Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Remerciement pour : Un effet papillon
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
09/11/2019 08:54
De Chaumont Gistoux Belgique
Groupe :
Auteurs
Évaluateurs
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 2162
Hors Ligne
Merci à vous de m’avoir accompagné sur les traces de Rosa Parks.
Lien vers la nouvelle : Un effet papillon.

J’ai rédigé ce dialogue en format court pour plusieurs raisons, d’abord, je voulais observer si un format plus court permettrait d’avoir plus de lecteurs sur ma nouvelle. Je ne reçois généralement que très peu de commentaires sur mes textes qui sont souvent très longs. Je peux déjà constater avec plaisir que la longueur du texte n’a aucune incidence sur le nombre de lecteurs, mais que le pourcentage de commentateur est presque 4 fois plus élevé.

Ensuite, ce dialogue est un exercice de style, il est difficile de rendre un dialogue vivant et vos retours me comblent, car dans l’ensemble vous avez plutôt apprécié la forme. Il est évident que cela ne va pas bien loin, c’est juste un petit dialogue qui aurait pu être poussé dans les profondeurs des pensées de l’héroïne et dans la fraicheur du questionnement de sa petite fille.

J’ai voulu imaginer les sentiments et émotions de Rosa Park. Après avoir expliqué son histoire à mon fils, il lui semblait inimaginable qu’une telle différence de traitement soit possible entre deux personnes pour une question de couleur de peau.

Je voulais remercier le CE d’avoir accepté la publication de ce texte et Marimay pour sa correction essentielle pour la qualité générale de l’écrit.

Socque Merci de ta lecture en EL, tu soulignes exactement ce que je voulais faire passer dans le texte. Lorsque j’étais enfant, les sketchs de Michel Lebb me faisaient rire, en particulier, l’Africain… lorsque j’ai eu 16 ans, je l’ai réentendu avec une autre oreille et il ne me faisait déjà plus rire…
Je connaissais aussi l’histoire d’Irene Morgan dont tu parles (Wikipédia en parle aussi), mais voulant faire court, j’ai esquivé ça et bien d’autres choses. Je suis conscient du côté image d’Épinal et du traitement en surface du thème, je m’en excuse, mais tout ce qui m’intéressait, c’étaient les sentiments, craintes, frayeurs, forces, courages de Rosa Parks, et la mise en parallèle avec le harcèlement encore subit par les femmes aujourd’hui. J’en assume pleinement le choix, je voulais simplement montrer le non-sens complet de ce qui n’est pas très loin de nous.

Maria merci aussi d’avoir pris le temps de me commenter en EL, le côté interview que vous soulignez très justement est le principal défaut de mon écriture, un style souvent décrit dans les commentaires qui me sont adressés, comme journalistique. Je vais y travailler pour ma prochaine nouvelle.
Pour ce qui est de mon apport à l’histoire, c’est le ressenti de Rosa Parks. Il est sans doute en deçà de la vérité…

Plumette
Merci d’avoir pris le temps de lire cette nouvelle. Vos réflexions sur l’authenticité du dialogue, parfaitement justifiées, montrent que j’ai encore du boulot pour donner plus de vie à l’ensemble. Je vous remercie, ce sera mon point d’attention pour ma prochaine nouvelle, en essayant de moins induire ce que je ressens moi-même.
J’espère pouvoir arriver à vous convaincre la prochaine fois !

Animal
Bonjour Animal, merci beaucoup pour ton appréciation de la nouvelle. La discrimination dans son ensemble est la même, c’est ce que je voulais faire ressentir en prenant un exemple le plus banalisé possible qu’un homme regarde le corps d’une femme, et le mettre en lien avec ce qui aujourd’hui n’est plus acceptable pour personne. Je trouvais que cela permet de provoquer un déclic de conscience. C’est en fait là le centre de la nouvelle. Merci de l’avoir remarqué.

