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| Beaucoup |
Luz : Le ruisseau |
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Au fil de l'eau, au fil du temps , contempler, se souvenir de l'enfance lointaine. J'ai aimé ce moment serein au bord de l'eau, "sur l'herbe chaude du soir". (5/1/2016) |
| Beaucoup |
Ramana : Deux tasses de café |
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Pâle lueur de l'aube, moment silencieux, un café dans les nuages entre le rêve et la réalité. Ma mie, sommes-nous fantômes ou réels ? J'aime cet instant aux confins de la nuit quand les rêves s'effilochent dans les volutes d'un café. (4/1/2016) |
| Beaucoup |
Lulu : Rupture d'automne |
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L'amour se meurt à l'automne de nos rires, de nos complicités. La brise souffle un "reste encore" mais, déjà, la pluie efface nos pas entrelacés.
Peu de mots mais ils sonnent juste la fin d'une histoire. (1/1/2016) |
| Beaucoup ↑ |
cervantes : La complainte du comprimé |
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Destin tragique d'un as, d'un pro, de l'Aspro effervescent ! Pour que la poésie épouse l'humour, il faut du talent pas celui à dix sous mais celui qui pétille au fond des vers. Lu et relu avec plaisir ! Merci pour le partage. (27/12/2015) |
| Beaucoup |
Pouet : Le jardin pâle |
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Des pensées, des images semblent défiler sur des décors crépusculaires.
Le monde semble perçu à travers les yeux mi-clos. J'aime beaucoup : "Au jardin pâle de mes pensées, pleure le vent, perce la lune". (27/12/2015) |
| Beaucoup |
papipoete : Rendez-vous galant |
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Comme une fable des temps modernes ! L'amour se cacherait-il derrière un écran, au bout du fil ? Après l'espoir qui fait battre le cœur, avaler les kilomètres, survient la rencontre, l'heure de vérité et...l'envie de mettre les jambes à son cou ! L'histoire me fait penser aux aventures d'un ami qui continue à chercher son âme sœur sur internet. (26/12/2015) |
| Beaucoup |
Arielle : Libellule |
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Belle évocation de la création artistique ! La naissance d'un poème, d'une sculpture, d'un tableau, d'une mélodie... est toujours un moment magique. Du papier, de l'argile...du cocon naît une "étincelle" fragile, unique. Je découvre la schaltinienne ! (26/12/2015) |
| Beaucoup ↑ |
Louisa : L’hiver |
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Bien au chaud, derrière la fenêtre, j'ai lu ce poème à voix haute en observant les branches dénudées du noyer qui griffaient un ciel bas, gris . Chaque alexandrin épousait ce matin frileux, dessiné au fusain. Je me suis attardé sur la dernière strophe que j'ai beaucoup aimée. Merci pour ce partage. (22/12/2015) |
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Mona79 : Les mortes-saisons |
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La plume montre avec talent l'influence des mortes-saisons sur le cœur de l'homme : "solitaire, ton cœur semble au diapason". Elle est aussi pinceau pour les impressions visuelles :"de grands oiseaux frileux planent en croassant" , les couleurs : roussis, or, ambre. Tous les sens sont évoqués : tapis bruissants, transperce avec ses aiguillons, a... (21/12/2015) |
| Beaucoup |
banniange : Un paradis |
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La plume réussit à faire partager ce moment de sérénité. Le lecteur vous rejoint dans ces décors (voiliers, collines mauves, quelques troupeaux blancs, lumière) . Le temps semble figé, propice à la rêverie. Merci pour ce partage. (20/12/2015) |
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