@Louis,

Merci pour ton commentaire.
J'y reviendrai un peu plus tard, étant pas mal dispersée ces temps-ci et je ne veux pas me précipiter !

A bientôt !

Bonsoir Louis,

je reconnais bien ici ta patte et après quelques semaines, je suis bien aise de replonger dans l'univers de Pachizamouroc. ma réponse tardive m'a fait relire le poème et ton commentaire.

Si je devais donner un nom, inventer une nouvelle catégorie, je dirais "délire philosophique". c'est un peu mon dada et comme je réponds à Marité sur ce fil même, les réponses ne m'intéressent pas plus que ça, seule la démarche des questions nous fait surmonter les 'énigmes", les pierres sur le chemin.

Pachizamouroc est une entité à part entière, puisqu'il est né de mon esprit (peut-être un peu tordu à ce moment d'écriture !). A paritr de là, il existe puisqu'il pose la question de l'existence (ne pas confondre avec l'existentialisme) dont nous ne savons à peu près rien : nous évoluons, humains, dans une sphère que nous protégeons par tous les moyens. la preuve en est que quand nous "cherchons" plus loin... les problèmes apparaissent. Et c'est là où est le délire philosophique : exister ne serait-il pas juste suffisant ? sans doute que non, il faudrait en plus en avoir conscience. Pachizamouroc de ce point de vue en est encore à son ère initiale, il lui faudra gravir bien des échelons, sans doute, pour que nous, habitants terrestres, le reconnaissions comme une entité à part entière.

C'est pour moi une grande jouissance que de m'infiltrer ainsi dans la peau de ce genre de "personnage", je m'y sens si à l'aise, plus parfois qu'avec mes pairs !

Un très grand merci pour ton passage.
Les chocolats, tu les veux à quoi ?
A la poussière alcaline d'une falaise vertigineuse, d'où on prend le temps de se jeter pour voir le, un, monde qui ne nous ressemble pas toujours, on ne caméléone pas des tonnes, nous les Humains, bien trop imparfaits pour se demander quelle est notre place !



J'arrête là parce que sinon, je vais encore repartir dans un délire...