Bonjour,

Je remercie le comité éditorial d’avoir publié cette nouvelle ; je remercie également les personnes qui ont pris le temps de la commenter.

@ AnnaPanizzi : en réalité, je ne suis pas un grand fan de ce groupe, The Doors, qui ne correspond pas réellement à ma génération ; cependant, je reconnais que leurs chansons, autant par les textes habités de Jim Morrison que par le clavier de Ray Manzarek, recèlent quelques perles éternelles telles que « The End » ou « Riders on the Storm » voire « Ligh my Fire ».

@Robot : merci d’avoir pointé ce découpage car il m’a pris pas mal de neurones.

@Angieblue : initialement, la nouvelle était plus longue mais ça m’a saoulé ; la version initiale donnait plus de place à la scène avec Gina et Sharon, du genre les deux filles pas vraiment copines et se disputant encore Jim.

@Pepito : ah, les détails !

@Tiramisu : je crois que ton commentaire illustre bien ce que j’avais en tête à l’écriture de cette nouvelle.

@hersen : la phrase que tu cites est parfaitement assumée vu que c’est un rêve, celui d’un homme.

@Pouet : comme je le soulignais à Angieblue, la version première était nettement plus longue mais elle ne me convenait pas en l’état ; j’ai donc taillé dans le vif pour la rendre plus compacte.

@Wancyrs : mon ami, tu as vu là un suicide, ce qui n’est pas mon intention dans le cas de cette nouvelle. Comme le dit Tiramisu, Jim se fait avaler par les éléments. C’est un choix qui ressemble à un retour aux sources, un peu comme dans le chamanisme dont était si friand Jim Morrison, le chanteur et parolier de The Doors. J’aime bien cette approche, je l’ai déjà utilisée dans une autre de mes nouvelles publiée ici sous le titre « un cri dans la forêt ».

Bon, je vais arrêter d’écouter la musique de ce groupe, je vais finir par me faire avaler à mon tour. Je vais me mettre un bon vieil album de Régine.

Merci encore à toutes et à tous

Don

Ok, Don, ça va, ça va, te fâche pas

merci de ton retour !

J'en profite pour raccourcir le titre du post.

Je reviens sur ce que tu as écrit. C'est assez curieux de ne pas être grand fan et en même temps d'écrire une nouvelle sur le sujet. Tu imagines bien que c'est encore moins ma génération que la tienne, néanmoins, je connais leurs tubes immortels. Quelle était ta motivation, ou ton inspiration en fait ?

Oui, je conçois bien ton interrogation.

Je précise: je ne suis pas de la génération qui a connu ce groupe, The Doors, et j'en suis content parce que ce ne devait pas être facile d'être jeune à l'époque. Par contre, comme je m'intéresse depuis toujours aux musiques qui ont précédé celles de ma génération, j'ai écouté ce groupe ainsi que d'autres tels que The Beatles, Jimi Hendrix Experience j'en passe et des plus allumés. Du coup, j'ai retenu ce qui m'intéressait en eux. Concernant The Doors - au passage, ils se sont reformés en 2003, évidemment sans Jim Morrison mais avec Ian Atsbury le chanteur d'un groupe écouté par ma génération et connu sous le nom The Cult ce qui a donné des concerts réussis dont j'ai pu voir l'épisode parisien au Palais des Congrès - c'est essentiellement la partie musicale de l'organiste Ray Manzarek - qui a depuis inspiré d'autres groupes - et les textes de Jim Morrison qui ont retenu mon attention. Je pense cependant que ce dernier reste trop ancré dans le mythe de la rock star décadente alors qu'il était avant tout un vrai poète américain; c'est pour cette raison que j'ai eu envie d'écrire une courte nouvelle inspirée par ses textes; dans le cas présent, même si je cite "The End" dans l'exergue, ce sont plusieurs textes en plus de celui-ci qui m'ont inspiré.

Voilà ma démarche et le pourquoi du comment.

Je vais aller m'écouter un album de Nirvana, ça va me décanter les synapses.



Don

Toujours passionnant les pourquoi du comment !

Merci

Bon Nirvana^^

Anna