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Re : Tip top, le Modèle ?
Chevalier d'Oniris
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04/01/2023 11:22
De Un dimanche à la campagne
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Papi, je te réponds à tout, quelques lignes plus bas...

Bisou à toi, Eki, ma soeurette ! (clin d'oeil complice)

Ornicar, si vous trouvez très long mon retour précédent, qu'allez vous penser de ce qui suit ? (sourires)


************************

1 - Merci, Geigei.

Frais et enlevé. Je le prends comme un beau compliment.

Quant à l'étude psychanalytique, on voit que tu caresses bien la matière. ^^

J'élargirais ton propos, si tu le permets, en mettant l'accent sur la symbolique du vêtement, qui se donne à voir, qui nous cache et nous révèle, qui nous déguise et nous illusionne. Et sur celle du corps, lieu des pulsions, qui s'exprime.

Sans oublier, que dans presque toutes les sociétés, et ce depuis la nuit des temps, le vêtement représente l'élément d'une image de soi que l'on montre à l'autre.

Pour ma part, j'ai l'impression, durant cette période d'affirmation de soi qui commence à l'adolescence et peut se poursuivre longtemps après, d'avoir plutôt mené une croisade entre ce ''masque'' imposé par notre culture et la franchise à l'état pur représentée pour moi par le nu absolu. Ce nu idéal qui pose pourtant aussi problème, puisqu'il n'a pas de signification, selon Hegel, car il ne parle qu'au travers des voiles, des étoffes, des masques, du maquillage dont il peut s'envelopper ou se dénuder.

Donc, tiraillée sans cesse entre le besoin de l'image que l'on veut donner à voir et celle que l'on est vraiment.

Comme tu peux le constater, un vaste sujet sur lequel je pourrais m'étendre longtemps... toujours avec un grand plaisir.

*********************************


2 – Merci, Eki.

Tu as tout repéré : la dérision, le caustique, l'espièglerie, le scalpel et les claques. Tout, quoi !

Ah, que je l'aime ton expression « … qui claquent comme un porte-jarretelles » ! Une image me vient qui élargit le sourire. ^^

Le bonheur, c'est aussi de ne pas décevoir ceux que l'on aime, en les emportant le plus drôlement possible dans nos délires.

Dirais-tu que c'est une mission réussie, ici, sœurette ?

********************************


3 – Merci, Lebarde.

Merci d'être sorti de votre zone de confort. Cela prouve que vous êtes courageux et avez l'esprit large, en plus de donner à votre avis sur la question un autre point de vue fort intéressant, qui me force à réfléchir davantage. Et j'aime ça, creuser la réflexion...

Je n'ai pas d'explications au comment du pourquoi, mais c'est vrai que de tous temps ce sont les filles qui sont soumises aux règles du bon maintien. Même encore aujourd'hui où on leur fait croire qu'il reste à atteindre une égalité entre les sexes, au lieu de claironner haut et fort que cette égalité existe depuis la nuit des temps. Une égalité qui se joue précisément dans nos différences, par notre complémentarité.

La seule bataille qui ne doit jamais cesser, c'est bien celle du respect que nous nous devons tous entre êtres humains, sans distinction de genre, de race, ou de croyance.

Croyez-vous que ce ne soit qu'une utopie ?

******************************


4 – Merci, Ornicar.

Quelle bonne idée d'avoir franchi l'entrée de cette cabine d'essayage du prêt à penser.

Cela nous permet de sourire ensemble sur les mêmes choses qui ont agité mes lignes. Les jeux de mots que j'affectionne particulièrement lorsqu'ils s'invitent avec leur multitude de sens à faire tourner la tête, par exemple. Ou encore le titre, qui s'est imposé telle une évidence sitôt le point final posé.

Suite aux vôtres faites en début de forum, je vous dois une confidence. Quand vous dites prendre le temps de laisser décanter vos textes, je ne sais écrire que dans l'urgence. Comme ce fut le cas pour celui ci, né sur un coin de bureau, entre trois piles de dossiers à traiter et cinq coups de fils, tout en me réservant ce qui restait de la journée pour jouer avec les mots et affiner les images que j'avais en tête.
C'est un sport jubilatoire, vous pouvez me croire. Rien dans mon travail, que j'aime rendre toujours bien fait, n'a eu à pâtir de cette distraction. Bien au contraire, je dirais. Un peu comme si les deux exercices à mener de front se stimulaient réciproquement pour m'empêcher de me perdre en inutiles circonvolutions de l'esprit. L'urgence gommait en quelque sorte les complexes parasites qui ne disposaient plus de temps pour court-circuiter une certaine logique. Enfin, c'est de cet ordre là... si je m'explique bien.

