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Beaucoup |
luciole : Olida on ice |
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Des propos gaillards, une truculence qui m'a fait sourire tout au long de ma lecture. Le registre lexical colle aux personnages sortis d'une bande dessinée. Mais, on connaît tous un Jean -loup Viandard dans nos campagnes profondes ! (21/2/2017) |
Beaucoup ↑ |
MissNeko : Averse |
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Un poème pour deux tableaux : ciel d'orage Georges Michel ou Guernica Picasso. Images de bombardements : terre béante, gémit de terreur, les charognes, messager de la mort...Images de la campagne lacérée par la foudre : torrent, épis, nuages épais... Ce relevé lexical me conforte dans cette vision personnelle du texte. (20/2/2017) |
Beaucoup ↑ |
Noran : J'errai |
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L'être anonyme immergé dans la foule citadine " à l'affût d'une source" guettant un sourire, un regard qui se pose comme un papillon sur la fleur d'avril. J'ai aimé ce jeu de formes, de matières,de couleurs : verticalité des gratte-ciel, stries des rames de métro, figure d'acier, dents de verre, néon, soleil lassé, veines de la nuit...Soudain, l... (20/2/2017) |
Beaucoup |
Curwwod : Vert-de-gris |
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Ma profession m’entraîna des dizaines de fois à visiter cette page d'histoire. J'y ai rencontré des jeunes filles qui avaient transgressé l'interdiction d'aimer. Les Résistants "de la dernière heure" les ont souvent jugées, punies, humiliées. L'amour était considéré comme collaboration, comme trahison. Certaines de ces filles tondues sur la plac... (20/2/2017) |
Beaucoup |
Donaldo75 : Coexistence liquide |
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J'ai plongé dans un univers d'unité par opposition à celui de la dualité que la religion m'a longtemps imposé. J'ai cru y retrouvé l'être délivré de son égo ; l'être fragment de l'espace temps, de l'espace univers. La plume m'a entraîné en apesanteur loin de la matière, des perceptions traditionnelles de la vie, de la mort. (20/2/2017) |
Beaucoup |
Solal : À l'aube |
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La lune miroir de l'âme, veilleuse des nuits blanches et, depuis la nuit des temps, témoin des errances nocturnes. Avant de partir se coucher, là-haut, elle lance un dernier " sourire vicelard " à celui qui cherche, ici bas, son chemin sur un quai. Le clochard a son histoire que seule la lune connaît. J'ai aimé l'ambiance de cette aube sur le quai. (20/2/2017) |
Bien ↑ |
Robot : Étendons-nous dans la verdure |
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invitation bucolique qu'on ne peut pas refuser ! Des fleurs, des caresses, de l'amour et cette petite coccinelle qui vient se poser sur un sein dénudé. Fraîcheur, simplicité, je croque cette pomme ! (20/2/2017) |
Beaucoup |
papipoete : Un été de 1957 |
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Les prairies de mon enfance étaient parsemées de fleurs sauvages et votre prose est parsemée d'images poétiques : moustache de joncs, le lac, petite flaque... Une âme d'enfant se cache dans dans ces souvenirs qui rient, qui pleurent. J'aime la répétition "sandalettes sans chaussettes"
qui souligne l'authenticité, la simplicité de la plume. L'i... (20/2/2017) |
Beaucoup |
wancyrs : Mémoire de l'oubli |
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Le visage du monde se couvre de pustules . Il a beau se farder, tenter de les cacher, de les oublier en dressant des murs, des décors factices rien ne peut les effacer. Vos vers atteignent tous les sens: spectacle des tas d'immondices, halos nauséabonds, tunnel nasal pâteux, l'inaudible des cris... Le choix lexical donne une force réelle au text... (9/2/2017) |
Beaucoup ↑ |
letho : Un jour |
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J'ai traversé vos vers comme une petite comète entre trous noirs et bouquets d'astres errants. J'y ai retrouvé ces instants à contempler la voute céleste au bord de l'évanouissement. Je suis si petit et l'univers si grand ! Je suis le prisonnier de mes os, figé, alors que les galaxies dansent et repoussent les limites de l'infiniment grand. Vous... (8/2/2017) |
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