Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Citation :
C'est un exercice de diction, Dupark ? Répété plusieurs fois on se mélange les pinceaux, les u et les ou, c'est amusant comme tout
Contribution du : 30/03/2017 13:30
|
|
Transférer |
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
09/03/2013 09:32 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
24089
|
Oui Cat, une contrepèterie.
Comme la vendeuse de volailles qui a une poule qui mue. Un classique.
Contribution du : 30/03/2017 13:33
|
|
_________________
La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension. |
||
Transférer |
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
23/05/2012 16:48 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
2557
|
- Alors! Me revoilou! Ça ii est! Est-ce que Nabilla... dans la main.
- Euh, biiien... A quoi pensez-vous, Monsieur? - A riiien c'était pour faire avancer Nabilla et banane.
Contribution du : 30/03/2017 14:14
|
|
Transférer |
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Visiteur
|
Citation :
Heu... j'ai l'impression qu'on profite de mon manque de temps pour causer dans mon dos. Pourquoi des branches d'orties ? Ah, mais oui, j'y suis ! Question orthographe, c'est ça ? Non, non, t'inquiète, sous le seuil de trois fautes par mot, tu évites la torture et conserves le droit de casser du sucre sur Nabilla, Levy, Musso et même sur le professeur Stony.
Contribution du : 30/03/2017 20:59
|
|
Transférer |
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Maître Onirien
Inscrit:
09/03/2013 09:32 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
24089
|
Citation :
Voilà une expression intéressante qui mérite un peu d'histoire... Autrefois, non seulement le sucre était un complément alimentaire de luxe (l'expression ne vient donc pas des quartiers pauvres), mais on n'avait pas de belles boîtes rectangulaires contenant des beaux petits morceaux parfaitement taillés et superbement alignés, attendant avec impatience de fondre de plaisir. On disposait plutôt d'un bloc (un pain) de sucre qu'il fallait casser en petits morceaux, au fur et à mesure des besoins. Tiens ! C'est donc là qu'on casse du sucre ! Mais quel peut bien être le lien avec les méchancetés débitées en l'absence du principal interessé ? Il ne semble pas facile à faire. Duneton indique que, dans le "Dictionnaire de Trévoux", au XVIIIe siècle, l'expression "se sucrer de quelqu'un" voulait dire "le prendre pour un imbécile". Alors le glissement de cette piètre estimation vers "dire du mal de lui" peut se comprendre. De même, on peut imaginer qu'on ait évolué de "se sucrer" vers "casser du sucre", puisqu'il fallait le faire pour sucrer. Mais malheureusement, rien n'explique pourquoi, dans l'ancienne locution citée par Duneton, il y a cette association entre le sucre et l'imbécillité. "casser du sucre" est apparue au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle à la fin duquel le complément 'sur le dos' a été ajouté. A la même époque, pour les brigands, cela voulait aussi dire 'dénoncer', probablement par la similitude avec "casser le morceau" qui avait la même signification alors que maintenant, pour dire la même chose, on "mange le morceau". Peut-être parce qu'on n'a plus besoin de le casser ? Pouet, diététicien sucreur de fraises naines et casseur en gariguette.
Contribution du : 30/03/2017 21:44
|
|
_________________
La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension. |
||
Transférer |
Re : Une minute de silence |
||
---|---|---|
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
23/05/2012 16:48 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
2557
|
En parlant de sucre, je pense à " C'est toujours les mêmes qui nous bouffent le sucre sur le dos..." de Coluche et cette définition du schmilblick sur wikipédia :
"La consonance de ce néologisme peut évoquer le yiddish. Par exemple, les mots Schlemiel = idiot ; Billik = Pas cher ; Schmeikel = escroquer. L'humoriste attribue l'invention du Schmilblick aux frères Fauderche, Jules et Raphaël. Les noms de ces personnages seront repris dans le feuilleton radiophonique Bons baisers de partout, dont il est l'auteur avec Louis Rognoni. Cependant, l'objet imaginaire au centre de l'émission sera le biglotron, dont les caractéristiques sont très proches de celles du Schmilblick, inventé par le professeur Slalom Jérémie Ménerlache. Le mot devient dès lors très populaire et est employé parfois en français comme synonyme de « truc », « machin », désignant un objet étrange ou sans importance dont on ne connaît pas le nom : « Donne-moi une pièce que je la mette dans le schmilblick ! » "
Contribution du : 30/03/2017 22:46
|
|
Transférer |