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Retours sur les nuits vagues
Expert Onirien
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27/12/2018 19:11
De au pied du col du coin
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Bonjour à tous,

Au comité éditorial, à tous mes lecteurs nombreux qui m’ont fait l’honneur de leur passage pour lire ce poème et à tous mes commentateurs, un chaleureux merci.


J’ai écrit les nuits vagues suite à une nuit de pleine lune et ce rêve un peu découpé comme le sont parfois mes rêves. Les nuits de pleine lune, j’ai l’impression de passer ma nuit à rêver et j’ai le sommeil plus où moins léger, donc je bouge beaucoup à gauche puis à droite, puis à gauche et encore à droite, mais je me rendors et à chaque fois je retrouve mon rêve là où je l’ai quitté mais avec de nouveaux éléments. J’ai donc eu envie de le retranscrire, car celui là, que je n’avais jamais fait était quand même un peu surréaliste.
Donc, dans ce rêve, j’embarquais effectivement sur un bateau pour une ballade en mer, moi qui est le mal de mer et n’aime pas particulièrement les bateaux, bon, pourquoi pas, je ne gère rien de toute façon alors c’est parti. Au début la balade est sympa jusqu’à ce que le temps ne se gâte et que le bateau tangue dangereusement au point qu’un autre plaisancier bascule par-dessus bord. D’où le masculin pour plaisancier, il ne s’agissait pas de moi. Non, non, cette nuit j’ai le pied marin... Je m’accroche puis suite à la tempête je décide de prendre un itinéraire Bis donc je m’échappe littéralement du bateau qui prend l’eau en surfant sur une lame d’eau sans planche de surf évidement...
Cette nuit, j'étais Super-nana (sourire, c’est que j’ai l’image en plus du texte moi), ça a de bon coté les rêves !!!
Bref, et pendant que je surfe, ça grouille autour, de chouettes bestioles marines qui ont l’air de bien se marrer et qui ensuite m’entraine au fond et m’incitent à les suivre. Mais j’avoue, j’ai évidement hésité, mais finalement, mes neurones n’ayant surement pas envie de finir en toast pour requin farceur ; j’essayais de fuir et le réveil au même moment ne m’a pas donné la suite de cette aventure. Dommage.

Les périodes de quasi-réveil correspondent aux distiques, que j’ai mis au présent car je vivais à peu près consciemment ce moment.
Pour ce qui est de la matelote, je suis parti de matelot puisque je me débrouillais tellement bien dans cet univers inconnu, et comme je n’ai absolument pas le pied marin, je trouvais que cela lui donnait un coté « camelote ». Bon cherchez pas, c’est de l’autodérision... (rire)
Et c’est surtout en adéquation avec la supercherie de cette folle épopée.
Je vous répond à chacun en particulier pour le reste.

Corto : Merci à vous pour votre lecture et commentaire, je suis contente que vous ayez apprécié ce tangage nocturne. Les rêves sont souvent sibyllin, les miens en tout cas, mais je me cherche pas leur signification, il me font sourire où rire et c’est déjà pas mal... Je suis une lunaire et j’en assume tout à fait le côté « allumée ». A chacun sa flamme !!!

Gemini :
Merci à vous, j’ai en effet emprunté le vocabulaire marin par obligation puisque mon rêve se déroulait en mer. Et je n’ai pas du tout la prétention de faire croire que j’ai le pied marin. Au contraire, je fuie plutôt tout ce qui navigue. Je suis une fille de la montagne. Pour ce qui est de matelote vous trouverez la réponse plus haut dans l’explicatif du rêve en question. La marinière était juste le vêtement du jour que j’arborais en touriste bêta, évidement. Le plaisancier > réponse également plus haut. Pour ce qui est de guidant au lieu de soufflant, personnellement j’utilise souvent ce terme lorsque je me réveille et que je suis tiré d’un rêve : celui-ci se décompose, se désagrège puis disparaît pour être remplacé par les pigments de lumière aveuglante lorsque l’on entrouvre les yeux. Cela me fait le même effet qu’une lumière que l’on me soufflerait, me voilà frustrée. Mais j’y avait pensé et j’ai hésité entre les deux verbes. Finalement, j’ai tranché. Pour ce qui est de Cap au nord, et bien merci, je n’y ai tout simplement pas pensé !!! (rire) comme quoi, ne me confier pas la barre...

Lucilius : un grand merci à vous pour votre beaucoup qui me touche, beaucoup... Votre domaine est’ il la mer ?

