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"Ritournelle à mains nues" Remerciements
Maître Onirien
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31/10/2009 09:29
De du côté de Brocéliande
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Merci à tous ceux qui ont bien voulu fredonner ma ritournelle le temps d’une lecture et particulièrement celui d’un commentaire. Merci à toute l’équipe de publication qui a permis qu’elle vous parvienne.

J’ai apprécié que Marite et Salamandre trouvent réconfortante cette évocation de deux vieux amants qui résistent à l’usure du temps.

Pimpette, Pizzicato, Lhirondelle, Senglar ont été plus sensibles à l’image musicale du jeu à quatre mains sur un piano et je m’en réjouis, c’est un ajout de dernière minute qui ne figurait pas dans une première parution de ce poème.

Alors que Troupi fait ses délices de l’économie des moyens typographiques, Leni relève la tendresse et Robot la sérénité de l’ensemble, c’est important pour moi tout autant que la sensualité que mentionne Luz.

Je connais assez peu Aragon et sa muse Elsa auxquels fait allusion Jamesbebeart. C’est une de mes lacunes que je me promets toujours de combler.

Pieralun qui voit mes six derniers vers dignes d’une récitation me fait gentiment sourire quand je pense à ce que j’ai voulu mettre dans cette image finale.

J’ai lu et relu avec beaucoup d’attention ton commentaire, socque. Trop sage, trop sucré à ton goût, cela je m’en doutais un peu en postant ce texte et je ne te cache pas que j’avais pensé à ce genre de commentaire de ta part mais je suis loin d’en négliger la portée.
Je sais que cette auto-parodie dont tu qualifies très justement ce petit poème est bien le principal danger qui me guette. J’ai trouvé une manière de m’exprimer qui me convient dans sa forme, somme toute plutôt conventionnelle; par paresse je n’essaie pas d’en sortir ni de me renouveler. C’est un défaut que tu fais bien de me rappeler même si je vais avoir beaucoup de mal à m’en défaire.

Ta réflexion sur l’expression de la constance des sentiments féminins, Hellian, mériterait la création d’ un forum à part entière. Il y aurait de quoi débattre longuement sur le poids des traditions dans notre société qui se libère avec beaucoup de peine du carcan des habitudes …
Pour en revenir au texte lui-même je ne vois pas bien comment j’aurais pu évoquer les clignotements de la braise, sous l’action d’un soufflet par exemple, autrement que par ce verbe « palpiter » qui semble te chagriner. Quant au fruit cueilli par le berceau d’une caresse, point n’est besoin, à mon sens, de se munir d’aucun outil, aussi sophistiqué soit-il, pour voir dans le geste d’empaumer, de nicher un fruit au creux de sa main en lui donnant une légère rotation afin de le séparer de sa branche, pour voir dans ce geste, dis-je, le double de celui d’une main empaumant un sein ou une hanche … Je m’étonne que l’image ait pu t’échapper à ce point.

Contribution du : 26/11/2013 12:13
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"La poésie est aux apparences ce que l'alcool est au jus de fruit"
Guillevic
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