Je remercie infiniment tous ceux qui ont lu et commenté ce texte.
Beaucoup ont aimé, et pour les autres, soit le fond soit la forme sont en cause.

Pour le fond, il est exact qu’il est plus facile de provoquer des émotions sur de telles images que sur la description d’une pendule.
Je réponds donc aux remarques de Cristale et de Miguel:

- je comprends parfaitement votre réaction puisque il m’est arrivé souvent de ressentir les mêmes interrogations sur des thèmes à forte sensibilité.

- toutefois, mon parcours sur Oniris: les thèmes abordés, la rareté de mes commentaires, de mes remerciements, mes absences parfois longues, le temps ne me permettant pas d’être très présent, montre que je ne suis pas en recherche systématique de louanges.
Ils me font plaisir bien sûr, mais je préfère la sincérité à la cajolerie politique.

- en fait, il m’arrive souvent d’être totalement sec devant la page que la blancheur défend, longtemps.
Alors, seul un thème qui me touche douloureusement me permet de relancer la machine.
Bleu tchadri et l’Impuissance sont aussi là pour ça.

Pour la forme, il est également exact que, dans la première version, j’avais commis une belle bourde grammaticale:
« …………. qu’aucune ombre atténue, …. »

Le bescherelle de Marimay m’a rappelé à l’ordre et les Orgas m’ont autorisé à rectifier l’erreur. Ayez la gentillesse de me pardonner, mais la règle, regardez-la, est tout de même très compliquée.

Encore un grand merci à vous tous.