Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Remerciements de la part d'une héroïne rousse (ou presque)
Visiteur 
Merci aux lecteurs et surtout aux commentateurs de ce sonnet sans ambition qui m'ont aiguillé vers des corrections (dont certaines étaient déjà faîtes, dans le même sens d'ailleurs, ce qui prouve la qualité des commentateurs et la justesse des commentaires...) susceptibles d'en améliorer la qualité.
Juste quelques précisions concernant la belle aux cheveux blond vénitien, puisqu'il semblerait qu'elle ait éveillé des curiosités. Ce n'est personne en particulier (de toute manière je ne suis pas une balance...) et beaucoup d'héroïnes en général. J'ai tendance à tomber amoureux de ces créatures éthérées finalement bien moins dangereuses et moins contrariantes que les beautés de chair et d'os que l'on croise aux carrefours de l'existence.
Pour être honnête et sérieux, voyez de vieux romans oubliés de francis Jammes, publiés en 1899 : Clara d'Ellébeuse, Almaïde d'Etremont, Pomme d’Anis… C'est suranné à souhait et je vous assure que vous percevrez le parfum des vieux jardins en automne.
Désolé de décevoir Ludi, je ne possède ni philtre ni mistigri.
A ce propos, ce sont bien les « jardins qui se tapissent d’un ocre rutilant ». C’est finalement assez prosaïque et je remercie Arielle et Lotier qui y ont vu une dimension métaphorique qui enrichit le poème.
Pour le dernier vers, je l’ai voulu non claironnant et doux comme un soupir de résignation. Le narrateur n’est pas dupe d’évoluer en plein imaginaire.

@ Lotier, j’ai beaucoup apprécié votre analyse du mouvement de ce texte et les modifications que vous avez suggérées. J’avais déjà remplacé « qui peuplaient » par « un âge où s’enlaçaient les amoureux… » Pour le « tain » cela se veut une notation de la réflexion de la lumière sur le givre comme sur un miroir. Ce qui rejoint l’interprétation poétique d’Arielle.

@ Ludi, je ne peux pas grand-chose pour vous, mais avec l’humour que vous maniez en virtuose, vos chances de séduire me paraissent de premier ordre et puis les ploutocrates, c’est vulgaire…

@ Pimpette, avec votre gentillesse et votre franc parler, vous êtes certainement une de mes héroïnes.

@ Hananke, merci pour votre mansuétude. Je veux simplement vous dire que cette répétition volontaire est dans la droite ligne de l’inspiration de Francis Jammes que je souhaite modestement partager et qui me correspond bien.

Je ne voudrais pas lasser aussi me contenterai-je d’adresser mes remerciements à David, Miguel, Kie, Robot, Pimpette, Hananke, Tizef, Léni, Arielle, Pizzicato, Alexandre, Senglar, ludi et Lotier pour leur bienveillance.
Bien amicalement.
Merseger

Contribution du : 18/02/2014 22:56
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2025