Salut les junkies !
En tant que dealer, j’ai pas trop mal vendu ma came me semble-t-il. Certes mon produit de synthèse ne vaut pas la bonne vieille sérotonine naturellement fabriquée par le corps, mais c’est pas non plus du frelaté, alors à défaut et à l’approche de la déprime hivernale...
Merci CE, correcteurs et commentateurs, je vous en remets une dose.

@ Don : Merci pour ce commentaire plein de facétie bon enfant que l’inintello provincial que je suis apprécie. Wouah, toutes ces références d’élite parisienne ! Parmi lesquelles j’aime particulièrement le cerveau greffé sur rocker périmé !

@ Orni, merci pour ton commentaire. Je te file ta dose, mon gars. C’est toxique mais t’aimes ça, alors tu paye content. Heureux que te plaise ce contemporain qui n’a rien demandé d’autre. Heureux aussi de t’avoir embarqué par le son, et la cadence de la terza rima !

Merci Marceau pour votre commentaire, qui m’a fait visiter l’estampe de Dürer. J’ai bien aimé votre lecture, qui insiste également sur le tempo. Et je salue, de façon générale, votre grande culture en arts.

Merci Myndie, pour le « brut et ouvragé » qui définit pas mal du tout mes recherches poétiques, comme on dit dans ma tribu. « Quête, dualité […], dépendance », encore des mots chantait Dalida, mais qui tapent si juste.

@ Papipoete. À votre question : les dicos ne pèsent plus très lourds à l’heure du numérique, alors à défaut de couler, je m’en vais naviguer souvent sur le fleuve Wiki et pêche de ci de là ce qui convient à ma plume. Merci pour votre commentaire qui invite après tous les autres plus haut un Gilmour de haute tenue.

@ Provencao, merci. « Ça casse, ça déchire, ça explose » : je vais vous embaucher pour faire l’article de mon produit, vous avez le talent du mot subliminal.

Merci Bodelere. Je vous cite : « C’est une exploration sombre de l’identité, de l’errance et de la relation toxique/vitale entre le soi (l’ombre, la gale) et l’autre (le corps, le dandy) ». Pffiou, mais comme c’est tout à fait ça ! Grand merci pour ce décryptage.

@ Ascar. La sérotonine a le goût qu’on veut bien lui donner en poésie. C’est un peu le principe il me semble. Mais vous avez raison, mieux vaut n’y pas toucher, on devient si vite dépendant. Merci de votre passage.

@ Al, merci pour votre commentaire. J’aime bien votre question, rhétorique, sur l’usage des mots. Tout un programme ! Vous avez apprécié l’ « humeur » et le « dansant » de mon poème, je vous en remercie.

Encore une fois, ce fut une joie de vous lire, je dirais même un trip de malade !

Au plaisir de prochaines rencontres.

Merci Myndie, pour le « brut et ouvragé »
Je confirme: comme ils disent dans Les tontons flingueurs :"c'est du brut!"
De la sérotonine pure à 99%
Après ça, faut voir, ya comme un manque
Merci pour ton retour Cyrill!

Merci pour votre retour....et merci pour votre proposition

Mercyrill pour votre retour.

Ma "grande culture en arts" ? Holà ... En fait, moins on en a, plus on l'étale, dixit Françoise Sagan. C'est comme la Sérotonine goût abricot sur une biscotte de mots rares, un pur délice !