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Les évaluations de Uranie76

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Un peu FRITMAN : Femmes esclaves
Un sujet prometteur. Or je suis restée là sur la marge de ce texte sans y entrer. Le texte peut se résumer pour moi à "Quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la galle". Qu'elle ouvre les yeux pour se reprendre en main c'est une chose. Qu'elle se base sur des conclusions hâtives pour le faire : le coup de fil qui amène à la déduction ... (29/8/2014)
Bien ↓ ili : Jo [Sélection GL]
Si j'osais, je dirais "trop de Jo, tue Jo".. Une quarantaine de fois que le prénom est évoqué. La première moitié du texte j'ai aimé, c'était une psalmodie qui diffusait une émotion tout en retenue. Puis l'émotion a été mise à nue, et le Jo répétitif a commencé à m'être lassant. Un texte d'une belle facture, et qui ne manque pas de poésie.... (28/8/2014)
Bien ↑ MariCe : On the road again, via la deviazione [Sélection GL]
Sur la route de Madison! Toute la lettre parodie quasiment image par image des scènes cultes du film qui rejaillissent au fur et à mesure dans ma mémoire, entre le mari cool Raoul et l'amant Robert Tinquiete. Les autres scène du film, celles précédant l'ouverture de la lettre et la succédant m'avaient moins marquées dans le film, aussi je suis i... (25/8/2014)
Bien ↑ Alice : Rouge vif sur brun-rouge
J'ai aimé la plume quant à moi, il y'a une grâce féminine dans l'écriture, une certaine élégance qui pare de poésie les phrases et les mots naturellement, sans qu'on sente l'effort. Le fond : Quand je lis "Il était toujours sur ma route. Sur celle de l'unversité." Je lui donne un âge, plus tard je le lis enfant : "Pour le coup, je n’... (24/8/2014)
Beaucoup Cthulhu : Tératoromance
J'y ai trouvé en survolant la première fois un peu de "Monstres & cie" à la sauce Kafkaïenne, et même un flirt à la fin avec "Métaphysique des tubes", il n'en demeure pas moins que l'exercice, pas facile, de juxtaposer deux narrations distinctes, nous cache avec brio des surprises que m'ont révélé une seconde lecture. Et pour cause, l'auteur q... (22/8/2014)
Beaucoup Abu-ISsa : Papy
Pure émotion, née d'un style fluide, agréable à lire, à aborder, qui m'a plongée littéralement et instantanément dans le récit. Il aurait pu durer longtemps que je ne m'en serais pas lassée. Le fond lui m'implique, pour avoir vécu quelques années à Casa. Ville qui cristallise exagérément tous les travers d'une société complexe. Les casaouis l... (6/8/2014)
Pas marogne : La fontaine des Maures
Je ne serai pas originale hélas, la description de Venise m'a égarée, celle de Sophia m'a laissée sur ma faim. Je n'ai pas pu pénétrer dans l'histoire, gênée par les descriptions touffues et le démarrage lent, par la ponctuation parfois (abondance de virgules par moments) et l'émotion qui tarde à perler en général et que globalement je n'ai pas ... (5/8/2014)
Passionnément ↑ Louis : Bille
La bille, et cette rondeur de tout un monde, est presque une bille dans un jeu de roulette, entraînée aléatoirement dans un mouvement de la roue, elle s'arrête lentement jusqu'à s'immobiliser à la fin et le couperet tombe : C'est un monde qui s'écroule lentement depuis là haut, depuis l'étage où la femme est. C'est aussi une résolution qui réson... (5/8/2014)
Un peu Soruf : Le clafoutis de Mamie
Je vais évoquer ce qui m'a rebuté et empêché d'apprécier à sa juste valeur l'imagination sanguinolente à souhait de l'auteur. Mes mirettes ont trébuché sur des redondances qui ont alourdi la lecture de cette nouvelle : le mot "géante" est répété vingt deux fois, sachant que les mots "La vieille" est répété dix neuf fois, la combinaison "la vieil... (5/8/2014)
Passionnément ↑ Louis : À point nommé
Ton texte m'a fait le même effet qu'une oeuvre de Lorenz Baümer : Évidence : Ce texte est sublime comme certaines de ses pièces, et je ne peux que rêver d'atteindre dans plusieurs années un peu de ce talent. Je reste coite devant son ouvrage, le ciselage, la pureté des diamants, leur rareté, l'arrondi de certaines formes ouvragées, la dentel... (27/7/2014)
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