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Retour vers l'Elfe des prairies célestes
Maître Onirien
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17/04/2013 18:11
De Monts du Jura -
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Je remercie le comité éditorial et les sélecteurs pour avoir retenu « l’elfe des prairies célestes » en publication. Merci aux lecteurs et aux commentateurs – Ornicar, Papipoète, Provençao,Vincente, Amitizix, Donaldo 75, Louis.

Ornicar : Vous avez ressenti la dernière strophe comme une critique. Dans mon esprit il s’agissait plutôt d’un constat. Prose ou libre ? La sélection a partagé votre sentiment en reclassant le texte en libre. Mon idée en découpant cette « prose », était de lui donner le rythme que je ressentais en écrivant.

Papipoète : Tu as bien saisi le contraste entre l’enchantement du début et le constat du désastre au final.

Provençao : Vous avez relevé dans « cette poésie du merveilleux » la fascination pour l’immensité cosmique. C’est à la suite d’une méditation sous le ciel étoilé d’une nuit que l’idée de ce texte m’a été inspiré.

Vincente: Le « je » qui t’a gêné m’a semblé le meilleur moyen de personnaliser cet elfe qui représente dans ma vision la prise de conscience. Suite à ta remarque j’ai tenté de reprendre les phrases de manière plus neutre mais cela changeait l’état d’esprit et me semblait éloigner l’elfe que je considérais comme un médiateur entre le lecteur et moi.

Amitizix : Vous avez trouvé que le final brutal de la chute sortais le lecteur trop brusquement du récit. C’est cependant voulu pour marquer la soudaineté de « ma » propre prise de conscience.

Donaldo 75 : Je sais ton goût pour ce genre de récit cosmique. Je suis donc content que celui-ci te plaise. J’ai construit le texte avec cette volonté littéraire de rupture entre la représentation cosmique de la première partie et la vision tragique finale.

Louis : Comme toujours vous avez décelé tout ce que l’auteur a pu mettre de conscient et d’inconscient dans son récit et la représentation de son imaginaire. J’apporterai une précision à propos du vers « le temps qui passe est éternel » C’est une manière de dire que l’elfe est un voyageur du temps. Que la vision finale il la perçoit « hors du temps ». Peut-être dans ce qui serait pour nous l’avenir. Sa nature cosmique lui permet le pré-sentiment. C’est un lanceur d’alerte qui sait où nous mènerons les inconséquences.

Merci à tous et à bientôt sur vos textes.

Vers le texte:
http://www.oniris.be/poesie/robot-je-suis-un-elfe-des-prairies-celestes-12624.html

Contribution du : 03/03 12:21:30
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Vivre au paradis, quel enfer !
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