Guillemets ou pas autour ''d'elle'' ? La question m'a tarabustée également. Je me souviens avoir préféré ne pas attirer l'attention pour voir comment elle serait comprise à la lecture. Une façon aussi de calmer un peu mon exubérance naturelle en laissant subsister des zones d'ombre, enfin, je crois.

Votre interprétation sur la catégorie poétique choisie, le libre, qui est en fait la seule possible pour moi, me plaît infiniment. C'est tellement ça ! La botte en plus, comme un cadeau final, évidemment. (sourire)

Si ce peu de coulisses dévoilées ne vous suffisait pas, surtout n'hésitez pas à demander. Comme vous avez pu le constater, je n'en suis plus à quelques lignes près. (rire)

*********************************


5 – Merci, Papipoète.

J'ai failli lire ''pré-électorale''. Un lapsus révélateur de ma part, tu crois ?

Pour répondre à ton english façon François, du post #8, je te rassure tout de suite :
- un, I don't ever want to stop writing. Never, never, my Old Friend ! Ou alors c'est que j'aurais mal tournée ;
- et de deux, tu en as eu de la chance, dis-moi. Je sais de quoi tu parles, ma maman à moi aussi était très aimante. Elle surveillait sa couvée bec et ongles dehors à la moindre alerte. Je lui ai déjà demandé pardon de l'avoir prise comme modèle de l'autorité dans mon petit couplet accusateur. Parce que, malgré sa vigilance, c'est quand même elle par qui le courant des mœurs est passé.

Vive nous, vive la Liberté ! Toutes générations confondues...

****************************


6 – Merci, Myndie.

Si tu as lu tout ce qui précède, plus le commentaire de Louis, qui explique cela très pertinemment, tu sais déjà que je n'ai utilisé ma maman que comme le symbole de l'autorité dans mon mini sociodrame.

Pour sa réhabilitation, il va peut-être me falloir songer à écrire sa vraie histoire. J'ai connu cette chance d'être entourée par des femmes fortes toute ma vie. Ma mère fut la première. Celle qui m'a transmis de vraies valeurs que j'ai pu retransmette à mon tour, ainsi que la force, la fierté d'être une vraie femme. Elle a surtout été celle qui n'a jamais cessé de clamer, par son exemple, que la vie était belle.

Pour la partie écriture, j'aime depuis toujours ce mélange d'ordinaire et de deuxième, voire troisième degré qui teinte mon encre. J'aime aussi la mâtiner d'expressions qui heurtent un chouïa la bienséance. Histoire de troubler son image un peu trop lisse et sage à mon goût.

Je ne te sens pas emballée à sang pour sang (sourire), par cet opus hors du cadre, par contre je ressens très bien l'amour qui règne entre nous. Il me vaut ta belle appréciation. Merci, l'Amie !

******************************


7 – Merci, Quistero.

Je vous comprends. À l'époque où j'ai écrit ce texte pour mon recueil personnel, je l'avais rangé dans la catégorie ''Le fil des jours, ma muse'' et pas celle des poésies. Et au moment de le proposer sur Oniris, la recherche de la catégorie appropriée m'a effectivement posée question.

Après, chacun a son propre barème et trouve de la poésie selon ses goûts. Il faut juste accepter de ne pas tous vibrer sur les mêmes sensations. Ce qui serait vraiment la barbe, reconnaissons-le...

En ce qui me concerne, je trouve de la poésie à peu près partout. Une question de regard porté sur ce qui nous entoure, sans doute... Tout est source à m'émerveiller dans notre nature tellement complexe. Et pas seulement les histoires d'amours entre le berger Endymion et la ravissante Séléné.

Je vous remercie cependant d'avoir pris le temps de me lire et de nous donner votre ressenti. Mon regret est qu'il soit si peu argumenté.

******************************


8 – Merci, EtienneNorvins.

Votre couche d'enthousiasme supplémentaire me va droit au cœur. Elle l'enrobe d'une douceur très agréable qui me fait ronronner de plaisir. D'autant plus que vous avez apprécié mon jeu de langue, qui est mon jeu d'expression favori. Un jeu qu'il me plairait de prolonger le plus sérieusement du monde jusqu'à son zénith.

Le titre, par tout ce qu'il raconte avec ces deux seuls mots, m'a aussi fait jubiler. Il m'a été offert par une muse généreuse qui passait par là, mine de rien.

