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Remerciements pour le rayon vert
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
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Évaluateurs
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Post(s): 10960
Hors Ligne
Merci tout d’abord au CE qui a estimé que mon poème pouvait rejoindre la longue liste de ceux qui figurent au catalogue Oniris. Et merci à vous qui êtes venus me lire, qui avez apprécié, chacun à des degrés différents, ce texte sans prétention aucune. Comme c’est souvent le cas, il y eut à l’origine un flot d’émotions, d’images et de réminiscences dans le creuset familier où se fondent et s’amalgament les matériaux de mon inspiration. L’écrire a été un exutoire à un moment précis de ma vie où j’en avais besoin et – c’est là l’un des privilège de l’état poétique, de la création artistique quelle qu’elle soit – lâcher la bride à l’émotion et la laisser se déverser en pattes de mouches illisibles sur le papier blanc permet de tourner la page et de passer à un autre état d’esprit...jusqu’au moment où les démons reviennent. J’imagine que nous sommes tous logés à la même enseigne.

L’écriture n’a pas été spontanée mais le travail que j’y ai consacré a été limité ; je veux dire par là, pour répondre à l’un des commentaires, que je n’ai jamais envisagé d’en faire un poème à forme fixe et à prosodie rigide.

J’ai bien conscience de ce que certains termes que j’ai employés peuvent avoir de rédhibitoire, parce que trop rares sans doute. Peut-être ne faut-il pas systématiquement se lancer dans la quête du sens à tout prix ; peut-être celui qui écrit est-il le seul à avoir la clé ; peut-être que celle-ci n’ouvrirait que des paysages à lui seul familiers. C’est ce que je fais quand un poème me parle ; je ferme le lexique et me laisse porter.

C’est pourquoi rien ne me touche plus que la petite phrase qui me dit « j’ai été transporté ». Vraiment.

A défaut de vous remercier individuellement, je veux vous dire l’importance de vos retours. D’abord pour le plaisir que j’ai eu à les recevoir. Aussi parce que je tiens compte de vos remarques : je pense par exemple au fameux « mille flux ont houlé » que je réécrirai très certainement. (Je garde par contre mon « trottis de rats », j’y tiens!)




Merci encore à vous tous


myndie

Contribution du : 15/09/2016 17:50
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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