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Beaucoup ↑ |
Meaban : La soie des mobylettes [Sélection GL] |
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La plume m'a ouvert les portes de l'atelier. Alors, les bruits, les odeurs, les couleurs ont assailli mes sens. Je découvrais un univers que je ne connaissais pas. L'écriture me fit penser à Louis Ferdinand Céline ( Voyage au bout de la nuit). Mais il y avait en plus une dimension poétique dans la forme qui donnait plus de force encore aux mots,... (14/8/2015) |
Beaucoup |
papipoete : La nuit d'après |
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L'émotion est là et la plume parvient à la faire partager. Quel vide pour celui qui reste quand l'autre qu'on a tant aimé s"en est allé pour toujours ! Il erre sous cet" abri d'amour sans toit", dans cet abri d'amour sans toi. Survivre "pour ce futur à vivre seul." (11/8/2015) |
Beaucoup |
Vincent : Les mots se meurent |
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Chercher en vain l'horizon, un rivage pour rêver une dernière fois au temps suspendu au-dessus des monstres marins qui harcèlent le rocher sur lequel peu à peu on perd pied. Les souvenirs clignotent comme des phares surgis du passé et le ressac couvre les mots jetés à la mer.
J'aime cette image de l'homme face à la mer ! (11/8/2015) |
Beaucoup |
Arlet : L'apéro |
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Et quand on n'a que l'amour à offrir en partage ? On dessine des sourires sur les visages. On s'abandonne aux vagues sur la plage (quand elle n'est pas privée !) On offre un collier de coquillages à l'enfant qui a du chagrin. On regarde les bateaux passer et on s'invente des îles, des rivages où être est plus important que posséder ! Je partage ... (11/8/2015) |
Beaucoup |
Pussicat : Les Coquelicots fous |
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Une liberté dans la forme qui va si bien au coquelicot ! Il n'est pas né pour le soliflore ! Il est rebelle comme les fleurs des champs où les champs de bataille. En rouge et noir, il est la vie. Il est la mort. Il inspire le peintre et le poète comme son ami le bleuet. (10/8/2015) |
Beaucoup |
francissicard : Oiseaux de mer |
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J'ai vu le soleil se coucher dans le golfe endormi. J'ai vu les oiseaux "aux ailes de satin " dans le Duer apaisé. J'ai aimé ce "dernier cri dans un bruit de fossile." Ce sonnet m'a renvoyé sur la presqu'île de Rhuys. (10/8/2015) |
Beaucoup |
francissicard : Impressions new-yorkaises |
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Des vers qui soulignent la verticalité de l'architecture urbaine: perce, tige, zénith, nuage, ciel, ange... La brutalité de ce monde vertical fait de verre, de béton est adoucie par le registre lexical : emmaillotant, réglisse, soie, sucre d'orge, caramel, dentelle. Le mélange des deux visions donne l'originalité du texte. (11/7/2015) |
Beaucoup |
lala : Le cheval et la brebis |
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Nous avons tous dans notre entourage des personnes qui auraient dû méditer cette fable !
"La justice n'est pas rapide
Elle est coûteuse et compliquée".
Hibou et lapins profitent du refus de dialogue, de l'agressivité, de l'intolérance des chevaux et brebis. L'histoire est bien structurée et agréable à lire. (9/7/2015) |
Passionnément |
Vincent : Avec des mots |
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Lu puis écouté avec un réel plaisir ! Derrière ce "tu", j'ai imaginé le poète ou le chanteur incompris. Ces albatros qui veulent refaire le monde ou semer l'amour avec des mots ou quelques notes de musique. Ces vers m'ont emporté au pays d'Aragon, ou de Ferrat.
Merci. (8/7/2015) |
Passionnément |
Damy : Palimpseste mémoriel |
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La plume à la fois pinceau et scalpel saisit avec talent l'être et son présent, l'être et son vécu. La rivière coule vers l'aval mais si l'onde reflète le présent, la mémoire nichée au fond de son lit fait remonter des bulles à la surface, des instants de vie qu'on croyait effacés, dilués, éteints. J'ai particulièrement aimé le premier et le de... (4/7/2015) |
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