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Beaucoup ↑ |
Myndie : Crépuscule polychrome |
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Une jolie toile où se mêlent les couleurs, la matière et les impressions du peintre. J'y vois un coucher de soleil sur mon bassin minier.C'est un dégradé de mauve, de rouge, de touches que l'artiste ajoute en suivant les variations de couleurs que le crépuscule propose. Les allitérations ajoutent une note auditive. J'entends le vent qui souffle ... (19/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Cristale : Fleurs de larmes |
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Difficile de dissocier le fond de la forme ! Ensemble, ils créent l'émotion. Ce sonnet aborde avec pudeur un sujet difficile. Il m'a ému car le hasard de sa publication coïncide avec l'envol de la petite Chloé. Il se termine avec ce vers que je n'oublierai pas :
"Les anges pleurent-ils ? Je sais bien qu'il est mort."
La poésie ne se résume pas... (17/4/2015) |
Beaucoup |
pepehache : Deux vies |
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Une plume qui raconte avec pudeur, élégance et simplicité le cheminement de deux êtres que le destin réunit au crépuscule de leur vie. L'un avait rêvé d'amour ; l'autre ne pensait qu'à l'amitié. Leurs retrouvailles sont tardives mais si belles dans ces trois derniers vers :
"Vous murmurez enfin
Ces mots oubliés jadis
Dans l'ombre d'un jardin... (17/4/2015) |
Beaucoup |
Factum : Le chant du cygne |
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On lit ces vers. On ferme les yeux. Alors, apparaît l'image de ce cygne au" plumage neigeux fait d'albâtre et d'opale ". Il est là, seul, majestueux jusqu'à l'ultime battement d'ailes. Il sort du temps dans le dernier tercet qui nous plonge dans la mythologie. Peu à peu, la brume efface sa silhouette et l'émotion gagne le lecteur. (16/4/2015) |
Beaucoup |
Robot : Sieste |
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Un beau chant bucolique frais comme un bouquet qu'on vient juste de cueillir. De belles images jalonnent cette rêverie : " fins bouquets de rires, moutons duveteux de la voûte céleste, comme un souffle de femme..." (15/4/2015) |
Beaucoup |
Danali : Es-tu mon rire |
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De belles métaphores conduisent le lecteur dans un univers d'une grande douceur, presque magique. Tous les sens sont en éveil. L'encrier du poète est devenu le flacon d'une fée. (15/4/2015) |
Beaucoup |
Fanch : Au fil de l'eau |
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Beau texte sur le fond et sur la forme. J'y retrouve mes doutes, mes peurs et cette tentative de définir le bonheur que chacun voit à sa manière. La dernière strophe me renvoie à Paul Fort " le bonheur est dans le pré ". L'homme oublie souvent ce beau vers :"S'il n'est de vérité que mourir à la fin ". (14/4/2015) |
Bien ↑ |
dom1 : Météorites... |
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Ils sont tombés là, comme une météorite. Ils ne sont pas nés sous la bonne étoile. Ici, leur portrait est brossé en quelques coups de pinceau, taillé dans le vif : " blessés en loques, plaies nombreuses, mains calleuses, les os plus tièdes, espèce d'enculés". Au-delà du réel, il y a quelques notes plus douces : " ils vous disent "merci" ; ni mê... (13/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
czerny31 : Alchimie |
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Quel beau voyage au travers de ses yeux ! L'amour est décliné à partir des quatre éléments sous forme de belles images. Ma préférence irait pour la dernière strophe . L'ensemble est bien construit, musical. (12/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
cervantes : Au clair de nos deux voix |
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L'amour qui résonne comme une voix, comme une symphonie ( voix, chant, musiques, écho, chœur). L'amour, élixir qui fusionne (adduit, duo, deux voix). L'amour, instant magique volé à Thanatos, au temps qui s'enfuit. Un beau sonnet ! (9/4/2015) |
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