C'est mon deuxième post de remerciements pour "Une vie". Je ne sais pas où est passé le premier : quand j'ai cliqué sur "Envoyer", pfuitt!, il a disparu !
Je ne vais pas recommencer mais je tiens à témoigner ma reconnaissance à tous ceux qui m'ont fait des commentaires.
GiL

Bonjour Gil,

Votre post ne peut s'être envolé. En tout cas, ça ne vient pas d'Oniris. Peut-être une erreur de manip...? À moins, peut-être que vous ne soyez resté connecté trop longtemps sur le post...

Merci en tout cas de votre retour.,😊

Je viens juste de remarquer, en me connectant à l'instant, la présence d'une zone à cocher : "Conserver la connexion". Jusqu'à présent je ne l'avais pas cochée, ne l'ayant pas remarquée. Peut-être est-ce à l'origine de ma mésaventure ?

J'ajoute que lorsque j'ai cliqué sur "Envoyer" après avoir terminé mes remerciements, le système m'a demandé mon nom et mon adresse mail : j'ai trouvé cela très curieux, d'autant plus que cela n'avait pas été le cas la fois précédente, mais je ne me suis pas interrogé plus avant (ce n'est que la deuxième fois que je rédige des remerciements et je ne suis pas encore très familier avec les réactions du site).
De plus un message (très fugitif) est apparu lorsque mon post a disparu : j'ai cru comprendre qu'il me signifiait que je n'avais pas le droit d'envoyer mon message (ou de participer à ce forum ?), n'étant pas identifié.

Je pense donc que j'avais été déconnecté par le site sans avertissement : il faut dire que j'ai mis deux ou trois heures à rédiger mon post (j'ai été en effet interrompu pendant une bonne heure au milieu de ma rédaction...).

Voilà le maximum de précisions que je puisse vous donner pour vous permettre de comprendre ce qui s'est passé... et – pourquoi pas – de retrouver mon post, puisque vous dites qu'il ne peut pas avoir disparu...

Bien à vous,
GiL

Bonjour Gil,

Le plus sûr est d'écrire son texte à l'avance sur un fichier Word par exemple, puis de faire un copier, coller sur le message du site.

Cela évite bien des déconvenues

Myo

Bonjour GiL

Vous pouvez peut-être récupérer votre texte en appuyant autant de fois que nécessaire sur la flèche de retour arrière située en haut à gauche de la barre de recherche de votre pc, jusqu'à retrouver la page.

Cela m'est arrivé et c'est la solution qui m'a permis de retrouver des commentaires et autres post non envoyés à cause d'une déconnexion.

Bien cordialement,
Cristale

Eh bien, au vu de ce que vous expliquez, vous avez été déconnecté du site.

Pour en revenir à la vôtre texte, '' Une vie '', il était bien intéressant et il demeure toujours intéressant de développer une discussion au-delà de vos remerciements.

C'était un exercice de style. Sans doute cela vous a-t-il pris du temps de l'écrire ? J'ai trouvé la forme choisie particulièrement pertinente par rapport au thème. C'est ce qui m'a le plus marquée.

PS : Comme on vous le suggérait un peu plus haut, n'hésitez pas à écrire sur une page de traitement de texte avant de poster un post long. C'est le plus sûr moyen de ne pas être déconnecté.

Merci, Lulu, de vous intéresser à la genèse de mon poème.

Pour autant que je m’en souvienne (c’était il y a six ans, déjà !), j'avais le sujet et je suis partit avec l’idée d'en faire un sonnet, comme presque toujours. Il faut dire que je suis un inconditionnel du sonnet et quand j’accouche d’une autre forme, c’est souvent parce qu’il y a quelque chose qui a mal tourné !
En l’occurrence je me suis retrouvé rapidement avec plus de rimes et d’images que n’en pouvait contenir mes deux quatrains, et c’est là que m’est venu l’idée de la forme que j’ai adoptée (je ne me souviens pas si je connaissais déjà la terza rima à l’époque...).

Combien de temps cela m’a-t-il pris pour l’écrire ? Ni plus ni moins que pour les autres poèmes. En effet, dès que j’ai écrit le premier jet (en un jour ou deux), je fais d’innombrables corrections, une ou deux par jour pendant quinze jours, puis ça s’espace, mais je continue de trouver matière à amélioration, souvent même après plusieurs années…
Je vais tout vous avouer : quand j’ai décidé de présenter « Une vie » sur Oniris, le dernier vers présentait un hiatus qu’on allait à coup sûr me reprocher (je ne l’avais jamais corrigé, car je ne suis pas très sensible aux hiatus). C’était : « Auprès du marbre usé où dorment mes aïeux. » J’ai pensé remplacer « marbre usé » par « marbre gris » mais j’ai finalement opté pour la version actuelle. Comme quoi la peur du gendarme... :

C'est moi qui vous remercie d'avoir repris le fil de cette discussion. En effet, en ces occasions, j'ai tendance à relire les textes publiés dont on parle.

Ici, vous évoquez la question du hiatus. Je dois vous dire que, pour ma part, je ne les ressens jamais comme un problème. Sans doute faudrait-il lire ce texte à haute voix pour voir que le hiatus en lui-même n'altère en rien la qualité du poème.

Je crois que ce qui me touche le plus, maintenant, comme au début quand j'ai découvert ce texte est simplement ce cheminement d'un personnage qui semble porter sur lui-même un regard lucide et apaisé. Ainsi, j'aime à lire, dans un certain optimisme, que rien n'est jamais perdu. 😊

Passant par hasard, enfin presque...
Je me demande où est le bouton "conserver la connexion", je ne l'ai jamais vu. depuis cette première mésaventure, avez-vous remarqué une différence ?
Je commente souvent à même le site et j'ai été confronté à ce genre de déboires, dans le passé.

Concernant votre poème, "Une vie", avec un "air de ne pas vouloir y toucher" (cad une propension à minimiser votre travail, cf "petit exercice") vous cachez bien le jeu que la poésie et vous ont mis en place ; elle vous habite, vous l'écrivez, mais peaufinez et re-peaufiner pour lui plaire encore plus, bravo !