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Beaucoup |
esperluette : Chœur |
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Les mots sont les reflets d'une époque, d'un esprit. Ils peuvent devenir des notes, des cris. Ils sont doux ou cruels. Ils font rire ou pleurer. Ils comblent le silence ou habillent l'esprit. Parmi eux, Je déteste: fascisme, racisme... J'aime liberté, fraternité, tolérance...Ce poème les présente avec talent et originalité. (9/2/2015) |
Bien ↑ |
Syntaxerror : Les forains |
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Sous ce grand chapiteau, un bouquet d'images poétiques :des tigres rêveurs une cantatrice, paupière mi-close, un clown aux ballons bleus... Bravo les saltimbanques aux poches trouées , vous nous faites rêver ! (6/2/2015) |
Beaucoup ↑ |
Pussicat : Elle reviendra, la joie |
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Le grand vide (du haut de la falaise) fait résonner les battements du cœur jusqu'au bout des doigts. La raison se perd dans le mille-feuilles de mots. L'amour virtuel vibre dans la nuit, de l'autre côté du jour.
Un hymne dans lequel se succèdent des tableaux magnifiques ! J'ai particulièrement aimé celui du cyclope décochant ses flèches. (6/2/2015) |
Beaucoup |
bonjour : Vertige ascensionnel |
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J'ai peur du vide et ce funambule me donne des frissons ! J'aimerais tellement lui ressembler et pouvoir prendre l'avion ou rentrer dans l'ascenseur sans que mon cœur cogne, cogne ! J'ai aimé cette plume qui saute de pics en aiguilles avec élégance et qui tremble face à l'infini quand elle se tourne vers les nuages. (2/2/2015) |
Bien |
Robot : Les oiseaux en habits neufs |
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Voilà de jolies noces qui ne laisseront pas insensibles petits et grands ! riches en couleurs, les invités transmettent fraîcheur et gaieté. Ces amis de nos jardins annoncent le printemps que nous attendons avec impatience ! (29/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
Curwwod : À vous… |
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De la porte sans retour aux plantations de coton, des corps d'ébène ont courbé l'échine sous le joug de maîtres . Des ghettos aux miradors d'Auschwitz des corps décharnés sont tombés sous le fouet.
L'histoire est peuplée de tyrans qui ont souillé l'humanité. Votre plume rappelle les souffrances des opprimés . Le poète est témoin. Aujourd'hui e... (28/1/2015) |
Beaucoup |
Ascar : Le carrousel |
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C'est léger comme ces petits oiseaux qui gambillent entre moutons blancs et regain vert. Les deux premiers quatrains sont très beaux ! Des mots simples qui ont la fraîcheur et la pureté de ce moment de vie consacré aux jeux, aux rires dans une douce et belle insouciance.
Tourne, tourne carrousel ! (27/1/2015) |
Beaucoup |
Edgard : On roule |
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Un matin comme tous les autres avec son mouvement pendulaire et la fourmilière qui s"éveille. Un matin pas comme les autres quand l'autoradio brise la bulle et que le pare brise semble voilé. La pluie ou les larmes ? (26/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
Myndie : L'aube bleuit sur la callune |
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Rupture douloureuse avec l'insouciance, on voudrait tellement que le fil ombilical , ce lien sacré ne fût jamais rompu ! Une page est déchirée, la vie ouvre d'autres chapitres mais quand "la lune bleuit sur la callune" l'enfant qui survit en nous murmure pudiquement "maman". (26/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
funambule : La légende de la fée étoilée |
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Je vous imaginais Funambule sur le fil doré des rêves dans la nuit étoilée. La fée couchée sur le sable lunaire vous tendait les bras. Elle était aussi belle qu'Hélène sur les murailles de Troie. J'ai traversé le miroir en lisant vos vers. (21/1/2015) |
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