Ioledane
Vous avez parfaitement raison, le traitement du rapport entre le harcèlement et la discrimination raciale est resté en surface. Deux éléments en sont la cause, je voulais écrire un texte cours (moins de 8000 caractères en l’occurrence) et je ne voulais pas non plus une approche trop didactique, qui a malgré tout été soulignée par d’autres lecteurs. L’équilibre est une des plus grandes difficultés dans l’écriture et j’ai encore du pain sur la planche (ce qui est une bonne chose).
Merci pour votre apport dans la construction de mon chemin d’écriture.

Agueev
La retranscription des sentiments qu’a pu éprouver Rosa Parks est le moment le plus important de ce petit texte pour moi. Je voulais que les lecteurs ressentent ce qui pourrait se passer dans la tête d’une personne discriminée. Le tout avec un exemple positif, car cela enlève une part de pathos qui n’était pas mon but. Pour convaincre de l’absurdité d’une situation, il ne faut pas trop insister. Juste déposer.
Merci pour votre retour encourageant !

Malitorne
Merci à vous d’avoir revu votre commentaire, cela dit, il ne m’agressait pas. Je suis heureux que vous ayez apprécié le style, cela représente du travail et de la remise en question. Cette nouvelle était, je l’accepte sans difficulté, pleine de lacunes… Je vais essayer de m’améliorer sur les différents points soulevés par les commentaires, le vôtre y compris. Merci d’avoir pris le temps de me lire.

Hersen
Merci beaucoup pour ton commentaire Hersen. Tes avis sont généralement bien argumentés et c’est aussi le cas ici. Je suis en accord avec toi sur la façon dont le dialogue empêche les développements de la pensée de l’auteur, Plumette a très justement ressenti cette frustration chez moi et entends ma voix dans les paroles des protagonistes (rigolo, car nous ne nous sommes jamais parlé de vive voix).
Pour écrire un bon texte, il faut un dialogue naturel, une narration travaillée, un style propre et adapté à la situation décrite, un peu de documentation sans entrer dans un exposé, une approche par les 5 sens, développer son 6e sens, de l’empathie pour nos personnages et bien sûr une bonne histoire à raconter. Petit à petit, cela se construit en moi, après un an et demi d’écriture, je prends tout cela en compte pour écrire. Si j’y parviens, je m’en rends compte par une sensation physique (rien de grivois je vous rassure), une sorte de bien-être, de conviction d’être dans le bon. Je ne l’ai pas tout à fait ressenti en écrivant cette nouvelle, cela aurait dû m’alerter.
Merci et au plaisir de lire tes écrits.

Merci à tous pour votre lecture !

Contribution du : 16/05/2021 14:54
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciement pour : Un effet papillon
Maître Onirien
Inscrit:
25/06/2009 19:48
De Les Alpes
Groupe :
Évaluateurs
Primé concours
Auteurs
Groupe de Lecture
Membres Oniris
Post(s): 14493
Hors Ligne
Merci Alfin de ce retour sur commentaires.

Je pense comme vous que les nouvelles courtes sont en général plus commentées. Ici, vous avez réussi à faire passer votre message avec concision.

Contribution du : 16/05/2021 22:09
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciement pour : Un effet papillon
Maître Onirien
Inscrit:
27/04/2016 18:43
De Rhône
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Groupe de Lecture
Onimodérateurs
Post(s): 17116
Hors Ligne
Bonjour Alfin

Merci de vos explications et retours sur commentaires.

je suis contente que votre test de faire plus court vous procure une certaine satisfaction en nombre de commentaires dans une période où la désaffection des com pour les textes longs parait se confirmer.

A vous relire

Contribution du : 17/05/2021 11:12
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Remerciement pour : Un effet papillon
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
19/02/2021 09:01
De La Terre
Groupe :
Évaluateurs
Groupe de Lecture
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 1550
Hors Ligne
Alfin, je pense que vous avez eu 4 fois plus de commentaires parce que vous avez eu 4 fois plus de lecteurs réels.
Le nombre de "lectures", c'est le nombre de personnes qui ont ouvert la page. Mais beaucoup ne lisent pas le texte car trop long.
Donc le format court permet plus de lecteurs, et proportionnellement plus de commentateurs...

Contribution du : 17/05/2021 11:21
_________________
Sur le plus haut trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul.
Montaigne
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023