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Bien ↑ |
francissicard : Perce-neige en soie blanche |
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J'ai vu l'aube étoilée. J'ai vu poindre le jour comme le perce-neige qui annonce le printemps. J'ai songé à ces croyances qui affirmaient que l'âme du défunt devenait une étoile. J'ai vu la main d'une nature divine dessinant l'univers sur un grand parchemin. Merci pour ce partage. (20/1/2016) |
Beaucoup |
Marymuze : Douce tristesse |
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Une écriture simple et touchante à la fois. En peu de mots, elle sensibilise le lecteur. Sur le bord du chemin, on abandonne sa révolte, sa colère, ses reproches. On serre le poing car il faut avancer, désarmé parfois, la source des larmes tarie. (19/1/2016) |
Bien ↑ |
papipoete : Je l'ai tant rêvée |
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Une rencontre que l'auteur craint et espère à la fois. Son apparition en rouge et noir ravive ses angoisses. Le cœur s'emballe ! " Elle est trop belle pour moi. " Cette pensée souligne son manque de confiance en lui. Peut-être trop de déceptions antérieures ? On aurait envie de connaître la suite de cette rencontre ! (17/1/2016) |
Beaucoup |
lala : L'âge gris |
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J'ai aimé rencontrer cette dame à l'âge gris. Au seuil de son hiver, il lui reste des souvenirs aux couleurs de ses printemps. Elle semble si fragile, si douce. Ses mains ont caressé tant de joues ! Ses yeux ont vu tant de choses ! Bientôt, elle s'envolera " sur les nuages de la nuit " mais sa présence demeurera dans ce poème et dans le cœur de ... (16/1/2016) |
Beaucoup |
hersen : Le fado |
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Destins et sentiments se diluent dans des décors que la plume peint en noir et blanc : La lueur des réverbères, le comptoir, la ruelle, la robe noire. Et puis, il y a les bruits, celui du vent, celui des vagues dans lesquels vient se perdre le chant. L'émotion est passée. Merci. (11/1/2016) |
Beaucoup |
Raoul : La ballade maladroite |
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Original et surprenant : " sourire citron, que cette mouche qu'est mon cœur, tourneboule, crumble de nicotine..." J'aime aussi le jeu des sonorités qui se heurtent ou se répondent. Lecture amusante, riche en découvertes. (11/1/2016) |
Beaucoup |
Robot : Dans la forêt des souvenirs |
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Comme l'oyat fixe la dune, la mémoire fige le temps qui ondule entre l'ombre et la lumière, " les ronciers et les vergers". Malgré les griffures," la tristesse qui perdure", on aperçoit " des horizons plus dégagés". On n'oublie pas son passé mais l'espoir de jours meilleurs aide à vivre ou survivre. J'ai aimé ce cheminement dans la forêt des sou... (11/1/2016) |
Beaucoup |
SaintEmoi : Jour de vote |
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Le marché, lieu de rencontres, de brassage, d'échanges, d'éclats de rire.
On y achète les mêmes fruits, les mêmes légumes. L'agora est un lien social . Pourtant, parmi ceux qui me serrent la main ou qui me sourient, il y en a qui ont offert leur suffrage aux marchands de haine, d'intolérance, de fanatisme. (8/1/2016) |
Beaucoup |
madawaza : Chez moi |
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Une brise de romantisme, de fraîcheur. Peu importe le cadre (Paris, Rome ou Venise) quand tu me tiens dans tes bras. Les décors (gondolier, fontaine, lumière...) éclairent l'amour qui unit deux êtres. Merci pour ce partage. (8/1/2016) |
Passionnément |
Miguel : Avec cette douceur |
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Des alexandrins qui véhiculent une belle nostalgie teintée de sérénité.
Comme les nuages, les souvenirs défilent. Merveilleux nuages, tantôt gris, tantôt blancs, ils poursuivent leur voyage sur l'azur du temps. J'ai lu ce poème à plusieurs reprises et chaque lecture me procura un plaisir, une réelle émotion. Merci pour ce partage. Bravo ! (6/1/2016) |
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