Quant au ''elle'', je vous renvoie, si vous le souhaitez, à ma réponse faite un peu plus haut, à Ornicar.

Si ces explications ne suffisaient pas, je reste à votre disposition pour vous me dévoiler davantage.

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9 – Merci, Cristale.

Je suis contente de t'avoir fait sourire avec mes expressions insolites. C'est un vrai plaisir partagé.

En tant que sœurette d'infortune sur ce grand vaisseau de l'existence, où depuis longtemps on tente de contraindre par tous les moyens les femmes plus que tout autre, tu connais toi aussi la jubilation qu'il y a à envoyer valser les carcans.

Ce qui me fait bien sourire, surtout lorsque l'on se rappelle qu'en matière de Poésie, tu es la championne de la maîtrise parfaite des contraintes exigées par une prosodie olé olé, voire même aie aie aie, et ouille ouille ouille...

******************************



10 – Merci, Annick.

Beurk, les chenilles, hein ? Que ne faut-il pas faire pour devenir papillons....

Mais je goûte particulièrement de te voir apprécier, et le vocabulaire, et le rythme imprimé à cet affranchissement. Effectivement, il en faut de l'énergie pour se sortir des sentiers battus forgés par une société, par une époque, où les mamans ne sont que des victimes comme les autres, après tout...

D'autant plus qu'elles se retrouvent en première ligne de la transmission, prêtes à se voir accusées de tous nos maux.

Mai 68, si tu veux, mais l'esprit suffragette en moins. Dans militer, je lis militaire, et moi j'aime pas du tout, mais alors pas du tout, la guerre, et encore moins la soumission qu'elle impose.

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11 – Merci, Louis.

L'écriture, au même titre que la vie, est pour moi un jeu que je pratique avec beaucoup de sérieux.

Quel plaisir alors de voir que " l'apparence frivole, mais qui au fond ne l’est pas " ne t'a pas échappée.

Ornicar n'est pas le seul à trouver beau ton commentaire. C'est invariablement un bonheur de te lire, toi et tous les autres commentateurs, sous mes textes.

Encore une fois, voilà que tu éclaires avec une grande lucidité la trame de mes écrits. Et comme toujours, j'apprécie pleinement tes joutes avec mes mots. En les ciselant avec ta manière d'orfèvre hors pair, tu permets à la sève qui les nourris de s'épancher avec beaucoup de justesse. Ah, le ''texte-textile'' si parlant...

Tu fais partie de ceux qui ont su élargir mon propos au-delà de la simple autorité maternelle. Je suis certaine que de là où elle se trouve aujourd'hui, elle t'adresse un large sourire malicieux appuyé d'un clin d’œil de connivence.

*******************************


12 – Merci, Paris.

Je vous découvre, grâce à votre passage sous mes mots.
Soyez le bienvenu dans notre joyeuse communauté.

Que vous ayez apprécié la vivacité, l'énergie, l'insolence et la jubilation, qui se font la part belle dans mon petit texte, vous rend très sympathique à mes yeux. Si je peux me permettre, n'hésitez pas à rajouter à cette liste flatteuse, la franchise. Elle est mon pain quotidien

Cette tranche d'autodérision mise à part, j'espère que vous vous plaisez parmi nous. Votre historique me dit que vous avez déjà été publié... je vais donc vite aller vous découvrir...


*************************


Encore un merci chaleureux à vous tous qui avez pris le temps de me lire, de me commenter. On sait tous le don de soi que cela implique et le temps qu'il faut pour bien le faire.
J'apprécie vraiment, chacun de vos commentaires.




Surtout, n'hésitez pas à poursuivre l'échange tant qu'il vous plaira.
Oniris et moi, vous en seront reconnaissants.

Oniris, parce que cela mettra un peu d'animation là où l'on est jamais aussi bien servi que par soi-même...

Et moi, parce que, au travers de nos échanges je me sens vibrer. Et j'adore ça, me sentir vibrer.


Contribution du : 22/11/2023 09:53
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Re : Tip top, le Modèle ?
Maître Onirien
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De Ici et là
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Citation :

Elena a écrit :

...tu connais toi aussi la jubilation qu'il y a à envoyer valser les carcans.
Ce qui me fait bien sourire, surtout lorsque l'on se rappelle qu'en matière de Poésie, tu es la championne de la maîtrise parfaite des contraintes exigées par une prosodie olé olé, voire même aie aie aie, et ouille ouille ouille...




