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Poésie : La maison sous les nuages
Onirien Confirmé
Inscrit:
28/06/2013 02:05
Groupe :
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 330
Hors Ligne
Merci à tous pour vos lectures si attentives.

Comme souvent remarquée, la transmission d'un « message » n'est pas pour moi chose aisée. Ma pensée a tendance à errer dans des lieux flous, presque indéfinissables. — Ne voyez pas là une justification ; peut-être mon œil n'est-il pas suffisamment lucide !

Pour répondre particulièrement :

Lhirondelle :
« Elle semble flotter dans ce qui disparaît » (« ce » étant indéfini) ; l'image de la maison qui flotte se veut amorcée par le titre, entre autres termes. Et la seconde partie du vers est à voir de façon plus générale, comme "toutes ces choses qui disparaissent" dans les hauteurs. Rassurez-vous, vos mots me sont utiles et compréhensibles.

Senglar-Brabant :
Le "Pléthore" de l'incipit n'est pas du tout lié au texte qui suit. Oniris me demandait de mettre quelque chose, et ce mot trottait dans ma tête. Et, par « sans toit », il faut comprendre "sans toit", donc sans interprétation ! Cette femme aveugle vit dans une maison flottante, sans toit, qui passe dans le vent.

Robot :
La maison est bel et bien sans toit, ce n'est pas une métaphore ! Et, ce qui « flotte » est un mouvement ; tout ce qui part d'un point à un autre est en voyage, il me semble !

Pizzicato :
Il s'agit d'une femme de chair et de sang. Vivre dans une maison sans plafond, bien entendu, est très incommun, mais pas impossible !

Hanternoz :
Je conserve votre « petite observation » précieusement.

Merci à tous les autres pour vos commentaires !


Pour une explication plus globale de ce texte, c'est un thème plutôt irréaliste (comme vous l'avez remarqué). Je veux dire ; il s'agit d'une maison (sans toiture) qui chemine dans les altitudes, parmi ces choses qui ne font que traverser. Une femme non-voyante y habite ; elle se livre à la musique. Je propose alors une description du cadre environnant, ainsi qu'une éventuelle interprétation.
C'est un décor surprenant, il est vrai, que l'imagination peut faire apercevoir. Le socle de ce texte est celui de la réalité : l'écart entre réalité et possible n'est pas tellement grand...Du moins, ne se le croit-il pas. Si ce texte vous paraît peu clair, alors le travail d'imagination a demandé bien trop d'effort. Ce sont les nuages — ils sont trop épais, peut-être.

Si vous avez d'autres remarques, n'hésitez surtout pas !

Contribution du : 07/12/2013 00:40
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