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Beaucoup ↑ |
Annedesr : La Pie et son trésor (Fable) |
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Une fable bien amenée et combien d'actualité ! Deux mondes s'y opposent ; celui de la générosité, des "hôtes modestes" et celui des spéculateurs, des traders, des matérialistes... Ces derniers oublient souvent (qu'en principe ) ils ont la même espérance de vie que les cigales, les humbles. A la pie, je préfère le moineau et le rouge-queue ! (17/5/2015) |
Passionnément |
Anonyme : Lettre à Senghor |
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Dans les terres arides, il suffit d'une ondée pour que l'acheb s'épanouisse. Dans les terres brûlées par le soleil, il suffit d'un amour pour que la vie triomphe. Ici, les mots sont des semences qui relient les syllabes et la nature, la sécheresse et la vie. Ce poème est un arc- en-ciel ! Un hymne à l'amour. (17/5/2015) |
Beaucoup |
pepehache : Les heures noires |
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Un refrain, une voix, une chanson ( "cette chanson était la nôtre ") adoucit la douleur de l'absence, "le soir des heures vides". Des mots simples pour survivre à la nuit. Un poème qui ne me laisse pas insensible. (16/5/2015) |
Beaucoup |
papipoete : L'aube de mon enfance |
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Les trente glorieuses n'ont pas débuté au même instant pour tous !
Mais l'envie de vivre est là ! "cet air vogue "Marjolaine" que j'entonne avec mes parents." L'espoir aussi a germé parmi les cafards: " la divette chante l'espoir". Il faudrait peut-être revoir ce vers : " les rats gris maîtres du dégoût ". (14/5/2015) |
Beaucoup |
MissNode : Soif |
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J'ai beaucoup aimé cette opposition entre la soif de l'autre, de vie, de rencontres, de mouvements...et la méfiance engendrée par l'expérience, le long apprentissage de la vie." Les derniers grains coulent du sablier" mais l'encre de votre encrier coule comme une source fraîche et lucide. (12/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
LeopoldPartisan : Symétrie |
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Belle symétrie entre les phrases déclaratives du début et les phrases interrogatives qui leur succèdent. Beau contraste entre le monde qui vocifère, pleure, écœure parfois et ce petit bonheur chuchoté, susurré. Jeu de miroir qui pourrait se chanter ! (11/5/2015) |
Beaucoup |
margueritec : Rêvez les roses |
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Un poème que je dédie à Sophie Scholl , ma rose blanche. "Et donnent aux souvenirs, le goût d'un avenir." Elle vivait l'époque où la terre "se nourrit de la mort."
J'ai pensé à elle dès que j'ai lu vos vers. Pourquoi ? (8/5/2015) |
Beaucoup |
Damy : Reflets |
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Des images comme dans un rêve : le grand calice d'un arum blanc, goutte bleu nuit de larme, rayons satins d'un grand saule... Tout semble calme, sérénité jusqu'à l'arrivée de ce nuage. Une belle balade, une évasion qui fait du bien ! (8/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
Fanch : L’idéal de l’âme |
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Au bout du ponton, se mêlent l'angoisse et les souvenirs, les regrets et la quête de quiétude. La plume dit avec talent un ressenti que de nombreux lecteurs partagent. J'aime tout particulièrement la dernière strophe. (7/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
deep : Esprit d'Afrique |
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J'ai beaucoup aimé ce balancement entre la terre d'accueil et la terre natale. Le sablier ne semble pas s'écouler à la même vitesse sur chacun de ces deux continents. Au nord, le plaisir immédiat, l'instant. Au sud, le rythme du tam-tam, les histoires ancestrales du griot. Le poème se termine par une dernière strophe que j'ai particulièrement ai... (6/5/2015) |
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