Merci au CE d'avoir autorisé la publication de ce petit texte et aux lecteurs et commentateurs de s'y être arrêtés. Je souhaitais y exprimer, l'âge venu, la nostalgie de l'époque trop lointaine où je vivais entouré de mes enfants qui bien évidemment ont pris leur envol et inévitablement une certaine distance, bien naturelle au demeurant.
Je suis toujours très surpris (j'y suis très sensible ayant beaucoup fréquenté les trotskistes autrefois) par la capacité d'aucuns à lire autre chose que ce qui est écrit et à leur art de dénicher partout une tragédie ou un complot.
Je ne dénie à personne le droit de ne pas aimer ce que j'écris, mais uniquement ce que j'écris.
Merci donc à Robot, Geigei qui m'a lu plus ambitieux que je ne suis, Lebarde, Miguel, Socque à qui je puis affirmer n'avoir jamais incarcéré personne, Papipoète (la capacité de nostalgie ne s'arrête pas à la majorité), Jemabi (je préfère l'expression douce de ce sentiment au piaulements d'un pathos exessif), Provencao, Ericboxfrog, et enfin Edgard pour sa sensibilité.
Bien amicalement.
C.