Papipoete : merci à vous pour ce gentil retour, je vois que vous avez parfaitement saisi l’ensemble de mon odyssée marine. (sourire)

Vincente : merci à vous pour votre retour, d’avoir apprécier l’ambiance et le style carnet de bord, vous trouverez le pourquoi du comment plus haut. Je vais essayer de répondre à vos autres questions.
Embarquée en canot couchée sur le satin : et oui le satin c’est juste mon drap de lit et l’effet miroir de la mer.
Poséidon branlait le sol du rafiot : étant donné que je subissais la tempête et que Poséidon est le Dieu de la mer qui soulève où calme les vagues, j’ai trouvé poétique de l’inclure à ce poème onirique.
Nuit lactée, particulièrement étoilée
Plaisancier : voir plus haut explication sur les détails du rêve
Tangué : c’est l’abord qui est tangué
...
Sur l’ensemble, mon texte ne me parait pas incompréhensible, je suis navrée qu’il le soit, je le sais un peu facétieux sans aucun doute, mon nouveau songe était tout à fait irréel...
Et oui, j’ai été un peu embêté par vos irritations où plutôt triste que nous n’ayons pas la même vision pour toutes les raisons que vous avez détaillé mais je suis navré, personnellement, je ne cherche pas forcément à tous comprendre du contenu des poésies que je lis et j’aime les images poétiques. Je ne pense pas être capable d’écrire autrement ma poésie.
Je crois que ma terre n’est absolument pas ferme, ni carré, encore moins ronde où quelconque autre qualificatif. Quand à mes mots, ils ne sont que ce qu’ils sont, parfois ferme et parfois malléable.
J’espère être plus limpide pour vous lors d’une prochaine parution. Merci encore pour votre passage.

Davide : merci à vous pour votre passage et votre gentil commentaire. Vous avez raison, mes vers sont boiteux tout comme mon songe. Pfff ! Je ne serais jamais une poète classique... Mais je suis ravie que vous ayez apprécié l’ambiance fantastique et onirique. La sirène Stéphanie vous remercie.
Pizzicato : un grand merci à vous de m’avoir rejoint dans cette virée maritime alors que vous souffrez comme moi du mal de mer et que vous ayez apprécié la balade ; je ne vous souhaiterai malgré tout pas la même virée inerte pour votre prochain songe. PS : rassurez-vous, je n’ai pour une fois pas eu le mal de mer... Pour ce qui est de la matelote > réponse plus haut.

Hersen : merci à vous pour votre présence et votre lecture, en effet, c’est en me levant et en arrivant dans ma cuisine où j’ai vu mes proches et où je leur ai raconté mon épopée nocturne (j’en riais toute seule) que j’ai eu l’idée d’écrire ce poème car je me suis dit « heureusement qu’ils sont là le matin pour illuminer ma journée et me remettre les pieds sur terre ». Je suis contente que vous ayez passé un bon moment.

Robot : merci à vous pour votre commentaire et votre lecture, j’espère ne pas vous avoir trop secouer pendant ce rêve qui n’était point une rêverie sinon j’aurai évité la mer. Je suis bien surtout les pieds sur terre où dans les airs en rêverie...

Senglar de Brabance : merci à vous pour votre passage en fanfare et votre humour, j’apprécie toujours, je mettrais cela sur le compte de ce trip à la blanche où pas ? Pas de loup garou, pour sur, je ne fais jamais de cauchemar et je m’en sors toujours indemne, il n’y a que des créatures farceuses et j’emmène toujours ma cape de super héroïne.
SuperStéph, le retour !!!
PS : rassurez-vous-même après une blanche, je trouverais la route vers le Nord, je suis juste Messine de naissance. Lol, très au nord du sud de belle France. Et comme je suis très débrouillarde, aucune chance que je ne me perde, où, que l’on m’égare.
Si en plus vous allumez un feu de joie, à la Johnny , je pousserai même la chansonnette pendant que vous écopez ! Je connais quasi tous son répertoire, je pourrais faire fuir les requins et soutenir ainsi votre écopage, cap sur la Belgique une fois. Lol !!!

Stéphane : un grand merci à vous d’avoir subit la tourmente de ma compagnie en ballotage extrême sur ce poème et de l’avoir apprécier. J’en suis très heureuse. Salutation de la sirène de cette nuit vague.

Solo 974 : un grand merci à vous pour votre présence à bâbord de mes songes et sur la vague de mes déambulations nocturnes. Je suis ravie que vous ayez apprécié certaine de mes images et mon humour, j’en suis fort bien pourvue, Dieu merci... Salutation amicale.

Leni : Un grand merci d’avoir apprécier le voyage en ma compagnie, les monstres marins nous ayant accompagnés et mon écriture. Mes amitiés à vous et j’espère vous voir sur ma prochaine publication, surement une chanson pour changer. Ce sera une première surement « plaine » de défaut. (sourire) Vos commentaires me permettrons surement de m’améliorer.

Pouet : merci pour votre lecture et votre commentaire. En effet, ma blanche n’a rien de répréhensible, il s’agit bien de la lune (rire), même si elle fait parfaitement planer en eau trouble... J’aime beaucoup votre formule le vague à lame, il me semble l’avoir déjà lu chez un auteur mais n’ayant vraiment pas de mémoire, pfff ! Cela s’est envolé... dans mon ciel lacté.

A votre intention : à bientôt pour une prochaine virée sur vos écrits où les miens.
Qui sait ?
Salutation amicale,

StéphaNIe

Contribution du : 23/03/2019 18:52
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