Chère CatElena, tu as sans doute compris que j'étais un peu sadique en imposant à ma muse maso olé olé aïe aïe aïe des corsets-dentelles-jarretières en tulle bien rèches et serrés et que pour me plaire, pas seulement physiquement, elle devait faire abstration de sa douleur pour m'offir le plus beau chant de sa plus belle voix.
Non mais ! C'est qui qui décide ?

Merci à toi poétesse pour ce retour délicat et plein de bonne humeur.



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"Parce que la forme est contraignante, l’idée jaillit plus intense." Charles Baudelaire

Contribution du : 22/11/2023 11:27
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Re : Tip top, le Modèle ?
Chevalier d'Oniris
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Bonjour Cyrill.

Merci de t'être attardé sous mes mots, malgré que tu sois par ta naissance assez loin de leurs considérations.:))

Par contre, tu me vois désolée, je ne vais pouvoir t'aider à poser le doigt sur ce qui dans mon poème t'éloigne de ce que tu attends de la poésie. Chacun de nous frissonne selon ses critères. C'est ainsi, il n'y a pas à prendre la mouche pour autant.

Désolée aussi si mon texte t'a ennuyé avec l'appréciation. Pour ma part, quand cela m'ennuie trop, j'ai une astuce : je tape carrément dans le mille +++ , histoire de ne pas me tromper. Et puis ça fait toujours plaisir à l'égo du copain, n'est-ce-pas ?


Blague à part, ce qui me tient vraiment à cœur en revanche, c'est de partager les mêmes vibrations. Ton commentaire élogieux, et c'est bien cela qui m'importe le plus, regorge de celles qui sont essentielles pour moi. L'audace, la fantaisie. Ça c'est de la reconnaissance qui fait plaisir à entendre.

Je ne me vois pas demander plus à Apollon et à sa lyre !

À si, peut-être de quoi accommoder la choucroute. Parce que les épis, oui, mais avec le chou, tu en es sûr ?


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Bonjour Vadim,

Mais c'est quoi ce commentaire de ouf ?
Heureusement ta haute appréciation. Sinon, il aurait fallu convoquer un traducteur pour me faire avaler la couleuvre.

Tu ne m'en voudras pas , dis, si je trouve plus jolis tes tableaux à l'encre de Chine, que tes interprétations de texte ?

Bon, merci quand même pour ton passage, un brin loufoque, ceci dit... (et ce n'est pas peu dire !)

Et puis, tu sais, ce n'est pas la peine de crier si fort la prochaine fois. Mes oreilles en ont pris plein les mirettes.

******************************


Je profite de mon re-passage par ici, pour signaler aux copains et copines, que le temps me manque cruellement pour vous commenter comme j'aime le faire. Noël qui arrive au grand galop, ne va pas arranger les choses. J'espère pouvoir m'y remettre dès que je me retrouverais libérée de quelques obligations.

Mais je vous lis, tous, oui, tous... Cristale, Cyrill, Etienne, Papipoète et les Autres.

****************************

Au fait, Cristale, bien sûr que je suis au courant pour vos rapports SM avec ta muse. Chacun ses goûts, pas vrai ? À toi la dentelle et les corsets ! À moi de courir pieds nus dans la rosée.


Contribution du : 22/11/2023 16:52
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Re : Tip top, le Modèle ?
Expert Onirien
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Ah oui !... Y a de la lecture !... Sacrément longs les remerciements. Trop ? non ! N'allez surtout pas croire cela. On en redemande tant cet élan, cet enthousiasme, cette générosité font plaisir à voir. Merci encore Elena.

Contribution du : 22/11/2023 19:31
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Re : Tip top, le Modèle ?
Chevalier d'Oniris
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De La Rochelle
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Bonsoir "Cat-et-Léna" !

Je suis désolé que ça ne t'ai pas plu, il est très difficile de faire des commentaires décalés en variant le plus possible pour ne pas se répéter. Je suis peut-être en fin de concept qui sait ?

Il m'est arrivé de manquer ma cible plusieurs fois et bien c'est le cas ici. Il est loin d'être fin ce commentaire je le sais, j'en ai pris conscience après l'avoir posté.


La haute appréciation est méritée et reflet de ce que je pense de ton texte. Tu te livres sans concession c'est très cool, les yeux glissent sur le poème comme une goutte d'eau sur un pétale, c'est léger et frais... comme toi !!!

Bonne soirée Elena et à la prochaine !


