Merci bien sûr au CE pour avoir accepté de publier " Absences " ainsi
qu'aux correcteurs, petites mains de l'ombre qui traquent sans relâche ici une majuscule, là un accent.
Mais aussi un grand merci aux lecteurs et commentateurs qui ont accepté ce poème pour ce qu'il est, un cri du coeur.
J'aime à imaginer que dans une autre dimension ma mère pourrait
avoir conscience de tout cela. Et sachant tout le bien que vous avez dit de ce qu'a écrit sa fille, elle vous sourirait, puis du ton le plus gentil qui soit, elle dirait " Merci, vous êtes tous bien aimables. "

Bonjour

J'ai lu votre texte mais je ne l'ai pas commenté car j'évite dorénavant de le faire en poésie et aussi car j'aurais sûrement été un cran en dessous des autres "évaluations". Or, votre texte est un cri du cœur comme vous le dîtes. Et un cri du cœur ne s'évalue pas.

Je suis persuadé que votre mère, où qu'elle soit, a été profondément touchée par votre attention et vos mots. Et seul cela compte. Et si au néant que vous croyez, c'est sa mémoire que vous avez ainsi honorée. Quoiqu'il en soit, c'est très touchant.

Moi, je suis sûr qu'elle a souri.

Merci à Lulu d'être passée par mon poème "Absences" et d'y avoir laissé un commentaire.

Que le fonctionnement d'Oniris nous permette de remonter ainsi de temps en temps à la surface est quelque chose de précieux, de vivant.

hersen