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Passionnément |
madawaza : T’es pas mon père |
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Le cri d'un cœur lézardé , la révolte d'un adolescent blessé qu'on trouve sous chaque mot. Oui, une situation conflictuelle qu'on rencontre souvent dans les familles recomposées. Le langage exprime avec vérité et force la souffrance d'un fils qui n'accepte pas l'intrus, l’ersatz. Vous êtes totalement dans la peau du personnage ! Bravo. (4/10/2015) |
Beaucoup |
ManonLunalice : Mes beaux mensonges |
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Pierrot, quand la page blanche devient miroir de l'âme, tu déchires, tu ratures les mots épris de liberté. Ils te dépassent. Ils te font peur. J'aime beaucoup la dernière strophe. (29/9/2015) |
Beaucoup ↑ |
Cristale : Le p’tit chapeau rond rouge [concours] |
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Tonnerre de Brest ! La cousine ne craint pas les grands méchants loups. Sous jupette et chapeau rond rouge se cache parfois une Bécassine championne de king boxing. Le cousin sonné l'apprend à ses dépens. L'humour, le conte et l'alexandrin vont très bien ensemble. (29/9/2015) |
Beaucoup |
Luz : Un bout de toile blanche |
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Comme mon père, cet oncle avait choisi le chemin de la liberté. Comme Sophie Scholl (la petite rose blanche), Henri Fertet et bien d'autres, ces jeunes combattaient un adversaire qui les privait de liberté et semait une idéologie basée sur la haine et le racisme. C'est un bel hommage que vous rendez à cet oncle. Ce texte exprime la vie, l'amour ... (28/9/2015) |
Beaucoup |
Arielle : Mon péché capiteux [concours] |
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Léger et musical, j'ai perçu ce poème comme le texte d'une chanson .
J'aime particulièrement la deuxième strophe: "dans les miroirs de tous mes songes." (28/9/2015) |
Beaucoup |
hersen : Absences |
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Comme un tableau inachevé que le temps vole peu à peu à la mémoire. Plus les souvenirs s'effacent, plus la déchirure est grande. " envolée, enfouis, perdue " des mots qui traduisent cette absence ressentie. (24/9/2015) |
Beaucoup |
BrunoGaia : Mots I |
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Le silence dit plus que les mots " sourires qui sentent le chocolat, la brise dans les cheveux un soir de printemps." Certains mots nous échappent, d'autres expriment, trahissent ou cachent notre pensée . Ils peuvent faire rire ou pleurer. Ils tuent parfois. Ils sont bleus, rouges ou noirs. Ils réconfortent ou griffent quand ils sont acérés. Ils... (23/9/2015) |
Beaucoup |
LEO-P : La blessure |
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Je salue le travail qu'on devine sous ces vers. Le texte est riche en métaphores et on y retrouve de nombreuses influences: Hugo, l’œil qui poursuit Caïn, Rimbaud... Le thème de la guerre garde toute sa force sous votre plume. (22/9/2015) |
Beaucoup ↑ |
Curwwod : Guerlédan [Sélection GL] |
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Une encre violine aux couleurs des champs de lin, le retour ou l'errance dans un univers si proche et déjà lointain ! Une nostalgie douce, sans amertume nous ramène aux temps de la vallée riante. L'alexandrin plonge le lecteur dans un monde englouti.
Merci pour ce partage. (16/9/2015) |
Beaucoup |
Brutu_de_Aea : Mauvaise pièce |
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J'ai aimé celui pour qui les autres sont parfois l'enfer. Il est difficile d'affirmer sa différence, de transmettre ses doutes, son refus. "Un pilier droit et sûr n'aime pas ce qui tremble". Qu'il est difficile de se comporter en humaniste quand règnent l'égoïsme, l'intolérance ou l'ignorance ! On devient taciturne mais évitons l'aigreur même si... (15/9/2015) |
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