Contribution du : 22/11/2023 21:17
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L'artiste peint, le poète dépeint.
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Re : Tip top, le Modèle ?
Maître Onirien
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Citation :
malgré que tu sois par ta naissance assez loin de leurs considérations.:))


Mmmoui, enfin, si on reste dans le sens littéral du poème qui évoque une éducation corsetée.
quant à savoir si j'ai pu connaître quelques difficultés à sortir de ma chrysalide et des injonctions parentales, je ne peux évidemment pas prétendre le contraire.

Citation :
À si, peut-être de quoi accommoder la choucroute.


Un peu de genièvre fera l'affaire, la laque n'étant plus trop tendance...

Contribution du : 23/11/2023 07:38
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Re : Tip top, le Modèle ?
Maître Onirien
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Hello Catlena!

Sur les rapports mère-fille, il y a tant à dire, tant de choses qui nous rapprochent et tant de différences aussi... nous avons cette chance immense de trouver dans l'écriture un exutoireà ce qui nous submerge pafois, à ce qui gonfle le coeur de tristesse ou de colère... alors, continuons d'en profiter parce que ça nous fait du bien de sortir ces émotions de nos tripes et de les partager, pas vrai?

Je ne te sens pas emballée à sang pour sang (sourire), par cet opus hors du cadre,
Non, pas du tout, ou alors je me suis mal exprimée.
C'est différent mais ça te ressemble toujours. J'y retrouve ta poésie "cri du coeur" , si naturelle et si spontanée qu'elle ne peut qu'être que sincère.
Avec en plus ce sens du ludique dans les trouvailles sémantiques qui lui apporte son originalité... pas de doute, c'est bien toi!


Contribution du : 23/11/2023 09:16
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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Re : Tip top, le Modèle ?
Chevalier d'Oniris
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Ornicar, vous écrivez :
« Ah oui !... Y a de la lecture !... Sacrément longs les remerciements. Trop ? non ! N'allez surtout pas croire cela. On en redemande tant cet élan, cet enthousiasme, cette générosité font plaisir à voir. Merci encore Elena. »


Votre plaisir à voir s'épanouir mon enthousiasme me touche infiniment.
Heureusement que le silence de ceux qui s'abstiennent, et les réponses laconiques ont tendance à le freiner.



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Vadim, tu écris :
«( …) il est très difficile de faire des commentaires décalés en variant le plus possible pour ne pas se répéter. Je suis peut-être en fin de concept qui sait ?


Peut-être creuser davantage afin de l'améliorer plutôt que de vendre du boulguiboulga, ou alors en trouver un nouveau, de concept... ? 


Vadim, tu écris encore :
« (…) Tu te livres sans concession c'est très cool, les yeux glissent sur le poème comme une goutte d'eau sur un pétale, c'est léger et frais... comme toi !!! »


Sais-tu, qu'après une telle appréciation, je suis partie faire trois fois le tour de mon jardin, en courant et chantant sous la pluie, et tout ça, sans parapluie ?




****************************************

Cyrill, tu écris, à propos de la choucroute :
« (…) Un peu de genièvre fera l'affaire, la laque n'étant plus trop tendance... »


Ah, la chevelure ! Après le vêtement, c'est tout un symbole, ça aussi.
Je ne pensais pas à la choucroute-chignon. Elle n'est pas de mon époque. Mon genre, c'était plutôt les deux tresses coupées au ras et rapportées comme trophée à mon papa, pour qui une fille se devait de garder les cheveux longs à vie.

Sinon, pour la choucroute-chou, je vois que tu es un fin gourmet : le genièvre est le must, la touche essentielle, qu'on la cuisine ou pas au champagne.



***************************************

Myndie, tu écris :
« (…) nous avons cette chance immense de trouver dans l'écriture un exutoire à ce qui nous submerge parfois, à ce qui gonfle le cœur de tristesse ou de colère... »


La joie, le bonheur, le plaisir, lorsqu'ils nous submergent, servent aussi de bonnes pompes à vélo pour regonfler le cœur.


Tu écris aussi :
« alors, continuons d'en profiter parce que ça nous fait du bien de sortir ces émotions de nos tripes et de les partager, pas vrai ? 


Tu as entièrement raison ! Les sortir et les partager, ces p°°°°°° d'émotions ! Même si, des fois, de les partager apaise moins qu'on ne le souhaiterait.

Mais, comment faire autrement quand l'urgence n'attend pas notre consentement ?




***************************************


Cadeau, pour tous, cette citation de Christian Bobin, extraite de ''Un bruit de balançoire'' :

« Je ne crois pas à ce qu’on me dit. Je crois à la façon dont on me le dit. »


Contribution du : 24/11/2023 11:46
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