Je remercie 12 des 13 commentateurs de ce poème, et non celui qui l'a massacré pour me rendre la monnaie d'une certaine pièce, et ses 245 lecteurs.
Le texte se trouve dans mon recueil "Poèmes à Saint-Lazare" (le cimetière historique de Montpellier) publié il y a plus de vingt ans. Plusieurs autres poèmes de ce recueil figurent sur Oniris. Le titre m'a été inspiré par le film "Garden of stones", une méditation sur la guerre du Vietnam à partir des funérailles de soldats à Arlington. Ma préoccupation était autre, le titre est le seul lien entre les eux.
Certains ont su lire ce poème, d'autres pas. Je m'étonne qu'on ait pu s'émouvoir de répétitions qui ne sont que des effets de style, comme "tombes", ou "monde oublié / oublier le monde" : cette inversion s'appelle un chiasme. Quant aux "fantômes de la vie", cette antithèse exprime, comme l'a si bien défini jf moods, l'inconsistance du monde.
C'es un thème très rebattu, effectivement ; mais quel thème ne l'est pas ? Je m'en remets là dessus au facétieux Boris Vian :
"Tout a été dit cent fois
Et beaucoup mieux que par moi.
Aussi quand j'écris des vers ..."

Je vous laisse chercher la suite ailleurs.

Miguel,
Je retiens qu’on a le droit de diffamer, en attendant peut-être une modération.
Je comprends votre amertume, je n’ai pas toujours la main légère, mais vous me connaissez bien mal, parce que si je m’étais souvenu de votre commentaire sur mon texte (Roulé dans l’herbe), j’aurais ajouté au Vraiment pas une flèche vers le bas :)
Bellini

Tiens, vous vous êtes reconnu. Vous avez donc plus de finesse que votre mauvaise lecture de mon poème n'en laissait paraître. Je m'en réjouis. Je n'exclus pas, à l'occasion, de porter une appréciation positive sur un de vos poèmes, on verra de quoi l'avenir sera fait. Si par hasard ce n'est pas le cas, croyez bien que ce ne sera pas par vengeance ; il y faudrait une opiniâtreté que je n'ai pas.

Déranger ma finesse pour vos gros sabots ?
Arrêtez de vous voir trop beau dans votre miroir et de considérer que seule une vengeance a pu maltraiter votre génial poème.
Bellini

Je ne prétends pas me chausser à la pantoufle de vair de Cendrillon ; mais l'outrance de vos propos vient confirmer mon jugement. Car enfin ce poème n'est pas le premier qu'Oniris me publie, et personne encore ne s'était avisé de mes gros sabots. Mais il est vrai que tout le monde ne peut se prévaloir de votre rare perspicacité; n'est pas Bellini qui veut, qu'on se le dise.
Quant aux sabots, allez faire un tour chez Brassens, vous verrez qu'ils ne sont pas incompatibles avec la poésie.

Bonjour Miguel

Bellini cherche uniquement la petite bête, le petit détail qui pourra
faire capoter le texte au risque même de se tromper mais ça n'a pas
d'importance, il cherche, il cherche comme le furet court,
le reste d'un texte ne l'intéressant visiblement pas.

J'attends sa prochaine proposition avec impatience mais on est
comme Soeur Anne, on ne voit rien venir.

Bonne journée.

H

Bellini semble être un ancien du site qui s'est inscris sous un nouveau
pseudo, la pratique est hélas, bien courante mais si le nom change
le commerce demeure.
On en a maintenant une certaine habitude.

Pour moi, c'est terminé.

H

Hananke,
Seule la recommandation de la modération m'empêche de vous dire en public ce que je pense de vos méthodes de dénonciation.
Bellini

Vincente, laissez-nous un peu ferrailler, que diable, ça ne prête pas à conséquence, il n'y aura pas mort d'homme, et on manque cruellement de distractions en ce moment. Se colleter un peu fait partie des charmes du débat. C'est comme au catch, les effets sont grossis pour pimenter le spectacle. Si chaque dispute tourne à la prise de tête, on va finir par s'ennuyer. Ne mettons pas de la modération partout, laissons un peu de place à l'excès, c'est tellement humain et tellement plus marrant que l'aseptisation ambiante.