni stylo rouge, ni vert ni autre.

Je n'ai pas non plus pour tâche de vous proposer des pistes d'écriture, seulement de dire mon ressenti sur un texte que je juge peu abouti, est-ce un drame pour autant ?
Visiblement vous n'envisagez - comme d'autres ici qui se reconnaîtront - la critique que lorsqu'elle est conciliante mais de grâce, relisez-vous au calme d'ici quelques semaines lorsque le soufflé sera retombé, vous comprendrez peut-être mieux les faiblesses de ce texte.

J'aime beaucoup l'ironie sur mon "diagnostic de texte repris à la hâte" que vous réfutez alors que l'admettez par ailleurs dans votre réponse à Socque.
Ce qui est vrai pour l'un ne l'est plus pour l'autre...très drôle.

On sent bien qu'il n'y a aucun parti pris de votre part.


Bonne continuation

Grange

Contribution du : 27/03/2017 14:54
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Maître Onirien
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A Ludi
là maintenant, c'est moi qui flippe! vous avez en effet deviné qu'il s'agit de Saint Romain au Mont D'or! Et j'ai bien failli précipiter Armand avec sa fille dans la piscine à l'eau rouge de la demeure du Chaos, surplombé par cette horrible carcasse d'hélicoptère calciné. C'est la deuxième fois que vous devinez mes pensées d'auteur !( le tour de manège à Vaulx en Velin) Ludi, manifestement, vous n'êtes pas qu'un cow boy!

A Grange

Je croyais que vous aviez compris l'esprit du commentaire sur oniris: critiquer avec ce qu'on est bien sûr, et son ressenti aussi, mais en étayant un peu ses arguments, surtout quand ils sont négatifs pour aider l'auteur à progresser et mieux comprendre ses faiblesses.
Quant vous écrivez "écriture inexistante" moi, je lis un jugement péremptoire de Monsieur G qui sait ce qu'est la bonne écriture. Si mon écriture n'existe pas, pourquoi donc continuer à écrire?

Pour l'anachronisme, Vous comprenez ce que vous avez envie de comprendre! En effet j'ai plongé dans l'anachronisme tête baissée! mais pas en réécrivant mon texte des années après, comme vous semblez le penser, juste en suivant un peu vite une suggestion de relecture.

Contribution du : 27/03/2017 16:24
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Maître Onirien
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Hersen

Merci pour votre appréciation et votre commentaire qui souligne les "trous" de mon récit. Trous que je laisse remplir souvent par le lecteur! C'est vrai ce que vous dites à propos de l'enfant : adopté ou non, il n'y a pas de différence dans l'amour que l'on peut lui donner. Mais il me semble que le parent adoptif a une sorte d'attente très particulière qui peut embarquer la relation dans une impasse. C'est le parent adoptif qui projette toutes sortes de chose sur le fait que cet enfant qu'il est allé le chercher à l'autre bout du monde a déjà une histoire difficile qu'il faudrait compenser. D'où des excès, des manques de limites structurantes, des peurs de se montrer un parent fatigué ou excédé... bon, c'est juste ce que j'ai pu observer dans mon entourage.
L'histoire des pinces à vélo et du vélo: c'est juste en hommage à un homme que je connais, distrait, capable de garder ses pinces toute la journée, sans s'en apercevoir, et dont l'air un peu souffreteux donne aux jeunes filles l'envie de lui venir en aide!

A quand votre prochaine nouvelle dépaysante?

Contribution du : 27/03/2017 17:45
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Visiteur 
C'est vrai, Plumette, je ne suis pas qu'un cow-boy, je fais aussi les lignes de la main. Mais surtout ne flippez pas, je suis un ange gardien :)

Ludi

Contribution du : 27/03/2017 18:10
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Visiteur 
Bonsoir Plumette.

J'ai bien aimé votre nouvelle mais venant après beaucoup
de commentateurs de nouvelles bien plus aguerris que moi,
je n'ai pas trouvé les mots nécessaires à la nouveauté.

Bonne soirée.

H

Contribution du : 27/03/2017 18:22
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
Maître Onirien
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Merci Hananke d'avoir pris la peine de mettre ce petit mot sur ce fil.Je suis touchée!

Contribution du : 27/03/2017 18:38
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
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Plumette,

Oui, en ce qui concerne les enfants adoptés, peut-être avez-vous raison; je n'ai aucune expérience en la matière; Il se peut que les parents adoptifs essaient de combler quelque chose qu'ils n'ont pu donner à leur enfant (si j'interprète bien ce que vous dites)

Les pinces à vélo : donc, il a trouvé le truc pour qu'elles en pincent toutes pour lui; ça me fait vraiment sourire, cette histoire, c'est trop mignon !

Oui, je vais revenir un peu côté nouvelles. C'est gentil de demander...

hersen

Contribution du : 27/03/2017 20:38
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Re : ouvrir avec vous la "Parenthèse "
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Pour l'expression "regarder sans voir", après réflexion, j'ai compris ce que vous vouliez dire. Mais voilà : c'est après réflexion. Or, ce qui charme dans ce récit, c'est que justement on lit sans devoir réfléchir à rien. Peut-être : "son regard erra dans la pièce et tomba sur le divan" pour introduire le souvenir, rejoindrait mieux la compréhension immédiate que l'on a de l'histoire.

Contribution du : 28/03/2017 09:32
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