Un grand merci global pour vos commentaires, dont l’humour apporte un écho amplifié à celui de mon texte.
Miguel, on peut être un peu jésuite mais pourquoi pas en même temps convaincu du fait que l'immanence de Dieu dans Sa création autorise à Le voir dans toutes choses, et surtout dans la beauté des femmes. Ainsi, louer Dieu à travers Sa création est une façon de progresser vers Lui... tout en tenant bien sûr notre concupiscence en sa juste mesure !
Alexandre, vous avez raison, il eut été plus correct de mettre une virgule à la fin du premier tercé.
Iloa, je vois que vous aussi m'avez pardonné, il y a décidément un peu de la Sainte Vierge dans chaque femme.
Troupi, merci pour votre commentaire, je crois pouvoir répéter le mot "Seigneur" s'il n'est pas deux fois en fin de vers.
Madawaza, bonjour au blanc de Madagascar. J'apprécie votre réponse poétique ; cependant, remarquez bien que vous ne pouvez en même temps être sans culpabilité, et le confesser !
Pizzicato, vous soulignez que la mode vestimentaire actuelle exacerbe les pensées coupables, l’idéal serait que le vêtement mette en valeur la beauté du corps tout en respectant la dignité naturelle de l’être humain, ce qui n’est pas toujours le cas.
Automnale, l’arrivée des beaux jours, avec sa recrudescence de chaloupes d’autant plus suggestives qu’elles seront toutes voiles dehors, fera le contraire de me retarder pour écrire, puisque étant propice à mon inspiration.
Hananke, je crois que cette passion est compréhensible à toutes les époques, je ne crois pas à l’histoire de l’homo néandertaliens qui traînait d’instinct sa femelle par les cheveux.
Pouet, vous n’avez aimé de mon texte que le terme « lorgneur », eh bien cela suffit à me contenter, merci.
Papipoete, effectivement, tous les « ia » ne font pas des diérèses, puisqu’il y a trois exceptions qui sont diacre, fiacre et diable (et par conséquent diablesse). Dieu entende vos 10 pater et ave.
Corbivan, mieux vaut faire porter à Dieu le chapeau, qu’à son Fils une couronne d’épine !
Vincendix, vous me voyez flatté par votre appréciation maximale.
Arielle, j’aime votre citation du grand Georges, il figure parmi mes icônes irréligieuses.
Francis, je suis en phase, on devrait baptiser dans chaque ville un « boulevard des chaloupées » pour faire honneur aux belles passantes.
Luciole, merci pour votre sourire léger.
Egfrild, ce qui vous suggère l’odeur de la naphtaline, moi je l’associe au charme des « neiges d’antan », mais tout ceci relève de nos subjectivités propres, et je respecte bien évidemment la vôtre, et puis votre évaluation s’avère positive, alors…
Ventdularge, bonjour à notre Don Camillo.
Antinoos, désolé, mais ma muse est une vieille âme désincarnée qui ne délaisse les ruines de son antique château que pour venir se pencher sur ma feuille blanche. Et pour résoudre les répétitions de « eur », je me mets au labeur.
Jano, j’ai bien apprécié votre poème « zigzag », vous y déplorez qu’elles passent sans vous voir, alors que je me contente de les voir passer.
Jfmoods, j’admire votre talent de décryptage. Au fond, la langue a son mot à dire autant que le poète.
Nemo, vous me gênez ; vos poésies, je les ai lues, n’ont rien à envier aux miennes.
Vall-E, le plus grand orfèvre étant le Créateur, nous ne pouvons que modestement tenter de L’imiter.